Sam Smith

croissante de la production serait préjudiciable aux employés de Toyota au Japon. 1. Le taylorisme Documents 3 et 4 (p. 104) 1. Expliquez en quoi les théories de Taylor s’appuient sur les idées d’Adam Smith. En 1903, Frederick Winslow Taylor s’appuie sur l’idée, développée par A. Smith (cf. document 1 page 103), que la division du travail en tant qu’organisation du travail est source de gains de productivité pour développer sa théorie de l’organisation scientifique du travail (OST).

l'un des grands conservateurs du XXe avec Russell Kirk, et Leo Strauss. Ni dans le courant keynésien, ni dans le courant marxiste, et bien que libéral, on le qualifie d’économiste hétérodoxe pour ses théories sur l’évolution du capitalisme. Adam Smith (5 juin 1723 - 17 juillet 1790) est un philosophe et économiste écossais des Lumières. Il reste dans l’histoire comme le père de la science économique moderne, et son œuvre principale, la Richesse des nations, est un des textes fondateurs du libéralisme

à la philosophie des Lumières (XVIIIe siècle) chaque être humain est libre et doit pouvoir exercer librement son activité. Il est rationnel dans ses choix et recherche avant tout son intérêt personnel. Document 3 : La main invisible Pour Adam Smith le mobile égoïste qui conduit chaque individu à améliorer sa situation économique engendre au niveau national des effets bénéfiques en réalisant l’intérêt général comme si les individus étaient « conduits » à leur insu par une « main invisible ».

La problématique à laquelle répond l’analyse des relations économiques internationales est : Comment satisfaire un maximum de besoins avec des ressources limitées. 1) La théorie d’Adam Smith : les avantages absolus : Adam Smith se fonde sur les principes de liberté individuelle, recherche du profit et concurrence afin d’inciter les Etats à se spécialiser sur les productions sur lesquelles ils bénéficient d’un avantage absolu. • La notion d’avantage absolu : Tous les pays

L’entreprise et le marché jouent un rôle important dans l’industrialisation et le développement du capitalisme. Le 19ème siècle marque l’âge d’or du libéralisme et du capitalisme libéral. L’économie de marché est l’allocation optimale des ressources. Adam Smith (1723-1790) est favorable à l’entreprise et au marché. Il est pour l’équilibre, l’enrichissement et les lois naturelles. Il prône l’Etat minimal (Police, Armée, Justice et construction d’édifices publics) et est partisan de la "main invisible" : la

du tiers monde aboutit à la hausse des salaires dans le tiers monde et rien d’autre’’. De plus, selon lui les pays en retard de compétitivité ne sont pas pénalisés car ce sont les avantages comparatifs et non absolus qui déterminent les échanges (Smith/Ricardo). Pour Paul Krugman, le commerce internationale n’est pas une compétition et ne met pas les ‘‘états en faillite’’. De plus, il ne faut pas voir les états émergents comme une menace mais comme une opportunité (hausse du niveau de vie, développement

ramène le prix des biens à leur valeur intrinsèque, ce prix commun fondamental au niveau duquel le producteur ne fait ni profit ni perte. • Les intérêts égoïstes peuvent être réconciliés en organisant leur rivalité. Chapitre 1 Introduction 6 Adam Smith (1776) • Ces convictions, bien que non rigoureusement démontrées, sont affirmées tout au long du 19ème siècle par les économistes libéraux comme Say, Carey et Bastiat. • Elles ont été combattues par Saint-Simon et ses disciples adeptes d’une doctrine

propriété et gestion de l’entreprise. Déjà Adam Smith notait les concéquences de cette évolution de la structure des entreprises : « Les directeurs de ces sortes de compagnies (les sociétés par actions) étant les régisseurs de l'argent d'autrui plutôt que de leur propre argent, on ne peut guère s'attendre à ce qu'ils y apportent cette vigilance exacte et soucieuse que des associés apportent souvent dans le maniement de leurs fonds ». Cette citation de Smith montre bien que l'intérêt soulevé par les problèmes

offre et demande et l’innovation. Néanmoins, les divers agents économiques cherchent souvent à fausser la concurrence à leur profit au détriment d'agents plus faibles. La notion de concurrence chez les économistes de l’école classique Adam Smith dans la Richesse des Nations insiste sur deux aspects de la concurrence : sa plus ou moins grande intensité a une influence sur le prix, elle contribue à faire baisser les profits. « L’accroissement des capitaux en augmentant la concurrence, doit nécessairement

capital (2ème évier) - Augmentation de la productivité (3ème bras ou spécialisation des tâches) Pour qu’un pays produise plus, il n’y pas d’autre possibilité. II. La théorie classique de la croissance On en trouve les prémisses chez Adam Smith (1776, premier ouvrage d’économie), chez David Ricardo (1819), Thomas Malthus. La théorie classique est aussi appelée la théorie de l’extinction de la croissance. Les économistes classiques considèrent trois facteurs de production : - Le travail