Saltimbanque

se libère, les moyens pour arriver a ce résultat : « par éclatement, par vide ». -l11, condenser des opérations que l’homme doit mener pour arriver a sa nature clownesque. CCC : Michaux s’inscrit dans une tradition qui fait du clown ou du saltimbanque l’archétype de l’artiste et de l’homme : être pensant mais dérisoire. Le clown libère l’homme de ses souffrances. L’originalité d’Henri Michaux évoque une souffrance personnelle pour accéder à l’universel. Dans cette figure de clown, on pense à

reprises par les incendies, les glaces ou par les crues. Les orfèvres et les changeurs s'installèrent sur ordre du roi Louis VII sur le Pont au Change. L'activité foisonne sur les ponts ce qui donnent lieu à un droit de passage sauf pour les saltimbanques qui avaient le droit de traverser les ponts en échange d'un petit tour réalisé par leur singe, d'où l'expression "payer en monnaie de singe". Il ne reste plus rien de ces ponts construits au Moyen-Age, tous ayant été emportés tant ils étaient fragiles

décroissante ANTIPHRASE ou IRONIE LITOTE (double négation) Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement METONYMIE UN OXYMORE PERIPHRASE - elles piaillaient, beuglaient, hurlaient. Le Vieux saltimbanque de Baudelaire Exagération dans le choix des mots - Un bruit à réveiller un mort Dire le contraire de ce que l’on pense tout en montrant que l'on pense bien le contraire METAPHORE On fle la métaphore... - Il est décédé (il est mort)

intéresserons ensuite a l'opposition entre les deux personnages . UNE EXPOSITION DE COMEDIE Nous allons donc nous intéresser à l'exposition comique de ces scènes. Il y a d'abord le style léger des personnages, Figaro est représenté comme un saltimbanque, un personnage insouciant comme on le voit dans la didascalie : « chantonne gaiement » . Le Comte , lui, a l'air plus sérieux , pourtant il fait preuve d’auto-dérision, il se moque de lui même : « il me prendrait pour un Espagnol du temps d'Isabelle

non-voyants (aveugles) - Il est décédé (il est mort) | GRADATION n.f. | Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression croissante ou décroissante | - elles piaillaient, beuglaient, hurlaient.Le Vieux saltimbanque de Baudelaire | HYPERBOLE n.f. | Exagération dans le choix des mots | - Un bruit à réveiller un mort | IRONIE n.f. | Dire le contraire de ce que l’on pense | - C’est malin ! (c’est idiot) - Surtout ne te presse pas 

d'action, ou de lieux contradictoires. V2 : sentiments exprimés : « pleurant » contradictoire avec « fête ». V5 « j'allume le feu dans l'été ». Poète jugé par les autres ; v.3 discours direct « comme il est bête » discours direct « quête pour un saltimbanque ». Tous ces éléments suggèrent la détorsion entre ce qu'est le poète ou ce qu'il fait. Mise en relief de manière insistante, idée d'inadaptation, absence de soumission à des normes ; « trop » accentue le décalage et l'excès. Le poète est en situation

mot-outil (comme, ciel semblable à...) - Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances - Les non-voyants (aveugles) - Il est décédé (il est mort) - elles piaillaient, beuglaient, hurlaient. Le Vieux saltimbanque de Baudelaire ENUMERATION n.f., Juxtaposition d'une série de ACCUMULATION n.f. termes Formulation adoucie d’une idée qui pourrait paraître trop brutale Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression

fleuris », « cerisiers », « rosiers », « vignes », « lierre », « roseaux », « fleurs »… - Mais il n’y a pas que le paysage : Le décor est représente en touches de couleurs : « tziganes » (thème courant au XIXème)  Cortège : « les cloches », « saltimbanque » - Thème courant : l’eau et le fleuve  Symbolisme (// Le Pont Mirabeau, Marie) - Ici, le Rhin est présent dès le premier vers : « Rhin », « Rhénanes », « fleuve », « barque »  Le fleuve est omniprésent, il fait l’unité du poème Fonction

écrivain américain ayant publié de nombreux romans traduits dans plus de douze langues1. Il a écrit plus de 140 romans, plusieurs nouvelles, des travaux, dont certains sous les pseudonymes Morton Rhue et T. S. Rue. Il a eu une période de vie de saltimbanque en parcourant l'Europe, puis il a fait des études de littérature. Il est devenu journaliste, notamment au New Yorker et au New York Times. Il y publie des articles et des nouvelles. Il a deux enfants, il fait du tennis du ski et du surf. Il

non-voyants (aveugles) - Il est décédé (il est mort) GRADATION n.f. Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression croissante ou décroissante - elles piaillaient, beuglaient, hurlaient. Le Vieux saltimbanque de Baudelaire HYPERBOLE n.f. Exagération dans le choix des mots - Un bruit à réveiller un mort IRONIE n.f. Dire le contraire de ce que l’on pense - C’est malin ! (c’est idiot)- Surtout ne te presse pas ! LITOTE n.f. Utilisation d'une expression