Sándor Ferenczi

critères, l’aspect économique a été important pour Freud. Chaque période ds l’étude de Freud, n’annule pas les précédentes périodes mais les complexifie. 4 ieme tps du trauma (1919/1939) : c’est la fin de la guerre 14/18, Freud a été appelé par Ferenczi d’étudier des soldats, les nevroses de guerre : nevroses traumatiques avec son cortége d’angoisses (articles : névroses de gerre) : c’est lié à l’impreparation du moi au facteur traumatique, perte de maitris de son environnement, perte d’emprise

les autres névroses sont alors conçues comme conséquence d'un trauma sexuel. Les premiers adeptes de la psychanalyse contribuent les premiers à des débats très vifs et nombreux où ils font valoir leurs propres idées. Ainsi Carl Gustav Jung, Sándor Ferenczi, et bien d'autres sont entendus, lus, commentés par Freud qui critique les positions qui lui paraissent divergentes par rapport aux principes qu'il pense assurés par les travaux antérieurs. Ce qui ne l'empêche pas d'évoluer et d'intégrer certains

n’échangent-ils pas d’une certaine façon leur sentiments, n’y a-il pas un matériel psychique qui se transmet en même temps que le conte ? Définition : L'introjection est un concept psychanalytique opposé à celui de projection. On doit ce concept à Sándor Ferenczi qui l'élabora en 1909, écrivant son fameux article Transfert et introjection En psychologie, l'introspection est une méthode d'observation et d'analyse de soi en vue d'étudier sa propre personne (psychologie introspective) et acquérir une connaissance

enfance, connu énormément de décès dans son entourage. Cela l'a beaucoup marqué et c'est ce qui va lui donner envie de faire la psychanalyse. Elle se recentre surtout sur la psychanalyse des enfants et va découvrir des choses. Elle va rencontrer Sándor Ferenczi qui est psychanalyste lui même et l'un des grands disciples de Freud et donc adepte de la théorie freudienne. Mélanie va donc beaucoup manier cette théorie freudienne et va donc également être adepte et d'accord avec celle ci. Elle va lire le

Chapitre IV Un précurseur d’une psychanalyse des limites : Sandor Ferenczi Approfondissant certains thèmes comme ceux concernant le « nourrisson savant » (wise baby), l’identification à l’agresseur (notion pionnière, différente de celle formalisée par Anna Freud), la nature du trauma, l’élasticité de la technique, le tact psychologique, l’humanisme clinique. La communication paradoxale, la confusion des langues, le psychanalyste hongrois Sándor Ferenczi apparaît aujourd’hui comme un pionnier dans la psychanalyse

élèves et des disciples. On compte parmi eux Alfred Adler, Paul Federn et Otto Rank. En 1907, Freud sort définitivement de sont isolement puisque ses idées attirent des personnalités étrangères comme le suisse Carl Gustav Jung le hongrois Sandor Ferenczi, l’allemand Karl Abraham et l’américain Ernest Jones. Le groupe psychanalytique s’agrandit, faisant aussi surgir des dissensions. Freud fonde alors, en 1910, l’ Association psychanalytique international (API) dans le but d’imposer des normes

amené a une opposition a toutes autorités. Mais en contre partie, l'équipe de son coté, ressentait peut être le besoin de se passer le relais pour essayer de gérer N. On peut amener le sujet du transfert/contre transfert, d'après la théorie de Sandor Ferenczi: " Le contre-transfert est un terme utilisé pour désigner une réaction inconsciente de l'analyste face à son patient. Par définition, il intervient en réaction au transfert, qui est lui-même un processus inconscient permettant à l'analysé de transférer

attirent l'attention des chercheurs. Sigmund Freud accepte la possibilité d'une conscience et d'un libre-arbitre dans le rêve et mentionne brièvement le travail d'Hervey de Saint-Denys dans la seconde édition de L'Interprétation des rêves. Sándor Ferenczi consacre à ce sujet le bref article Rêves orientables. Tous deux admettent que l'on peut modifier volontairement le contenu du rêve et ils estiment que le rêve lucide permet de prouver que l'objectif du rêve est la satisfaction des désirs[31]

deux enfants Melitta né en 1904 et Hans né en 1907. En 1914, sa mère, malade, meurt (Mélanie Klein l’a accompagnée sur son lit de mort) et un mariage malheureux et la naissance de son troisième enfant l’amène a entamer une première analyse avec Sandor Ferenczi. Cette rencontre marque le début de son aventure psychanalytique. Celui-ci l’oriente vers la psychanalyse pour enfant : elle éduquera son fils Erich selon ses principes. Malgré des résistances du cercle psychanalytique pour intégrer Mélanie Klein

pratiquerait déjà cela sans le savoir lorsqu'elle couche l'enfant avec ses procédures d'endormissements, ce qui est reconnu comme éducation naturelle auprès d'adultes. Des oppositions au nom de parents et des droits de l'enfant font surface. Selon Sandor Ferenczi, l'éducation et l'hypnose par la suggestion aurai un lien naturel. Chaque personne, qui est dans une relation éducative, l'utilise à sa manière, différente à chaque époque. Il amène l'hypothèse que si un adulte aurait recourt, c'est que lui-même