Saltimbanque

III) Le poète est rejeté : I°) rôle dévalorisant que lui accorde le vulgaire.  Opp entre le rôle de voyant, de mage que se donne le poète et l’image qu’à de lui le peuple.  Dans la mission civilisatrice du poète, le vulgaire ne voit qu’un saltimbanque, ce qui le rend fou : voc appréciatif (v 1,11,12,18,25) et dépréciatif (v 13,14,18,22,25,28) II°) La condition du poète est le paradoxe  Car le voyant est aussi le poète maudit et devient un terme romantique.  Paradoxe car strophe 1 maudit

fleuris », « cerisiers », « rosiers », « vignes », « lierre », « roseaux », « fleurs »… Mais il n’y a pas que le paysage : le décor est représenté en touches de couleurs: « tziganes » (thème courant au XIXème) -> Cortège : « les cloches », « saltimbanque » Thème courant : l’eau et le fleuve = Symbolisme (// Le Pont Mirabeau, Marie) Ici, le Rhin est présent dès le premier vers : « Rhin », « Rhénanes », « fleuve », « barque » -> Le fleuve est omniprésent, il fait l’unité du poème Fonction

est un poète et écrivain français. D'après sa fiche militaire, il est né le 26 août 1880 à Rome et mort pour la France le 9 novembre 1918 à Paris. Il est considéré comme l'un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle. Les Saltimbanques, est un poème qui fait référence au mouvement et au nomade. J’ai choisit ce poème car il est cour et qu’il y a la présence des deux forme de civilisation : nomade et sédentaire.

coupé les vivres. On n'avait pas dix sous, on emprunte cinq livres. Maintenant, remarquons l'échelle, s'il vous plaît. De l'écu de cinq francs on s'élève au billet Signé Garat ; bravo ! puis du billet de banque On grimpe au million, rapide saltimbanque ; Le million gobé fait mordre au milliard. On arrive au lingot en partant du liard. Puis carrosses, palais, bals, festins, opulence On s'attable au pouvoir et l'on mange la France. C'est ainsi qu'un filou devient homme d'état. Qu'a-t-il fait

Les non-voyants (aveugles) - Il est parti (il est mort) GRADATION  Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression croissante ou décroissante - elles piaillaient, beuglaient, hurlaient. Le Vieux saltimbanque de Baudelaire HYPERBOLE  Exagération dans le choix des mots - Un bruit à réveiller un mort IRONIE  Dire le contraire de ce que l’on pense - C’est malin ! (c’est idiot) - Surtout ne te presse pas ! LITOTE  Utilisation d'une expression suggérant

symbole du poète qui ne veut pas rester installé... Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Bohémiens en voyage » Paul Verlaine, Poèmes saturniens, « Grotesques » Arthur Rimbaud, Poésies, « Ma Bohême » Guillaume Apollinaire, Alcools, « Saltimbanque » Sachant que de plus Baudelaire s'est inspiré d'une gravure de Jacques Callot, « Le Départ des bohémiens » , 1621 et Apollinaire de Pablo Picasso, « Les Bateleurs » huile sur toile, 1905

Le poète se montre sensible à la froide séduction opérée par les veuves. _________________________________________________________________________________ XIV ‘’Le vieux saltimbanque’’ Trois pages Le narrateur qui, «en vrai Parisien», apprécie les baraques foraines, avait, un jour, vu «un pauvre saltimbanque, voûté, caduc, décrépit», au «regard profond, inoubliable», vivant dans «la misère absolue». Admirant la noblesse qui subsiste jusque dans l'être le plus déchu, il crut reconnaître

Philippe Auguste, sa promise, Yolande de Lévézou, offrit deux journées de réjouissances et festoiement populaire aux habitants d’Estaing et contrées alentours pour préparer son retour ! A l’occasion la ville mêle airs de troubadours, tours de saltimbanques et jongleurs, jeux d’hommes en armes et histoires de diseuses de bonne aventure pour faire vibrer la cité entièrement costumée. Tout le week-end est une immersion au XIIIe siècle avec le marché médiéval, les multiples animations des troupes professionnelles

rose », produisirent une peinture sentimentale, caractérisée par la primauté du dessin sur la couleur. Un grand nombre de ses personnages étaient inspirés par le cirque, comme le tableau les Saltimbanques (1905, National Gallery of Art, Washington). Les personnages de l’arlequin, de l’acrobate, du saltimbanque peuplèrent alors l’imaginaire du peintre. Au cours de cette première décennie passée à Paris, il fut l’ami de Max Jacob et de Guillaume Apollinaire qui fut le premier à écrire sur son travail

nommée Les Acrobates de 1908. On y voit plusieurs personnes pratiquants des figures acrobatiques. Pour moi cette œuvre représente bien ce qu'évoque Baudelaire dans son poème La muse vénale : « Il te faut, pour gagner ton pain de chaque soir, […] saltimbanque à jeun, étaler tes appas ». La muse vénale Ô muse de mon cœur, amante des palais, Aurais-tu, quand Janvier lâchera ses Borées, Durant les noirs ennuis des neigeuses soirées, Un tison pour chauffer tes deux pieds violets ? Ranimeras-tu donc