Sam Mendes

qui n’est pas sans avoir beaucoup emprunté à la III°. La politique se fait toujours dans les bureaux calfeutrés, les élus de province courent de banquet en inauguration, de discours creux en querelles obscures. René Coty est à l’Elysée, et Pierre Mendès France, le président du Conseil, à l’hôtel Matignon. Charles de Gaulle, retiré des affaires publiques, attend son heure à Colombey-les-Deux-Eglises , depuis neuf ans. Guy Mollet, lunettes au bout du nez, surveille du coin de l’œil la toute-puissante

La France et la question algérienne Nous allons étudier deux document, le premier est un discours à l'Assemblée nationale de 1954 par le président du Conseil et ministre des Affaires étrangères « Pierre Mendès-France » ,le second est un extrait de du journal « Le Figaro » datant de 1959, dans celui-ci nous avons des solutions proposer par De gaulle pour rendre la paix en Algérie. Ces deux documents parlent de la guerre d’Algérie qui ces déroulés entre 1954 et 1962, mais ils ne parlent pas

1958-1971 : la gauche se cherche[modifier] L'attitude vis-à-vis du régime de Charles de Gaulle divise encore. Une minorité de la SFIO ainsi que d'autres élus de la gauche non communiste comme François Mitterrand et Pierre Mendès France, se dressent contre le « coup d'État ». Certains minoritaires de la SFIO quittent le parti et fondent le Parti socialiste autonome, dirigé par Édouard Depreux et Alain Savary. En 1960, le PSA fusionne avec de petits mouvements de chrétiens de gauche et de dissidents

La IVème République et le cancer algérien. Face à l'insurrection armée, déclenchée à la Toussaint 1954 par le Front de libération nationale ( FLN ), Mendès France et son ministre de l'Intérieur François Mitterrand, réagissent avec fermeté tout en engageant des réformes mises en oeuvre par Jacques Soustelle, bientôt acquis aux thèses de l'Algérie française. En 1956, Guy Mollet ne parvient ni à obtenir une victoire sur le FLN, ni à négocier un compromis acceptable, en dépit de l'engagement du

droite) acquiert forte popularité auprès des classes moyennes, en bloquant qqtmps l'inflation et offrant aux épargnants un emprunt indexé sur l'or et exempt de droits de succession. Il se retire en 52 il est resté un homme de bon sens. 2) Pierre Mendès France (1954-55) ⁃ Investi à une large majorité en juin 54 à la suite de la défaite française (Indochine), radical = apprécié par cadres, intellectuels, il veut rompre avec routine éco. Le 20/07/54 il signe accords de Genève (fin de la guerre d'Ind

voix au Parlement à celles des communistes. Mais le régime de la IVe République était affaibli par l'incapacité de ses gouvernements de coalition à résoudre les problèmes de la décolonisation. Après un sursaut sous la présidence du Conseil de Pierre Mendès France (ancien aviateur de la France Libre, puis ministre de De Gaulle au Comité d'Alger (CFLN) et au gouvernement provisoire), qui a réussi à mettre fin pour la France à la guerre d'Indochine et à décoloniser la Tunisie, la IVe République a sombré

métropole n’est pas invincible. De cet exploit réalisé par les indigènes va découler de nombreuses révoltes en Afrique notamment avec le début de la guerre d’Algérie lors de la « Toussaint rouge ». En Afrique du Nord, en 1954, les Français et notamment Mendès France ont tenté de dialoguer avec ces deux protectorats (Tunisie et Maroc) mais les négociations n’ont pas été possibles et les deux colonies ont obtenu gain de cause pacifiquement. La Tunisie et le Maroc sont proclamés indépendants en 1956. Ce n’est

création d’une CED mélangeant les contingents nationaux sous un commandement supra-national. Traité signé donc par la France sous le gouvt Pinay en 1952 et ces cinq alliés. Reste à ratifier, MRP favorable, PC et RPR hostile. Texte rejeté quand PM Mendès le propose. >> Opinion française n’était pas prête à passer l’éponge sur des évts passés 10 ans plus tôt ; germanophobie. // Echec = a dynamisé la relation franco-allde ! Octobre 1954 : Textes prévoyant la reconnaissance e la souveraité

montée de violence, le gouvernement français cède et accorde l'indépendance au Maroc en 1955. En Tunisie, une épreuve de force semblable aboutit à un meme résultat : des mesures de répression entraînent l'intervention de groupes armés de fellagha. Mendès France promet alors l'autonomie interne à la Tunisie, puis reconnaît son indépendance en mars 1956. A l'inverse, certains sombres épisodes de la décolonisation témoignent de la violence qu'a pu entraîner la volonté d'indépendance de certains pays

pour les défendre. Au nom des « petits », il dénonce avec véhémence « l'État vampire » et les « apatrides » qui occupent la « maison France ». Au travers des « apatrides » il vise plus particulièrement l'homme politique de confession juive, Pierre Mendès France, qu'il accuse de ne pas avoir « une goutte de sang gaulois dans les veines » ou « n'avoir de français que le mot ajouté à son nom ». Ce papetier de 33 ans se fait connaître le 22 juillet 1953 lorsqu’il prend la tête d'un soulèvement de commerçants