Sartre Situations Ii Tout Ecrit Possede

préalable de rue des écoles. le sujet MOTS CLÉS conscience Étymologiquement, le mot conscience signifie «  savoir ensemble  », «  savoir rassemblé  » (cum scientia). Au sens général, la conscience est le savoir intérieur immédiat que l’homme possède de ses propres pensées, sentiments et actes. Elle est un certain rapport de soi à soi, ou une présence à soi de son esprit ou de son âme. C’est une faculté qui permet à la fois de saisir ce qui se passe en nous et hors de nous. La conscience

qu'humaine » des êtres humains, c'est-à-dire dans une pratique purement intellectuelle, et elle est synonyme de φιλομαθια (philomathia) : « amour de la connaissance »[5]. Par ailleurs, elle est une tension vers un savoir ou une sagesse que l'on ne possède pas, et en ce sens elle relève d'un désir permanent : ainsi, Socrate, lors de son procès rapporté dans l'Apologie de Socrate, affirme être « ami de la sagesse », et non pas « sage »[6]. C'est ce qui l'amène à trouver dans sa condamnation à mort une

dictionnaire de l’académie française parue en 1740, il est écrit que ce dictionnaire sera utile à la nation et peut être même à l’Europe. - Le dictionnaire alors un objectif politique : fédérer les sujet du royaume par la langue, en faire un outil de contrôle social (peuple ou honnête gens), étendre la monarchie. Une citation de Richelieu vient affirmer cet objectif politique : « grâce au dictionnaire de l’académie, on pourra comprendre dans tout le royaume ce que veut dire le roi. » - A cela il

La culture Introduction 1 I. Nature et culture 2 A. L’homme et l’animal 2 B. Y a-t-il une nature humaine ? 4 II. Le procès de civilisation 7 A. La culture comme éducation de l’homme par la société 7 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 10 III. Culture particulière et culture universelle 12 A. Le relativisme culturel 12 B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 14 Conclusion 16 Annexe 16 Illustrations 18 Sujets de dissertation 18 Introduction

dans l’usage et dans les pratiques orales du nord de la France. Romanus (latin) > romanice (latin vulgaire) > romanz ou romans (ancien français). Les premiers écrits historiques sont apparus pendant la période de l'antiquité, lEneide et lOdyssé en sont quelques exemples. Ensuite, au Moyen Âge, l’usage du latin se restreint aux textes écrits tandis que les communications orales se font en langue romane. Le latin n'étant connu que d’une petite minorité de la population, constituée essentiellement de

Montañés Il y avait une différence entre les chansons de geste commerciales et les chansons de geste d’élite pour les princes, les rois, etc. - La structure est très hétérogène, composée de textes hétéroclites. Il faut penser à une idée d’union en tout le texte, à un ensemble. C’est une chanson composée en ancien français. La structure se compose d’un long prologue, majestueux. À l’intérieur il y a beaucoup d´épisodes juxtaposés et parfois des récits enchâssés. La partie la plus importante, l’apogée

une illusion. Pour la vérité , il faut donc se demander quels sont les critères de vérité, comment savoir ce que nous prenons pour vrai, est vraiment vrai. Par ailleurs, la science elle-même est-elle capable de tout démontrer ? Ne repose-t-elle pas elle aussi sur des principes indémontrables? Quel statut accorder à nos croyances? Nous avons tous des valeurs esthétique/ morale/ politique que nous tenons davantage qu'à la vérité scientifique. Quelle valeur faut-il

comp., t. 2, 1805, p. 386) : 1. De même, chez l'homme toutes les fonctions de l'animal se retrouvent, mais transformées. L'antique définition, répétée de siècle en siècle : l'homme [it. ds le texte] est un animal raisonnable, ne doit donc pas être entendue comme si l'on disait que l'homme est un animal, plus la raison, mais en ce sens que l'homme est un animal transformé par la raison. P. Leroux, Humanité, t. 1, 1840, p. 111. 2. ... comme tout animal supérieur, l'homme est un agrégat de plusieurs

sens le plus strict n'existe que pour un être qui a pour objet sa propre espèce, sa propre essence. L’homme peut donc se connaître lui-même, non pas seulement comme individu mais comme appartenant à une espèce qui se caractérise par le fait de posséder une conscience. Il peut donc s’interroger sur sa propre espèce (ce que ne peuvent pas faire les animaux), son essence en tant qu’être humain. La conscience rend ainsi possible la science, c’est-à-dire que l’homme peut connaître ce qui l’entoure

L’histoire est-elle une science ?1 (Cours de M. Bouillet) Introduction Selon le dictionnaire, le terme d’ « histoire » possède un double sens : - Premièrement, l’histoire est de l’ordre du « fait physique », c’est-à-dire qu’elle est une succession de faits manifestes dans le temps. Ainsi, l’histoire s’identifie à l’écoulement même du temps. Deuxièmement, l’histoire est de l’ordre du « fait psychique », c’est-à-dire qu’elle est un récit de cette suite de faits dans le temps. Dans ce cas, l’histoire