Satire Caractères La Bruyère

Lecture Analytique 2 Les Caractères 1688 de la Bruyère " Arrias " Intro : l'ambition de la Bruyère : peindre les mœurs de son siècle. Choisit forme brève : le portrait. Son esprit classique : porte vers idéal naturel et simplicité => c'est la raison pour laquelle choisit tourner dérision impertinence de celui qui prétend tout savoir Problématique : A quoi tient efficacité de ce portrait ? Plan : Suffisance d'Arrias mise en scène, puis composition du portrait impose satire. I/ a) Narrateur

La Bruyère). | Structure/construction/progression du texte : Ici la fable est divisée en 5 parties:vers 1 à 16 : premier acte de la comédie vers 17 à 23 : parenthèse et intervention du narrateur vers 24 à 38 : coup de théâtre, deuxième acte vers 39 à 51 : deuxième coup de théâtre, troisième acte vers 52 à la fin : moralité L'art du fabuliste: il a construit sa fable comme une pièce de théâtre. La moralité est tout au long de la fable et à la fin, le récit est riche en pensées. Satire social+

lionne ; – un monarque qui condamne sur une simple délation ; – un roi cruel : allusion au châtiment à travers la mention des « sacrés ongles » (v. 36) ; – l’adjectif et l’antithèse « membres profanes »/« sacrés ongles » rappellent le caractère sacré du monarque de droit divin, allusion claire à la monarchie française ; – un roi sensible à la flatterie qui récompense ceux qui s’y livrent (vers 51). 4. Les courtisans Désignés par l’adjectif indéfini « chacun » (v. 2 et 11)

Définition bien trop générale pour circonscrire un groupe que pourtant les dictionnaires, les manuels, les anthologies s'entendent, depuis en gros la seconde moitié du XVIIIe siècle, à limiter à quelques grands noms : Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère... On l'élargit parfois, en amont dans le temps, à Montaigne ; souvent, en aval, à Vauvenargues et Chamfort, voire à Joubert ; aux marges, à toutes sortes d'auteurs qui ne sont pas tous mineurs, et que réunit surtout une appréciation de leur style

« il a tout lu, tout vu, il veut le persuader ». Il « prend la parole et l’ôte à ceux qui allaient dire ce qu’ils en savent ». Il n’hésite pas non plus à contredire les autres ; il maitrise l’art de parler. Ces deux personnages sont deux satires, critiques, de personnes égocentriques et imbus de leur personne, dans une société où s’exprimer correctement est la clef de la maitrise de la parole et du débat. Livre VI : Des biens de fortune Dans ce sixième livre, l’auteur nous fait une citrique

briques »(p.9). Ce sont deux image assez drôles qui coïncident avec deux échecs, cela créer un décalage. Svevo ne peut travailler et ses chaussures sont trouées. En effet c’est un genre littéraire de dessin humoristique qui charge certains traits de caractère souvent drôles, ridicules ou déplaisants. Autrefois, à l'époque de Léonard de Vinci, on appelait les caricatures « grotesques ». Les caricatures, notamment dans la presse écrite sont à visée sociale, politique, souvent critique. Dans le cas d'un

faire une satire de la mode mais aussi une satire du roi et des mœurs françaises. Il montre le côté autoritaire de la mode et le fait qu’elle fonctionne de manière pyramidale : les Parisiens créent la mode puis les «banlieues» les suivent. Elle ne cesse donc de s’étaler et créée l’embarras chez les Français. Enfin, la soumission à la mode est révélatrice d’un comportement : celui l’asservissement social et politique des sujets. Ouverture possible sur : Les Caractères  (1688) de La Bruyère, un recueil

physique du bourgeois que nous complèterons avec le reflet moral que nous donne Rimbaud de ces derniers. Nous voyons dès le premier vers que le poème décrit très précisément les lieux de l’action. La ville et la nature servent de tremplin à la satire. En effet, l’auteur donne une marque historique et géographique au texte en inscrivant clairement que cela se passe « place de la gare à Charleville ». Ce renseignement donne une valeur de témoignage, le lecteur a l’impression d’être plongé dans

Saturniens ne mesurent « que » 2000 mètres, + petits que le Sirien. ANALYSE : Certains éléments font penser soit à un début de conte / soit à un récit véridique. ➢ Conte : lieu vague et fantaisiste ; « il y avait un jeune homme » ; trait de caractère dominant : son esprit. ➢ Récit véridique : le narrateur dit avoir connu le héros. ➢ Taille : nombreuses précisions chiffrées, calculs qui donnent le vertige, ccl humoristique : « rien n’est plus simple et plus ordinaire dans la nature »

le Sirien. ANALYSE  : Certains éléments font penser soit à un début de conte / soit à un récit véridique. · Conte  : lieu vague et fantaisiste ; « il y avait un jeune homme » ; trait de caractère dominant : son esprit. · Récit véridique  : le narrateur dit avoir connu le héros. · Taille  : nombreuses précisions chiffrées, calculs qui donnent le vertige