Salut Bahut

de juin 1794. D’avril 1793 à juin 1794, le pourcentage d’exécution est passé de 26% à 80%. En effet, à compter du 10 juin 1794 (loi du 22 prairial an II et dernière étape de la Terreur), le régime du Tribunal révolutionnaire se durcit, la notion de salut public se substitue à celle de droits de l’homme : c’est la « Grande Terreur » caractérisée par les condamnations à mort massives. 
L'intérêt du sujet réside dans le paradoxe entre la volonté originelle des constituants de consacrer les droits de l'homme

Convention se hâte de rédiger et de décréter une constitution démocratique, qui est connue dans l'histoire sous le nom de Constitution de 1793 et qui ne fut jamais mise en activité. Les échecs des armes françaises amènent la chute du premier comité de Salut public, où Danton était prépondérant, et l'établissement da second comité, qui sera bientôt sous l'influence de Robespierre. Le 13 juillet, le conventionnel Marat est assassiné par Charlotte Corday : cet événement, coïncidant avec les périls extérieurs

gouverner la France . Les thermidorien n’on qu’a leurs disposition que les cadres institutionnel du gouvernement révolutionnaire. Une assemblée ( la convention ) qui reprend le pouvoir qu’elle avat perdu pdt la dictature. Les comités : comité de salut public placer sous le contrôle de la convention . Ces structures ne sont fondé sur aucun texte , nous sommes toujours dans un cadre de gouvernement révolutionnaire. Ce contexte fragilise le pouvoir car pas d’encadrement . La France va traverser une

"pour la création d'un Tribunal Révolutionnaire" => TEXTE instigateur de l'institutionalisation de la justice. Le 27 mars , sont aussi mis en place les comités de surveillance. Surveille les citoyens, sont dans toutes les communes. LE COMITE DE SALUT PUBLIC est créé le 6 avril 1793, par les Girondins , c'est un gouvernement révolutionnaire. CONVENTION (750 hommes puis 560) | Montagnards | La Plèbe | Les Girondins | Robespierre n'entre au CSP qu'en juin 1793. | De la plèbe émerge le CSP

Bonaparte plus tard, le 13 vendémiaire an IV, lors de l’insurrection royaliste qui menace la Convention. La Terreur De retour à Paris, il est acclamé à la Convention et félicité pour avoir bien mérité de la nation. Par contre, l’accueil du Comité de salut public est glacial. Éloigné de Paris depuis un certain temps, il est surpris de voir la Terreur atteindre un tel paroxysme. Bientôt on l’accuse. Il est dénoncé pour avoir destitué le Tribunal révolutionnaire de Marseille. Ulcéré, il se bat et obtient

tout à la fois menacées par l'opposition royaliste, les catholiques restés fidèles à leur foi et les gouvernements étrangers qui craignaient les armées françaises. Devant la Convention, Maximilien de Robespierre, qui préside en dictateur le Comité de Salut Public, autrement dit le gouvernement du pays, justifie la Terreur avec des mots terribles : «La Terreur n'est pas autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible !» Il convainc les députés de voter le décret du 22 prairial. C'est le début de

contre-révolutionnaire de Bretagne contre les partisans de la République. Il sera traqué par les révolutionnaires, et en particulier par son neveu, Gauvain, passé du côté des révolutionnaires, lui-même surveillé par son tuteur Cimourdain, mandaté par le Comité de Salut Public. On assiste à la confrontation de deux modèles, de deux visions de l'Histoire, de deux systèmes de Valeurs. Le marquis de Lantenac incarne l'Ancien Régime, celui du Sacré, de la Tradition, de la Fidélité, de l'anti-matérialisme au profit

Comité de Salut Public. Il se remarie la même année avec Louise Gély. Il n'est malheureusement pas réélu au Comité de Salut Public, on lui préfère Robespierre. Il participe à l'élimination des enragés, députés extrémistes de la convention. Danton se retire alors dans sa ville natale. Vers 1794, il s'oppose à la terreur et condamne les exécutions, et pousse Camille Desmoulins à prôner de la modération dans un article du vieux cordelier. Danton est accusé de conspiration par le Comité de Salut Public

présidents de la Convention nationale avaient vocation à représenter cette tête de l’Etat (bien que cette Convention détiennent le pouvoir législatif), ils furent de 1793 à 1794 sous la tutelle des décisions prises par les Comités, en particulier celui de Salut public. D’autres entités politiques exercèrent à cette époque une pression qui, bien qu’informelle et peu constitutionnelle, n’en fut pas moins considérable : ce fut le cas de la Commune insurrectionnelle de Paris. Quatre entités politiques se partagèrent

défendre la république. Face au danger intérieur et extérieur; la Convention montagnarde (groupes de députés appelés ainsi car ils siègent en haut de l'hémicycle. Ils sont plus proches du peuple que les Girondins) réagit. Elle nomme un nouveau comité de salut public qui met la Terreur en place. Robespierre en prend la direction. Les mesures sont radicale. La levée en masse permet de recruter plus d'un millions de soldats. Et cette guerre de Paris contre la France et de la France contre L'Europe dure ainsi