Sanctuaire shinto

1) Le gagaku Sous le terme de gagaku (musique de cour), on regroupe quatre genres: le mikagura, doté d'une fonction rituelle, sert aux célébrations du culte shintô; les pièces instrumentales (kangen), dansées (bugaku), et vocales (utamono) ont une fonction profane. Le mikagura, culte des ancêtres, se déroule devant l'autel des sanctuaires shintô depuis le coucher du soleil jusqu'à l'aube, en présence de l'empereur, ou de ses représentants (on ne doit pas confondre le mikagura avec la musique folklorique

l’expulsion des habitants de Gich et la destruction de leur village, l’Unesco réintègre le parc du Simien sur la Liste du patrimoine mondial.Patrimoine mondial de l’Unesco n’est pas classé indéfiniment → un bien du patrimoine peut être dé listé- Sanctuaire de l’oryx arabe à Oman- Vallée de l’Elbe en Allemagne- Cathédrale de Bagrati en Géorgie- Port marchand de LiverpoolChaque année de nouveaux biens sont classés → d’ailleurs, en 2020-2021, la France a fait classé 3 biens => une partie de Nice,

à abolir les grandes lois liberticides, dont la loi sur la préservation de la paix publique, à encourager le mouvement syndical – il y aura en 1948, environ 35 000 syndicats représentant près de la moitié de la population active – à démanteler le shintô d’Etat et le culte impérial dans les établissements scolaires. D’autres suivront les années suivantes comme la démocratisation de l’enseignement avec l’entrée en 1947 d’une loi cadre sur l’éducation se substituant à l’ancien rescrit impérial sur

privilégiée au Shintoïsme. Sorte de religion d’État « Kokka Shintô ». Jingikan : office des dieux. Il y a une étatisation de la religion. Elle se fait par une centralisation de tous les sanctuaires. Avant tous les sanctuaires étaient indépendants, or pour la première fois le gouvernement Meiji décide que tous ces sanctuaires seront à charge de l’état et que ses servants seront des fonctionnaires. L’État contrôle et enlève leur liberté à ces sanctuaires. Parfois ça se traduit par la disparition de rites que

s’appellent « KAMI » en Japonais et leur équivalent Chinois est « SHIN » ou « SHINTO » « la voie des divinités » ou « Esprits », on trouve parmi les Kami des montagnes, des animaux comme le tigre, le serpent ? le loup , et l’empereur lui-même. Aux IV siècle un ministre impérial fut le Kami de la calligraphie, il y aurait huit cent millions de Kami et le Japon a pour surnom SHINKOKU « le pays des divinités ». Le Shintô ne connaît pas de divinités suprêmes et le ciel n’est pas une divinité comme

intellectuelle du monde, le lieu du savoir qui attirait tous les esprits en quête de connaissance. Et la connaissance à cette époque passait obligatoirement par une initiation, mot qui signifiait début, commencement et transformation. C’est à Eleusis, un sanctuaire situé à 25 kilomètres d’Athènes que se déroulaient des cérémonies rituelles et secrètes connues sous le nom de Mystères d’Eleusis, cérémonies auxquelles étaient conviés tous les citoyens. L’initiation aux mystères avait lieu dans une grande salle

intellectuelle du monde, le lieu du savoir qui attirait tous les esprits en quête de connaissance. Et la connaissance à cette époque passait obligatoirement par une initiation, mot qui signifiait début, commencement et transformation. C’est à Eleusis, un sanctuaire situé à 25 kilomètres d’Athènes que se déroulaient des cérémonies rituelles et secrètes connues sous le nom de Mystères d’Eleusis, cérémonies auxquelles étaient conviés tous les citoyens. L’initiation aux mystères avait lieu dans une grande salle

La coutume de boire le thé et le thé en lui-même ont été ramené de Chine par les moines Japonais qui s'exilaient ou partaient à la rencontre de grands maîtres Zen. Ils ramenaient avec eux les pratiques qui étaient établies 44 dans les sanctuaires Chinois et répétaient l'enseignement appris dans leur pays d'origine. Leur façon de voir et de consommer le thé à été similaire dans les premiers temps : association à la nature et tranquillité de l’esprit. Les pays codifient cette prise de boisson

la voie nationale kokudô, conscience d'être uniques au monde, isolés au milieu de cultures radicalement différentes (cf dichotomie Uchi/Soto), s'enracine en particulier dans l'insularité, la spécificité linguistique, la différence religieuse (culte shinto religion nationale animiste). Mais cette différence, si elle tourne à l'exaltation de la supériorité japonaise, n'implique pas que le Japon se considère comme le “centre du monde” comme la Chine (empire du milieu). Les Japonais gardent la capacité

Musasgi-no-kami, Fujira-no-genshin. Je suis âgé de soixante ans. J'ai prêté attention aux Voies de la tactique dès ma jeunesse et j'eus mon premier duel à l'âge de treize ans. Pour ce premier duel, mon adversaire était Arima Kihê, bon sabreur de l'école Shintô que j'ai vaincu. A l'âge de seize ans, je vainquis Akiyama, fort au sabre et originaire de la province de Tajima. A l'âge de vingt et un ans, je me suis rendu à Kyoto et y ai rencontré les meilleurs sabreurs du Japon. Je les ai rencontré plusieurs