Sartre Nous Sommes Ce Que Nous Faisons

torture)  Travailler a longtemps gardé le sens de « faire souffrir » mais aussi par ce travail produire.  La civilisation (ensemble cohérent d’individus partageant une culture, des techniques des comportements semblables) occidentale (dont nous faisons partie) est fortement influencé par la religion judéo-chrétienne.  Cette tradition fait du travail une punition infligée à l’homme par Dieu.  A l’origine de l’humanité, Adam et Eve (les premiers hommes) ne travaillaient pas et pouvaient jouir

notion de conscience ne le permet guère d'emblée. Les problèmes apparaîtront avec les réponses à ces questions. I ) QU'EST-CE QU'UN ETRE CONSCIENT ? On dit que nous sommes conscients, mais que les pierres, les objets inanimés ne le sont pas, ou encore que nous ne le sommes pas nous-mêmes lorsque nous dormons, ou que nous sommes sans connaissance (évanouissement, coma, anesthésie). Dans ce cas, on parle d'une perte, d'une disparition. Mais de quoi ? Que perd-on lorsqu'on perd conscience ou connaissance

(apparence physique, compétences, réussites professionnelles et personnelles, vie affective.) Elle n’est pas moins une valeur fragile et changeante, elle augmente lorsque nous vivons en respectant nos propres valeurs, et diminue lorsque nous ne sommes pas cohérents avec elles. • La confiance en soi : Elle est présente quand nous jugeons disposer des ressources nécessaires à la réalisation d’un objectif réaliste et ponctuelle. • L’affirmation de soi : C’est la capacité à se positionner

d'espace. VIDE : Absence de matière dans une zone spatiale. ESPACE : Avec le big bang apparait l’espace. Zone qui peut être occupé par de la matière ou du vide. 4. Qu’est-ce que la performance ? • Comment comprenez-vous la phrase « Nous sommes en train de devenir Dieu ? Une performance est une complexité, un acquis, une organisation. On passe d'un univers simple à un univers complexe, du chaos au cosmos donc a de la performance. Le fait de pouvoir s’assembler, de voir est déjà une performance

c’est se condamner à l’inaction. Jean Rostand Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, mais parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. Sénèque Nous sommes en permanence nécessaires à la création quotidienne du monde. Nous ne sommes jamais les gardiens d’un accompli mais toujours les co-créateurs d’un devenir. Christiane Singer Lorsqu'un seul homme rêve, Ce n'est qu'un rêve. Mais si beaucoup d'hommes Rêvent ensemble, C'est le début

est capable dans le bien ou dans l’ignominie). Ce que sera l’homme va dépendre de son existence. Sartre dans l’existentialisme est un humanisme, pense que l’existence précède l’essence. L’animal, quand il nait, est déjà quelque chose, l’existence est après l’essence. L’essence précède l’existence chez l’animal, c’est-à-dire qu’il n’a pas encore vécu qu’il est déjà ce qu’il sera. Pour Sartre, Rousseau, Merleau-Ponty, il y a des capacités effectives, c’est-à-dire capacité dont on a maintenant

allons étudier en quoi l’homme se distingue-t-il du cosmos grâce à son humanité qui lui est propre. Tout d'abord, il est important de se dire que nous sommes indépendants dans notre façon d'agir et de penser. Indépendants dans le fait que contrairement à l'animal où ses comportements ne sont dus qu'à ses propres instincts, nous autres humains, sommes forcés d'apprendre à l'aide de notre conscience, faute d'instincts. J'entends par la conscience, sa beauté, l'essence même de l'humanité. La conscience

peuvent s’ajouter d’autres exposées d’élèves, voire d’autres cours selon le nombre d’heures disponibles (le sens dans l’entreprise, le sens au cinéma…) Bibliographie : . Martin Heidegger, Chemins qui ne mènent nulle part. Jean-Paul Sartre, L’existentialisme est un humanisme. C. G. Jung, Psychologie de l’inconscient. Albert Camus, Le mythe de Sisyphe. Gilles Lipovetski, L’ère du vide. Michel Maffesoli, La part du Diable. Jean-Luc Berlet, La cinquième Cavalière.

dont la chose m’apparait, est plus ou moins claire, plus ou moins lucide. - point de vue moral : « cas de conscience », « avoir bonne ou mauvaise conscience » : renvoie à ce que je vaux vraiment, conscience morale interdisant la mauvaise foi, nous sommes apparemment les mieux placés pour savoir si ce qu’on fait est bien ou pas. - point de vue psychologique : qu’est-ce qu’un être doué de conscience Point de vue cognitif : la conscience se réduit-elle à la pensée ? Point de vue moral : vu que la

propre père ». Cette courte histoire permet rapidement de comprendre l'intêret d'une réflexion sur le thème de la confiance, et plus particulièrement vis à vis de celle que l'on accorde à autrui. En effet, chaque jours, vivant en société, nous sommes confrontés à la présence d'individus sur qui on doit se fier, ou du moins pour la plupart. Pouvant être nos parents, nos frères et/ou sœurs, nos ami(e)s, nos collègues de travail, ces personnes constituent ce qu'on apelle autrui. Il nous est semblable