Satan 666

le pauvre à détente politesse.. Mais il réagit sur le mot « aumône », car il y a une contradiction entre la croyance et la misère et ca l’agace, il veut tester la sincérité de l’homme, pour voir jusqu’où va la sincérité de l’homme. DJ = diable, satan, pervère c’est celui qui tente, rôle diabolique, il veut le faire craquer et veut abimer l’image de Dieu : ingras, indifférent, il n’en vaut pas la peine. Dépit quand il voit que le pauvre résiste = méprisant et agacé. Il est blessant pour Dieu =

Parker s'entend bien avec Raines, puisqu'il sera son amant). Heathcliff fait preuve d'un grd stoïcisme : il résiste à la douleur, et semble insensible : il ne "donne pas le moindre signe de gratitude". Il donne des ordres. On l'a surnommé "suppôt de Satan" (Mlle Parker a un jour dit ça de Raines, plus d'une fois même elle l'a comparé au Diable). Heathcliff est orgueilleux et farouche. Certaines rumeurs courrent : "on eût dit, à cette époque, que ce graçon était réellement possédé de quelque esprit diabolique"

l’air d’un moribond caressant son tombeau. Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton œil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ? De Satan ou de Dieu, qu’importe ? Ange ou Sirène, Qu’importe, si tu rends, — fée aux yeux de velours, Rhythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! — L’univers moins hideux et les instants moins lourds ? Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XXI

Théophile Gautier (écrivain, poète...), de Théodore de Ban ville (poète…) ou encore de Charles Asselineau (écrivain). Pour vivre, Baudelaire se lance dans la critique d'art et le journalisme vers 1845. Il est convaincu que l'âme est séparé entre Dieu et Satan, entre Spleen et Idéal. Il rejette les Lumières et la révolution, la démocratie et la tyrannie de l'opinion publique. Pour lui, le dogme n'est plus réspecter. Ses œuvres principales : -Salons (1846-1859), - Journaux intimes (1851-1862), - les

linteau de droite, Satan préside. A ses côtés, des démons châtient les auteurs des sept péchés capitaux (l’orgueil, la luxure, la paresse, l’avarice, l’envie, la gourmandise et la colère). Quelques péchés décrits : L’avarice : un homme est pendu, sa bourse autour du cou. L’orgueil : un chevalier est désarçonné de son cheval à coups de fourche. La luxure : Une femme à la poitrine dénudée et son amant sont liées par le cou. La paresse : le damné est couché sous les pieds de Satan. La calomnie :

3.1Champ lexical du vice et des péchés: "lésine", "péchés", "lâches", "débauché", "volons", "plaisir", "clandestin", "démon", "Satan", "viol", "poison", poignard", "incendie", "vices", "Ennui". L'homme comme individu dominé par la lassitude: champ lexical de la paresse "lâches", "oreiller", "berce", "débauché". L'homme est emporté: "C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent", "Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas". L’homme est déshumanisé, il n'est plus maître de son corps

d’hallucination. Ces sentiments sont plus profonds (mal de vivre encore plus fort) que ceux du mal du siècle des romantique. Pour B. Il y a l’aspiration vers Dieu pour monter en grade, aspiration à une joie suprême (POESIE) qui s’appelle IDEAL et l’autre vers Satan, une joie de descendre à l’inferne, dégoût pour la vie qui s’appelle Spleen.    Échapper le SPLEEN   Voyage: Le poète veut échapper à son monde oppressant en partant loin. Il doit trouver un sens pour sa vie, donc le voyage c’est une libération

 Liège, le 20 décembre 2010 Renier Emilienne 2e BAC HAAM Satan dans l'Apocalypse Travail d'iconographie Dans la Bible, le terme Satan est plutôt rare et était à l'origine un nom commun. Il signifie "adversaire" en Hébreu. On le retrouve dans l'Ancien Testament pour désigner un ange qui se permet de faire douter Dieu de la fidélité d'un de ses serviteurs, Job; et qui fait s'abattre sur

l'auteur, par le biais d'une question : « viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme », revêt un caractère obsessionnel, et les interrogations se répètent au début de plusieurs strophes « sors tu du gouffre ou descends-tu des astres ? » v.9, « de Satan ou de Dieu, qu'importe ? » v.25. On remarque que la beauté semble presque toujours émerger d'une profondeur  « ciel profond » v.1, « abîme »v.1, « gouffre noir »v.9. L'allusion à une profondeur ténébreuse souligne son origine obscure. Son origine

féroce de la femme » vers 6, 7. La femme se situe donc entre le bien et le mal : La femme se situe entre le ciel et l’enfer. Un poème très significatif, « hymne à la beauté » le poète interroge la femme sur son origine, divine ou maléfique. « De Satan ou de dieu, qu’importe? » vers 25. Dans ce poème on voit bien cette dualité entre le bien et le mal, le spleen et l’idéal. La catégorie Spleen et idéal est séparé en quatre cycles. Chaque cycle est consacré à un genre de femme. Cycle 1 : Jeanne Duval