Sam Mendes

« Seule une action cohérente dans toutes ses parties peut tirer le pays des difficultés où il se débat ». C’est ainsi que Pierre Mendès France dresse un bilan de l’évolution de la IVè République lors de son discours d’investiture du 3 juin 1953. De là découle l’interrogation : La Constitution de 1946 a-t-elle répondu aux espoirs de ses fondateurs ? La IVè République tente de renouer avec l’idéal démocratique, mis à mal par le régime de Vichy. Il s’agit ici de mesurer les volontés de l’Assemblée constituante

PRÉMICES FRANÇAISES En France, le métier s’exerce d’abord de façon informelle. Quelques pionniers l’ont façonné, à leur manière. Notons les avis précurseurs du publicitaire Marcel Bleustein-Blanchet à des hommes de la Quatrième République comme Pierre Mendès France, Antoine Pinay, Guy Mollet ou Maurice Bourgès-Maunoury, puis au général de Gaulle, à qui il suggère, raconte-t-il, en 1958, d’ôter ses lunettes à la télévision et de ne pas lire son texte 1. En 1965, la campagne pour l’élection du président

II- De la Ve République à 2011 1-La SFIO divise et la gauche se cherche L’attitude vis-à-vis du régime gaulliste opère un nouveau clivage. Une minorité de la SFIO, d’autres élus de la gauche républicaine comme François Mitterrand et Pierre Mendès France, se dressent contre le «coup d’Etat». Les minoritaires de la SFIO quittent le parti et fondent le Parti socialiste autonome, dirigé par Edouard Depreux et Alain Savary. A l’approche de l’élection présidentielle de 1965, la SFIO semble hésiter

français commence à réaliser que De Gaulle constitue peut être les dernières chances de la République. La plupart des leaders politique français de l'époque se rallie au général de Gaulle et lui demande de revenir au pouvoir. Sauf communisme, Pierre Mendès France et Mittérand. De Gaulle accepte seulement si on fait une nouvelle constitution. C'est le président de la République (René Coty) qui va envoyer un message clair à l'assemblée national : De Gaulle comme président du Conseil ou il démissionne

indépendantiste du Vietnam est communiste (Ho Chi Minh) pousse la France dans une guerre à la fois coloniale et de guerre froide ! Après 9 ans de guerre les troupes françaises sont battues à Dien Bien Phu le 7 mai 1954. Le nouveau président du conseil, Pierre Mendès France négocie la fin des combat et l’indépendance du Vietnam à Genève en juillet 1954. Celui-ci est partagé en 2, le Nord devenant communiste. 1B. La phase africaine Les états nouvellement indépendants d’Asie se sont retrouvés à

questions coloniales.   La faiblesse des institutions est illustrée en 1953 par l'élection, à l'issue de 13 tours de scrutin, du président de la République René Coty.         4. L'expérience Mendès France ( 1954-1955 ) • Une tentative de redressement de la IVème République   Pierre Mendès France veut sauver la IVème République affaiblie, discréditée, et restaurer l'autorité de l'État en renforçant l'exécutif à travers la fonction de président du Conseil face à l'omnipotence de l'assemblée

maj à l'Assemblée. seule solution: immobilisme. Henry Queuille (Psdt du Conseil) "il est urgent de ne rien faire". néanmoins, des projets ont été menés. II. 2. Des projets ambitieux. II. 3. Une lente agonie du régime. > l'ultime sursaut: Mendès France: au gouv de juin 54 à fév 55. Ho du parti radical de gauche, porté par un courant d'opinion: "le mendésisme" (soutenu par organe L'Express), obj: rénover IVe Rép en vérité (càd jouer la transparence). il refuse de négocier avec les partis

1 Beaujoire / Ranzay 1 Jamet / François Mitterrand Beaujoire Ranzay Haluchère Souillarderie Hôpital Bellier Gare SNCF Nord Duchesse Anne ‑ Château Commerce Gare Maritime Jamet Mendès France ‑ Bellevue François Mitterrand   4.47   5.07   5.47   6.07   6.24   5.30   5.58   6.18   6.36   4.51   5.11   5.31   5.51   5.59   6.11   6.19   6.28   6.37   4.54   5.14   5.34   5.54   6.02   6.14   6.22   6.31   6.40   4.07   4.31   4.50   4.59   5.19   5.30  

laisse pas mettre en cause son unité [ ... ]. Jamais la France, jamais aucun Parlement, jamais aucun gouvernement ne cédera sur ce principe fondamental. L'Algérie c'est la France, et non un pays étranger que nous défendons. » Déclaration de Pierre Mendès France, chef du gouvernement français, devant l'Assemblée nationale, 12 novembre 1954i[ Document 5 : La traque des « rebelles » Fiche de recherche de police judiciaire concernant Ahmed Ben Bella. Leader du FLN, il sera en 1962 premier président

dictature de Mobutu à partir de 1965. - L'Afrique du nord française : les protectorats du Maroc et de Tunisie  Des décolonisations difficiles, mais où l'on évite le pire. Une colonisation plus superficielle qu’en Algérie. Action décisive de Pierre Mendès France qui reconnaît l’autonomie interne de la Tunisie (discours de Carthage, juillet 1954). Indépendance du Maroc et de la Tunisie en 1956. - La "sale guerre" d'Indochine (1946-1954) Le 2 septembre 1945, le Vietminh dirigé par le communiste Hô