Sanctuaire shinto

approcher le Shintô, d’un point de vue humaniste, afin d’essayer d’ interpréter cette religion orientale selon des standards du monde occidental. Je m’attarderai plus particulièrement sur la signification religieuse et expérientielle de cette riche tradition mystique et philosophique, au travers notamment des rituels du Shintô. Parce que la religion shintoïste est tout d’abord une tradition rituelle, les pratiques liturgiques et ascétiques ainsi que les festivals communautaires du Shintô tiennent une

un style vraiment national se développa. Les demeures de la noblesse à 1 L’ARCHITECTURE Sanctuaire d’Izumo Sur la photo, le principal bâtiment (honden) de ce grand sanctuaire du département de Shimane, construit dans le style taisha-zukuri. Le bâtiment actuel a été construit en 1744 et sa conception reflète le style des résidences de l’ère kofun (environ 300 – 710). (Crédit photo : Sanctuaire Izumo) Heiankyo, maintenant Kyoto, furent construites dans le style shinden-zukuri, dans lequel

la présence d’un sanctuaire, et d’une divinité qui y est présente. Cette danse divine est réactualisée lors des cérémonies rituelles afin de plaire aux divinités grâce à la danse des prêtresses et au chant des moines, ces cérémonies étant par ailleurs à l’origine des genres dramaturgiques qui naîtront au cours de notre période. Ainsi, la danse rituelle la plus caractéristique est le Mikagura , qui est une danse rituelle exécutée à la cour impériale et dans les sanctuaires shinto importants, elle

la contemplatio, d'où le mot français contemplation (la méditation intériorisée) tire son origine. La matérialisation du templum originel en un bâtiment découle vraisemblablement de la nécessité de séparer physiquement le fanum, l'espace sacré ou sanctuaire, des profanes, c'est-à-dire du monde extérieur. Les signes étant toujours considérés comme les manifestations d'un dieu, on estimait que le dieu souhaitait que l'espace lui soit réservé. Il semble n'y avoir eu que fort peu de temples dans les

collatéraux permet de traverser le chœur. Grâce au déambulatoire l’accès aux cinq chapelles rayonnantes dont l’entrée est marquée pas deux colonnes est facilité. Le chœur est large et profond, pour accueillir le chapitre de l’abbatiale, seul le sanctuaire est réservé à la liturgie, aucun fidèle ne peut y pénétrer. L’élévation du chœur montre un goût pour la représentation de la nature, les corbeilles sont ornées de décors végétaux. Ces éléments viennent interrompre la logique des retombées verticales

en plusieurs dieux et déesses. Prêtres La cité désignait des citoyens, femmes ou hommes, pour une période déterminée. Ces prêtres temporaires contrôlaient la bonne exécution des rituels, punissaient ceux qui violaient le règlement du sanctuaire et tenaient les lieux propres. Ils pratiquaient des sacrifices pour contenter leurs dieux et interprétaient le sens des oracles(réponse d'une divinité aux hommes). La Pythie,une prêtresse était très consultée à Delphes. En général, les prêtres étaient

fortune, immense, luisance, éclatante blancheur… * Un cadre paradisiaque : planté d’arbres, gazons, et des parterres de fleurs, beauté des quartiers et des avenues. 2) Des symboles * Blanc immunité, innocence, propre. * Lieu saint sanctuaire, propreté… * Plusieurs villes, emboitement de villes, on en distingue au moins 2 : la ville blanche et la ville rouge. * A ce blanc si propre vient répondre le rouge, le rouge du sang, le sang de l’exploitation. * Ville blanche= addition

influences b. La tholos c. Les statues à l’interieur III. Philippe II de Macédoine a. Qui est Philippe de Macédoine b. La bataille de Chéronée c. Pourquoi il a construit le Philippeion Conclusion Introduction Le sanctuaire d’Olympie se trouve au Nord-Ouest de l’île du Péloponnèse occidental, au pied du mont Kronion et sur la rive droite de l’Alphée, plus précisément sur une terrasse au confluent de ce fleuve et du Kladéos (fig. 1). Le site d’Olympie se trouvait dans

Trois Gaules, lui demandant d'ouvrir les magistratures et le Sénat romains aux notables de la Gaule chevelue. Les Gaulois obtinrent satisfaction : les Éduens d'abord, puis tous les peuples de la Gaule chevelue. Gravée à Lyon et exposée dans le sanctuaire fédéral des Trois Gaules, la Table claudienne rappelait la générosité de Claude et témoignait de la reconnaissance des notables de la Gaule chevelue. Ses deux fragments sont aujourd'hui conservés au musée gallo-romain de Lyon. La table a été prêtée

des Trois Gaules, lui demandant d'ouvrir les magistratures et le Sénat romains aux notables de Gaule chevelue4. Les Gaulois obtinrent satisfaction : les Éduens d'abord, puis tous les peuples de la Gaule chevelue. Gravée à Lyon et exposée dans le sanctuaire fédéral des Trois Gaules, la Table claudienne rappelait la générosité de Claude et témoignait de la reconnaissance des notables de la Gaule chevelue. Ses deux fragments sont aujourd'hui conservés au musée gallo-romain de Lyon. La table a été prétée