Satire Des Couvents La Religieuse

masques. Avec le recul, nous savons que cette société vit ces derniers jours à la veille de la Révolution française, et la chute des libertins est aussi le chant du cygne du libertinage comme de la littérature qu’il aura inspirée.  L’éducation religieuse des filles et ses conséquences Il est intéressant de noter que la prolifération du libertinage sous la Régence et, dans une moindre mesure, sous Louis XV, trouve dans cette société aux usages encore très codifiés, un terrain, qui non seulement

caricature. En vous appuyant sur le lexique et les sous-entendus, montrez que ceux des Kerkabon sont destinés à faire sourire et à révéler certains aspects de la société d’Ancien Régime. L’abbé de Kerkabon ne semble pas vraiment avoir de vocation religieuse : par ses traits de caractère et ses goûts, il ressemble au type du moine grivois et gourmand des fabliaux médiévaux ou rabelaisien. C’est un personnage aux mœurs un peu dou‑ teuses : il est aimé de ses voisines mais la raison est passée sous

nièce de votre maître une glorieuse fleur…. Mais là encore ces effets de symétrie ne font que souligner ce qui les oppose : ils n’ont pas du tout la même éducation. Si Perdican est docteur à Paris (docteur a le sens de savant), Camille sort du couvent Perdican, avec des façons de parler si belles et si fleuries, a surtout un savoir laïc, scientifique qui l'ouvre au monde par la connaissance abstraite et concrète des choses; il parle latin mais c’est pour décrire la nature et donner des explications

avec Mathurine. * Compliments, promesse de mariage (comme le dit Sga « épouseur du genre humain » IV,2) et parfois violence (par rapport à Pierrot ou en I,2 réunir des gens pour enlever une fille «  forcer dans sa passion, l’obstacle sacré d’un couvent » B . L’amour des femmes : - L’amour sensuel : il est attentif aux grâces du corps féminin : *II,2 en apercevant Charlotte qu’il dévore du regard : «  peut-on rien voir de plus agréable ? (…) je n’ai jamais vu une si charmante personne » *mais

pour être lues mais pour être jouées. Le théâtre, c’est donc l’art de représenter devant un public une suite d’événements. b) Le théâtre au fil du temps. 1) Le théâtre antique Le théâtre en Grèce -Les représentations faisaient partie des fêtes religieuses (les acteurs étaient sur scène pour le dieu du vin, Dionysos). -En plein air -Costumes et masques (les masques servaient à montrer l’humeur des acteurs(tragédie ou comédie)) -Les rôles étaient tenus par des hommes. -Les principaux auteurs de

brûlant », « escopette », « en ruine », anaphore du terme « guerre » [v44/45] – Lexique de la bestialité : « dévorer », « morsures », « couleuvres » – Perte des valeurs morales (v50 antithèse « Tout se fait par intrigue et rien par loyauté » et religieuses (v48/49 « Notre église en ruine » / « L'herbe y croît ») – Métaphores saisissantes : « L'Espagne est un égout où vient l'impureté » (métaphore sordide) / « Babel est dans Madrid » (coloration chrétienne d'un châtiment divin) II) aux accents épiques

Dissertation : Le Malade ImaginairePhrase d’accroche : Au 18 -ème siècle, né le théâtre classique ayant pour but majeur de plaire et d’instruire. Molière, l’un des plus grands dramaturges de ce siècle, se démarque par ses comédies qui critiquent les vices et les travers humains. Dans le Malade imaginaire , une comédie ballet qui a vu le jour en 1673, met en scène Argan, un hypocondriaque, exploité par des médecins charlatans, et qui veut marier sa fille à l’un

brûlant », « escopette », « en ruine », anaphore du terme « guerre » [v44/45] – Lexique de la bestialité : « dévorer », « morsures », « couleuvres » – Perte des valeurs morales (v50 antithèse « Tout se fait par intrigue et rien par loyauté » et religieuses (v48/49 « Notre église en ruine » / « L'herbe y croît ») – Métaphores saisissantes : « L'Espagne est un égout où vient l'impureté » (métaphore sordide) / « Babel est dans Madrid » (coloration chrétienne d'un châtiment divin) II) aux accents épiques

d'abord, certains passages de l’œuvre m'ont fortement marquée. Prenons pour exemple, la scène du procès de Meursault dans le chapitre III de la deuxième partie qui est certainement mon passage préféré du récit. Dans cet extrait, Albert Camus dresse une satire de la société et plus précisément de la justice. Tous les personnages du roman sont réunis dans une même pièce et chacun incarne un personnage de type différent. Le procureur par exemple, apparaît comme un acteur par ses réactions et ses propos exagérés

1492, mettant fin à la Reconquista. L’Europe occidental connaît alors une prodigieuse effervescence intellectuelle, artistique et scientifique: c’est la renaissance. En un même temps, les nations et peuples du continent entre dans des querelles religieuse et politiques. Nos divisions actuelles en sont le fruit amer… |Contexte général |Contexte littéraire | |