Sartre L Imaginaire Image Réel

passions sociales qui le détournent de son humanité réelle. Mais si la « forme adulte » ne peut pas prétendre constituer chez l’homme la « forme humaine » ou « l’humanité », quelle est notre « nature » ? Qu’est-ce qui s’esquisse, qu’est-ce qui se promet ou s’annonce en nous, et qui servirait à nous définir ? Faut-il même conserver pour l’homme cette idée de nature qui renvoie à l’idée d’un « avoir-à-être » ? On retrouve ici le sens du refus par Sartre de l’idée de « nature humaine ». Et cette question

s’apparente à l’esprit de jeu, d’enfance.L’art est une quête éternelle du Beau et l’artiste ne peut que s’inspirer de ce que la réalité offre a son regard.II/ L’art est-il une imitation du réel ? Le réalisme prône l’imitation de la réalité. L’art est donc mimesis copie du réel. L’art doit représenter le beau>qui est dans la nature>donc représenter la nature. Il existe un réalisme psychologique qui mime les sentiments., et social. Il y a

contingence, à son absurdité. Le véritable adversaire c’est la vie elle-même. Le théâtre met en scène le conflit universel de l’homme avec sa vie, si bien que le spectateur est conduit à poser lui-même la question de son être au monde. Ex 1 : Huis clos, Sartre. Une série de personnages intrigants se retrouvent dans une même pièce qui semble être la métaphore de l’enfer. Il s’agit d’une allégorie de l’absurde. Trois personnages se retrouvent après leur mort, dans une même pièce, ils ne cessent de débattre

contradictoires comme le Classicisme et le Romantisme ou le Cubisme et l'Expressionisme. Mais, aucune recherche portant sur la littérature ne saurait ignorer l’essai de Jean-Paul Sartre, Qu'est-ce que la littérature ? , publié pour la première fois, en plusieurs parties, en 1947, dans la revue Les Temps modernes dirigée par Sartre lui-même (et fondée par celui-ci en 1945). L'essai est repris en 1951 dans Situations II, publié aux éditions Gallimard, puis en 1964 chez le même éditeur. Ce texte pourrait

de mots, de phrases. Chacun de ces éléments est à la fois chose et signification. Ceci à la différence des autres arts, qui produisent des concepts qui sont directement perçus par les sens et interprétés par la conscience.4 Au XXe siècle, Jean-Paul Sartre a illustré cette conception en prenant pour exemple la création d’une maison chez un écrivain et chez un peintre. D’après lui, le peintre est uniquement capable de présenter une maison ; à nous la tâche d’interpréter sa maison et d’y voir ce que nous

de rejet et d'animosité plus ou moins manifeste (à l'égard de quelqu'un ou de quelque chose). • ressentir une certaine antipathie à l'égard de quelqu'un. - anxiété (anxieux - anxieuse) : Malaise psychique dû à l'anticipation d'un danger réel ou imaginaire. Synonyme: angoisse, inquiétude. • vivre dans l'anxiété. - arrogance (arrogant - arrogante) : Attitude de mépris et de défi combinés. Synonyme: insolence. • Et il a l'arrogance de me faire des reproches! - autorité (autoritaire*) :

réalité dans toutes ses dimensions, dans toutes ses perceptions possibles, dans toutes les facettes du prisme des différents intervenants. On rejoint les préoccupations des impressionnistes : la réalité n'a de sens qu'à travers la perception, réelle ou imaginaire, qu'en a le sujet. Le prisme n'est pas uniquement celui des différents acteurs, mais il est également celui de l'auteur qui se trouve dans différents angles de vue avec le temps qui passe, le point de vue du moment présent, le point de vue

réflexion glisse vers un axe créatif autobiographique. Le mélange de pratiques (écritures, collages, graphies, installations d’objets fétiches, …) témoigne de la manière dont l’élève, suivant son âge et son histoire, appréhende et interprète son « réel ». La thématique de l’autoportrait pose avidement la question du « Qui suis-je ». Le peintre, face à lui-même, livre au spectateur une part de lui-même. L’homme social y côtoie l’être privé. Mais comment différencier l’autoportrait de l’autobiographie

Discours ce souci d'élargir les perspectives aristotéliciennes - dans Poétique, question de la comédie jamais examinée - notion d'action : la fin [la tragédie] « représente non des hommes mais des actions » - la représentation ne se fonde pas sur le réel (ce qui a effectivement eu lieu), mais sur le possible (ce qui pourrait avoir lieu) - la notion de possible est délimitée par le vraisemblable et le nécessaire - le vraisemblable procède de l'expérience commune= correspond à l'horizon d'attente

notion de quête. Celle-ci peut avoir pour objet un personnage disparu, un amour, une identité, une gloire ou une fin spirituelle. Ces quêtes prennent place dans un univers romanesque qui allie des éléments surnaturels et merveilleux à des effets de réel. Le roman en prose au XIIIe siècle Avant le XIIIe siècle, peu de textes étaient écrits en prose. Il s’agissait essentiellement de textes juridiques. C’est pourquoi, dans les mentalités de l’époque, les textes en prose pouvaient facilement