Sartre La Censure

le système préconscient/conscient. Dans l’autre, le système Inconscient, elles seraient dans un état inconscient et ne changeraient d’état qu’à condition de passer dans le premier système. Entre les deux systèmes, se trouverait un barrage nommé « censure »chargé de contrôler ce qui peut ou ne peut pas accéder à la conscience. Cette première topique identifie le refoulé avec l’inconscient et le moi avec le préconscient/conscient. Mais nous allons voir que FREUD ne s’en satisfera pas. B) La deuxième

légitimité du mensonge se pose mais également du devoir de mémoire. Alors peut-on avoir le droit de se mentir? Tout d’abord il faut définir la possibilité et la capacité du mensonge à soi même. Nous le ferons à travers l’analyse de Descartes, Freud et Sartre. Puis il nous faudra déterminer avec Kant si le mensonge à soi même est moralement acceptable en société. Pour finir notre responsabilité vis-à-vis de notre devoir de vérité ne nous empêchent il pas de nous mentir, et les conséquences sur notre psychisme

tiré du texte pour chacun des procédés rhétoriques employés par Voltaire.] Texte 5 : Jean-Paul Sartre est un philosophe français du XXème siècle, fondateur de l’existentialisme (ou philosophie existentialiste), de renommée mondiale. En 1949, il publie Situation III, qui regroupe ses essais, des réflexions sur l’évolution de la société. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, J.-P. Sartre découvre New York. A quelles idées reçues s’oppose-t-il concernant New York ? La capitale américain passe

s’affirmer par des voix détournées. Refoulement : opération inconsciente de rejet des exigences pulsionnelles par la censure ou le surmoi. Il s’agit d’éléments pulsionnels de la sexualité. Il y a des représentations psychiques qui ne peuvent devenir consciente. Ces représentations sont à l’Etat de refoulement, il y a une force qui les maintient enfermées. Quelle est cette instance de censure ? Au « moi » cohérent s’ajoute des éléments psychiques dont le « moi » ne prends pas conscience. - nous avons

Inconscient. B) - l’hypothèse de l’Inconscient : remise en cause des notions de liberté et de responsabilité du sujet. II) La duplicité de la conscience A) - « la mauvaise foi » (Sartre) - La conscience se ment à elle-même pour échapper à sa responsabilité. B) - le refoulement (Freud) - la censure par la conscience de pulsions, de tendances, de désirs ( le « ça ») pour ne pas heurter les interdits sociaux, religieux, familiaux,… (le « sur-moi ») : la duplicité de la conscience

tendue vers ce qui va être, mode de l’échappement - présent de la conscience = durée avec passé immédiat et avenir imminent, présent étale ≠ présent mathématique = laps, factionne le tps, objet abstrait c) La présence constituante d’autrui (Sartre) - renversement du « cogito » cartésien, conscience originairement en rapport avec autrui - abolition de la primauté du sujet, autrui est premier, nous précède - autrui comme condition de mon existence, résultat d’un rapport à l’autre, transmission

* Simone de Beauvoir, née en 1908 à Paris est certainement la romancière, la philosophe et surtout la militante française la plus connue dans le monde. Compagne du philosophe Jean-Paul Sartre, ces deux monstres sacrés ont rencontré le succès dans les années 40. * Le Castor, comme l’appelait Sartre (=beaver) vient d’une famille bourgeoise. Elle est scolarisée dans une école catholique pour les filles de bonnes familles. Elle est discrète et se distingue par ses capacités intellectuelles

Comédies classiques de Molière(L'Avare,Le Bourgeois gentilhomme),Essais(Pamphlets,Voltaire),Romans naturalistes(Germinal,l'Assommoir et romans de la série des Rougon-macquarts de Zola)=>cette argumentation oblique permet également le contour de la censure. Citation de Santeul:"Castigat ridendo mores"-"La Comédie châtie les moeurs en riant" en latin-était la devise des auteurs de la comédie classique au XVIIème siècle sous-axe B)La Littérature est ancrée dans son contexte socio-historique

société est quelque chose de très difficile à cerner. Nous discernons pourtant volontiers des figures emblématiques, des écrivains-phares, qui nous permettent d’inscrire des conceptions du monde dans un cadre historique. On rétrocède alors - depuis Sartre - à Voltaire ou Hugo, pour ne citer qu’eux, le rôle d’éveilleur social. Leurs œuvres ont fait écho et semblent avoir marqué des générations d’hommes et de femmes. Le sujet du débat se voulait d’abord ambitieux en interpellant le monde. Les exemples

ses sentiments, de ses actions et de sa pensée. Il critique le fait de rallier toute action déplacée ou tout phénomène physique et psychique désagréable à l’inconscience. Sartre en revanche, accorde une place centrale à la conscience et condamne le fait qu’on puisse la considérée comme une chose parmi tant d’autre, pour Sartre la conscience perçoit, analyse et agit, en aucun cas elle n’est le produit de l’influence d’une tierce partie de l’appareil psychique. De ce fait il considère qu’on ne peut