Samson et Dalila

les secrets de sa réussite, ou, comment s’adonner au libertinage, tout en restant irréprochable aux yeux du monde. Plan du texte 1°§ : la stratégie libertine de la Marquise 2°§ : une théorie de la dissimulation 3°§ : un modèle mythique : Dalila Axes de lecture Le passage illustre pleinement les principaux aspects du libertinage, tel du moins qu’il apparaît chez Laclos. Parmi plusieurs pistes possibles, nous privilégierions deux aspects du texte qui nous semblent majeurs : l’art du stratège

seulement dans sa famille mais aussi dans la société. Le sens explicite du « Groupe de Samson » à la ligne 85-86 et le suivant : Chaque sculpture que fait Wenceslas dans le courant de l’œuvre a une signification symbolique. En vendant cette statut de « Samson » à Hortense, il trahit Bette signe que celui-ci donne son amour à quelqu’un d’autre…en l’occurrence Hortense. Wenceslas s’illustre à travers Samson qui était l’un des juges d’Israël, un héros israélite de force herculéenne dont la caractéristique

« descendue dans mon cœur, j’y ai étudié » (l.18) « Nouvelle Dalila, j’ai » (l.22) « ne tiens-je pas » l. 24 Mon premier soin l. 2 Ma puissance l. 23 Ma feinte timidité Descendue dans mon cœur. Le secret des femmes (10-11) « on peut nous juger » [les femmes] l. 15 Quoi qu’on puisse faire 11 « Dalila » = je « Samson » = les hommes détenteurs d’un secret « vous » « l’Amant préféré » « Samsons modernes » « ne m’ont jamais parues suffisantes »

avons trouvé que cette scène pourrait être également une allégorie du Mythe de Samson et Dalila (Le récit biblique se trouve dans le Livre des Juges, au chapitre 16.versets 4), en effet Samson est un héros de la Bible doué d'une force fantastique qui lui permet de lutter contre ses ennemis les Philistins mais il sera trahi par Dalila à qui il avait confié le secret de sa force. Après cela ses ennemis prévenus par Dalila lui coupèrent les cheveux et l'attachèrent de chaînés et de cordages après quoi

entrées) La loi, c'est la loi 1958 Christian-Jaque 10e 3 394 017 Les Dix Commandements (14 229 745 entrées) L'Héroïque Monsieur Boniface 1949 Maurice Labro 11e 3 261 238 Jeanne d'Arc (7 092 586 entrées) Topaze 1951 Marcel Pagnol 4e 3 184 380 Samson et Dalila (7 116 442 entrées) La Table aux crevés 1952 Henri Verneuil 17e 3 120 959 Le Petit Monde de don Camillo (12 791 168 entrées) On demande un assassin 1949 Ernst Neubach 13e 3 074 064 Jeanne d'Arc (7 092 586 entrées) Si ça peut vous faire plaisir

Transmettre un mouvement Tape des mains et pointe du doigt Ouragan Statues et sculpteurs L’orchestre Debout, assis et chante Fais passer le rythme Le messager Le jeu du dessin Miroir, miroir La Toumba Messages brouillés Objet parlant Samson et Dalila Le jeu du oui et du non Le jeu du “E” Sagidi sagidi sapopo Qu’est-ce qu’on mime ? Quel est l’adverbe ? Les courses à faire Ce que je ressens ? O Kabita ! Cadeaux imaginaires Un petit mot sur ton dos Retour sur la veille Page 12

banale et vulgaire : tous les éléments mythiques du personnage (l’assimilation à Goliath ou à Samson) sont rabaissés de manière triviale: « un truand marseillais » « une vraie bête…Il pouvait casser la gueule à dix personnes à la fois » « il s’est fait baiser par une femme ». Les détails même de l’histoire sont évoqués platement : « Non, avec une mâchoire d’âne. Et il n’était pas de Marseille », « Dalila. Une histoire de cheveux. Je connais ». Même la critique finale des femmes est banale : « Il y

d'autres, qu'il suffit d'oublier les gardiens. Sa seule force provient du fait qu'il ne voit pas les autres gens, lorsqu'ils tuent ce n'est pas par vengeance mais tout simplement parce qu'il ne les voit pas. Zucco est proclamé héros, Goliath et enfin Samson. Lorsque le soleil se lève, Zucco le désigne et y désigne le sexe du soleil. Roberto dit que le soleil ne fait que suivre le regard de l'homme. Le vent souffle et fait tomber Zucco malgré les avertissements des autres prisonniers. ANALYSE DES

poésie et charité, à l'imprévu qui se montre, à l'inconnu qui passe. La cour se fleurit de souci Comme le front De tous ceux-ci Qui vont en rond En flageolant sur leur fémur Débilité Le long du mur Fou de clarté. Tournez, Samsons sans Dalila, Sans Philistin, Tournez bien la Meule au destin. Vaincu risible de la loi, Mouds tour à tour Ton cœur, ta foi Et ton amour ! Ils vont ! et leurs pauvres souliers Font un bruit sec, Humiliés, La pipe au bec. Pas un mot

composition, il écrit sa première symphonie à 18 ans. Il acquiert une réputation de musicien extraordinaire, admiré par ses pairs parmi lesquels Berlioz et Liszt qui voient en lui le premier organiste du monde. En 1877, il compose son opéra «Samson et Dalila» à Weimar. A cette époque, il avait déjà fondé la "Société Nationale de Musique", qui avait pour but de promouvoir la musique française, par réaction aux romantisme allemand et à l'opéra italien très en vogue à ce moment. Pianiste virtuose, improvisateur