Satire Des Médecins

de Gargamelle anormalement longue : dire encore une fois au lecteur qu’il va falloir faire preuve de discernement dans la mesure où Rabelais a recours à des références faussées, faisant appel à la mythologie ou à des textes de Plaute qui n’est pas médecin mais auteur de comédies. Permet à Rabelais d’évoquer le sujet très sérieux de la gestation d’un point de vue médical et juridique. Question débattue depuis l’Antiquité : références nombreuses présentes dans le chapitre. Parodie du style juridique

mon mal ». Eléments pour une introduction : Le Malade imaginaire est souvent considéré comme l'une des pièces les plus riches et des plus profondes de Molière, en raison des thèmes qu’elle développe (réflexion sur la mort, satire et dénonciation de la médecine), de la présence d’un héros paradoxal (un malade sain), s’enfermant dans sa folie et s’opposant à l’amour de deux jeunes gens et de la fantaisie éblouissante qui caractérise cette comédie-ballet, où se succèdent, avec brio, chants

imaginaire créé en 1673 est la dernière pièce de Molière. Alors lui-même malade, l’auteur y fait une satire de la médecine et des médecins, tout en présentant une réflexion sur la peur de la mort. Une nouvelle fois, les personnages sont livrés à la tyrannie d’un personnage monomaniaque, Argan. Celui-ci, guidé par son hypocondrie maladive a décidé de marier sa fille, contre son gré à un jeune médecin. On assiste dans cette scène à une confrontation entre Argan et sa servante Toinette qui s’oppose

anticlérical, chrétien et libre penseur, médecin et bon vivant, les multiples facettes de sa personnalité semblent parfois contradictoires. Pris dans la tourmente religieuse et politique de la Réforme, Rabelais se montre à la fois sensible et critique vis-à-vis des grandes questions de son temps. Par la suite, les regards portés sur sa vie et son œuvre ont évolué selon les époques et les courants de pensée. Admirateur d'Érasme, maniant la parodie et la satire, Rabelais lutte en faveur de la tolérance

Bovary de Gustave Flaubert «Pour moi, l'amour n'est pas et ne doit pas être au premier plan de la vie.» Gustave Flaubert 1821-1880 Fils d’un chirurgien réputé, Flaubert grandit dans le cadre mélancolique de l’Hôtel-Dieu de Rouen où son père est médecin chef : peut-être y puise-t-il le fond de tristesse qui le caractérise ainsi que le goût de l’observation quasi-scientifique de la nature humaine. Au lycée de Rouen où il fait ses premières études, il est un élève doué mais indiscipliné en proie à

déformé ou inventé suscitent le rire. Ex : Dans "Un mot pour un autre" de Tardieu quand il change un mot pour un autre, dans les "Fourberies de Scapin" de Molière, quand Scapin prend un accent... 3. La satire : L'auteur se moque d'un trait de caractère (la jalousie, l'avarice) ou d'une profession (les médecins). Ex : Quand Molière se moque de l'avarice de Géronte, ou quand Courteline se moque de la paresse des employés de bureau... 4. Le comique de gestes : Les didascalies de l'auteur ou les inventions

apprend le métier d’acteur et commence à écrire ses premières comédies. En 1658, il joue devant le roi Louis XIV et gagne sa protection. Le roi installe la troupe au Théâtre du Petit-Bourbon. Molière écrit les Précieuses ridicules en 1659. Cette satire burlesque est le premier de ses grands succès. En 1662, Molière épouse Armande Béjart, qui serait la sœur ou la fille de Madeleine. Molière écrit des farces qui critiquent la cours et la société , il garde néanmoins le soutien de Louis XIV

Fort de son récent succès, Rabelais, écrivain après avoir été moine puis médecin, publie Gargantua sous le pseudonyme d'Alcofribas Nasier, il poursuit donc son oeuvre dans la veine de son premier roman Pantagruel, en écrivant l'histoire du père après celle du fils. Dans son prologue, Rabelais adresse un discours à ses lecteurs, et leur donne un mode d'emploi de lecture de son livre : sous le roman comique, il faut trouver une oeuvre sérieuse, en véritable lecteur modèle et humaniste. I. Une introduction

institutions, surtout religieuses. Critique de la religion, satire des prêtres : le libertinage de frère Giroflée, le jésuite, l’abbé Périgourdin. Voltaire dénonce la complicité entre le pouvoir politique et l’Eglise. Critique de toutes les formes d’injustices et d’arbitraire, de la violence, de l’esclavage, de la violence à l’égard des femmes, du libertinage, de l’immoralité. Critique de la classe aristocratique, critique des médecins. Cela reflète l’esprit des Lumières. II- Les procédés

qu'on appelle mièvre et éveillé »« on eut toutes les peines du monde à lui apprendre à lire »Satire des médecins à travers ce duo père-fils caricatural« et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et expériences des prétendues découvertes de notre siècle »= les médecins sont ici montrés comme REACTIONNAIRES et INCOMPETENTS →CF fiche sur l'escroquerie de la médecine→ fin de la scène : l'auscultation ridicule de pédantisme et d'approximationsARGAN : un homme