Satyre

Thésée. Il utilise ainsi du registre pathétique (ex : lacrimis ), provoquant la compassion du lecteur, et le champ lexical du désespoir (ex : tundens mollissima pectora ), Arrivée brutale et bruyante du cortège de Bacchus (Mimallonides/Bachantes, satyres, Silène) avec les allitérations en « t » et les « ecce » traduisant une agitation. (toto litore) Le vers 547 constitué uniquement de spondée donne une majestuosité au vers s’apparentant à l’arrivée soudaine. Référence à Bacchus car le vin est un moyen

son oncle Gabriel, susceptible d’être homosexuel, qui travaille comme « Paris, pour y passer un jour et demi sous la garde de son oncle. Dès son arrivée, la grève du métro démoralise danseuse de charme » dans une boîte de « tantes », le « flic ou satyre » Trouscaillon, le chauffeur de taxi Charles, Madame veuve Mouaque, folle d’amour, le guide touristique slave Fédor Balanovitch, les touristes multinationaux, etc. Zazie visite d’abord le marché aux puces, monte ensuite sur la tour Effel, apprécie

jusqu’à frapper un blessé qu’il devrait soigner. D’un point de vue stylistique, on osberve une gradation de la violence. En même temps, l’absurdité du comportement est telle qu’elle ne peut que consacrer la caricature burlesque du personnage. La satyre de la médecine de guerre dépeinte ici par Huysmans ressemble à bien des égards à une référence littéraire aux médecins mis en scène par Molière, qui lui-même s’attachait à critiquer la médecine de son temps, notamment dans le Malade Imaginaire (1673)

multiples, de conditions variées • Importance du corps (gestes, voix mouvements) • Mélanges des genres et registres Le vaudeville • Anciennement chanson populaire, gaie et satirique • Eugène Labiche, auteur notable car associe farce et satyre • Exploitation du quiproquo, coup de théâtre Le théâtre au XXème siècle • Rejette ancien système dramatique et met en question le langage • Rapport scène/public • Retour du tragique (question des limites de la liberté et tragique des

de ce fait se repositionnent les uns par rapport aux autres. -la notion de preuve: 3hiéroglyphe" par Figaro ; "spatule" par Marceline. Dans la scène précédente, il y avait un procès, or dans les procès on cherche des preuves: ici, poursuite de la satyre de la justice Champ lexical judiciaire, de la preuve: B. demande des preuves physiques de existence des parents de F. : il déclare: "Nommez- les" Le Comte avec: "la preuve?" Il y a aussi le verbe témoigné B. va essayer de confronter les versions,

Poséidon (Neptune) ébranlait la mer et la calmait tour à tour ; Phébus [épithète d’Apollon signifiant « pur » ou « lumineux »] éclairait le monde ; les grands dieux se partageaient le gouvernement suprême de la nature. Une infinité de nymphes, de satyres, de divinités secondaires peuplaient les eaux et les bois. Toutes ces divinités étaient fort loin de la perfection infinie dont l’idée nous parait aujourd’hui inséparable de la notion même de Dieu. Les dieux Homériques sont des êtres supérieurs

ses comptes philosophiques Zadig, Microméga … qui reste aujourd’hui ses écrits les plus lus. On peut noter aussi des milliers de lettres privées ou parfois ouvertes. De nos jours son œuvre la plus connu et la plus lus est surement Candide. 1) La satyre : registre, cibles et variations. 1° La noblesse : Le texte est précédé d’un chapeau introductif. Les personnages mis en scènes sont : le baron, Candide … La Westphalie est un lieu qui en 1750 connote la violence car c’est un théatre de

débouche à sa condamnation unanime v55a62. La morale, qui succède au récit dans les deux derniers vers, explique que la force est toujours innocente, et la faiblesse toujours coupable. Nous verrons comment LF use des ressources du tragique pour faire une satyre de la cour fondée sur l'ironie. I) un récit tragique a) les ravages de la peste: situation initiale tragique :champ lex mort Désordre profond dans l'univers animal: » loup ne chasse plus »+ « tourterelles se fuient » Octosyllabes=rétrécissement

cygne et le myrte. Apollon Apollon, fils de Zeus et de Léto, est le dieu des arts, de la poésie, du soleil et de la musique. Conducteur des Muses, il manie la lyre aussi bien que l'arc. Il sait se montrer sans pitié avec ceux qui le défient : le satyre Marsyas, écorché vif, ou Niobé, dont les enfants sont massacrés. Sous le nom de Phœbus, il est le dieu de la clarté solaire. Arès Arès, fils de Zeus et d'Héra, est le dieu de la guerre. Brutal et sanguinaire, il se délecte dans les massacres. Pour

Ier siècle Pline l'Ancien, les singes sont les animaux qui, « par leur conformation, ressemblent le plus à l'homme ». Dans L’Histoire naturelle, il cite aussi les callitriches qui ne vivent que « sous le ciel d’Éthiopie », les cynocéphales et les satyres[5]. Ces derniers sont assimilés à des singes qui vivent « dans les montagnes indiennes situées au levant équinoxial », dans un pays « dit des Catharcludes ». Ils « courent tant à quatre pattes que sur leurs deux pieds » et « ont la face humaine »[5]