Satire Des Medecins Jean De La Fontaine

dans l’oeuvre...........................................................................39 c) Personnages pour eux-mêmes.....................................................................................42 2) La voix du narrateur : de l’ironie à la satire.....................................................................51 a) L’argent-roi..................................................................................................................52 b) Theatrum mundi..........................

l’humain et l’animal, longtemps tenue pour évidente et immuable, a perdu de sa stabilité, « la prise de conscience des différents types de liens qui nous relient au reste de la nature conduit à reconsidérer les rapports que nous entretenons à l’animal » (Jean-François Staszak, La place de l’animal, 2002). Quelle place concéder aux animaux ? Vous justifierez cette place à l’aide d’arguments extraits du dossier et préciserez la façon dont il convient aujourd’hui, en cohérence avec vos arguments, de définir

jamais. Ton — Ne — oreille me ne touche donc, Thomme; sait pas est-ce ce qu'elledit. ! laisse que tu là es mon oreille ! laisse fou? tu t'en trouveras mal. Non, — non, cela ne m'est pas arrivé depuis le soir de la Saint-Jean. Tu — tu me feras si bien bouderas comme que... et puis si c'était de dans ma un mois faute. d'ici 38 « JACQUES Ah! LE homme!... mon FATALISTE mais... mais cet homme qui est là! bien! Eh — Il — nous cet peut-être

double tradition, biblique et néoplatonicienne, qui voit en l'âme un "miroir vivant", terni par le péché. Cf. J. Deprun, "Mystique, Lumières, Romantisme: jalons pour une histoire des "miroirs vivants "", dans Approches des Lumières. Mélanges offerts à Jean Fabre, Klincksieck, 1974, p. 123 à 132. 138. On comparera avec L'Albatros de Polydore Bounin (P.), et avec le chapitre XIV des Aventures d'Arthur Gordon Pym de Poe ("Albatros et pingouins"), oeuvre traduite par Baudelaire en 1858. 139. Stophe ajoutée

revoir en moi, sans pouvoir oublier que je la lui avais ôtée ; jamais il ne m'embrassa que je ne sentisse à ses soupirs, à ses convulsives étreintes, qu'un regret amer se mêlait à ses caresses : elles n'en étaient que plus tendres. Quand il me disait : Jean-Jacques, parlons de ta mère ; je lui disais : Hé bien ! mon père, nous allons donc pleurer ; et ce mot seul lui tirait déjà des larmes. Ah ! disait-il en gémissant, rends-la-moi, console-moi d'elle, remplis le vide qu'elle a laissé dans mon âme. T'aimerais-je

la syntaxe» selon la cadence du souffle. Ayant obtenu en 1914 le premier baccalauréat et le second en 1915, il commença des études de médecine. En 1917, il fit la connaissance d’André Breton. Leur commune admiration pour Mallarmé, Rimbaud, Apollinaire, Jarry et Lautréamont les lia d’amitié. Mobilisé cette année-là, ce fut avant de partir au front comme médecin auxiliaire qu’il se vit «infliger la vérité» sur son roman familial, qu’il apprit la série de mensonges dans lesquels il avait vécu toute

la syntaxe» selon la cadence du souffle. Ayant obtenu en 1914 le premier baccalauréat et le second en 1915, il commença des études de médecine. En 1917, il fit la connaissance d’André Breton. Leur commune admiration pour Mallarmé, Rimbaud, Apollinaire, Jarry et Lautréamont les lia d’amitié. Mobilisé cette année-là, ce fut avant de partir au front comme médecin auxiliaire qu’il se vit «infliger la vérité» sur son roman familial, qu’il apprit la série de mensonges dans lesquels il avait vécu toute

convention, qui n’a ni caractère, ni idées à lui. C’est, comme le dit l’auteur lui-même, un voyageur abstrait ; il n’est là que pour remplacer Dufresny, en ne le laissant pas parler seul tout le long de son livre. Voici du reste un passage de cette satire parisienne aujourd’hui oubliée quoiqu’elle ne manque pas d’esprit ; on verra quelle distance il y a entre la création de Montesquieu et celle de son prétendu modèle. « Paris est un monde entier ; on y découvre chaque jour plus de pays nouveaux et

| | | |Jean-Jacques ROUSSEAU (1750) | |

pour la lawing, c’est-à-dire pour la mutilation. Cette lawing ou mutilation serait accomplie dans la forme ordinaire, qui est que trois griffes seront coupées à l’extérieur du pied droit. Voyez à ce sujet l’Essai historique sur la grande charte du roi Jean (un fort beau volume), par Richard Thompson. – 14 – – Eh bien ! reprit Wamba, comment appelez-vous ces animaux grognards, qui courent là-bas sur leurs quatre jambes ? – Des pourceaux, bouffon, des pourceaux, dit Gurth ; le premier idiot venu