Sartre Travail Et Liberte

de pédagogie ; Hachette Œuvres et opuscules philosophiques ; ou Réflexions sur l’éducation, Vrin. * Comment développer les germes qui sont dans l’enfant, concilier contrainte nécessaire avec apprentissage de la liberté? Faut-il résister aux enfants, leur apprendre à travailler, leur imposer une discipline ? 9) KANT : Idée d'un Histoire universelle + Qu’est-ce que les Lumières ? Nathan « les intégrales de philo », ou Folio plus**. Deux manifestes de la Philosophie des Lumières. Le premier

recule ou avance, l’opposition est donc un peu fausse. On est +/- croyant ou +/- incroyant, cela passe par notre cœur. Quand on étudie l’histoire, le phénomène religieux * apparaît toujours en premier dans n’importe quelle culture (hypothèse de travail), l’athéisme apparaît toujours en deuxième lieu (on ne le devient qu’ensuite) c’est une réaction face à la religion. Qu’est-ce que l’athéisme ?? Comment devient-on athée ? Il existe différentes sortes d’athéisme : 4 remarques préliminaires :

que chacun aperçoit aisément, mais auquel on peut tellement s'habituer qu'il finit par être perçu (entendu) sans que nous en ayions encore conscience. ° l’attention(tendre vers)= faculté qu'a l'esprit de se concentrer sur un objet déterminé. (Sartre) : « La conscience de soi introduit une impossible coïncidence de soi à soi » ° concentration et abstraction  ° méditation= attention à l’opération de la pensée ° introspection= un regard de soi sur soi REM : le propre de l’hô c’est la

femme au marché du travail et au droit de vote, phénomène dû en grande partie à la Deuxième Guerre mondiale. Avant la Première Guerre mondiale – la France de 1901 à 1914 [pic] Robert Doisneau, Baiser place de l’Hôtel de ville (1950) La France vit alors une période de grande prospérité sur tous les plans : socioéconomique, politique, etc. expansion de l’instruction, qui est valorisée extension des droits des travailleurs (syndicats, diminution des heures de travail, instauration d’un salaire

POUVOIR ET ASSUJETTISSEMENT CHEZ SARTRE ET FOUCAULT INTRODUCTION Dans L’histoire de la folie à l’âge classique puis dans Surveiller et punir, Michel Foucault interroge dans ses moindres détails et ramifications, les mécanismes de pouvoir qui s’expriment à travers deux paradigmes : le modèle de la lèpre et celui de la peste. Le modèle de la lèpre correspond aux rituels d’exclusion et d’enfermement alors que celui de la peste a suscité des schémas disciplinaires. Le lépreux est pris dans une

causes qui les déterminent à désirer » : Spinoza. LE DÉSIR : « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort » : Nietzsche. « Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! » : Rousseau. « Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir » : Épictète, Manuel. « Ne demande point que les choses arrivent comme tu les désires mais désire qu'elles arrivent comme elles arrivent et tu prospéreras toujours » : Épictète, Manuel. L'ART : « Le beau

dynamique de pulsions, qui cherchent à s'exprimer, et une censure qui est elle-même inconsciente et qui travaille à maintenir les pulsions inconscientes en les refoulant. Dans ce sens, sans conscience il y a une absence de responsabilité. Tout acte refoulé par la conscience, ne pourrait pas être considéré comme nous ayant pour responsable. Pourtant la conscience est le fondement de la liberté, du sujet ainsi que de ses aptitudes. Freud affirme "ça pense" "ça agit" mais il remet en cause les fondements

de celle de Jean-Paul Sartre dont elle a partagé la vie et les intérêts. Issue d' un milieu bourgeois, elle le rejette et entreprend des études supérieures de lettres et mathématique. Elle obtient l'agrégation de philosophie et enseigne pendant de nombreuses années cette discipline dans la mouvance de l'existentialisme. Comme Sartre, elle analise l'être humain, ce qui va au dehors de l'existence et la possibilité que l'homme a de choisir sa vie mais, contrairement à Sartre, elle emploie rarament

romantisme : Le mouvement romantique exprime un sentiment de révolte contre l’ordre établi, auquel il oppose l’exaltation d’un moi intime et lyrique. Lyrime : expression de soi Les principes du mouvement : * Se libérer des règles classiques pour la liberté de création (règle des trois unités ; temps, lieu, action) * Exprime les passions du moi et texte fondé sur le lyrisme (expression de sa propre souffrance) * Réaliser le mélange des genres et des registres Les thèmes : * L’expérience

* La liberté semble bien une donnée immédiate de la conscience qui accompagne chacun jusque dans les états d'aliénation les plus graves... Ce peut être une illusion reposant sur la méconnaissance des forces qui agissent sur le moi (?). * Si la volonté a le pouvoir de dire oui ou non, ce pouvoir pour être efficace doit être éclairé par la connaissance de la situation particulière: or toute connaissance est partielle, construite par le sujet. La liberté est donc toujours un risque. * *