Satyre

5-6 → comparaison ⇒ comparaison des anciennes silènes avec les nouvelles l'auteur rend compréhensible au lecteur de ce qu’il parle. - “ drôles et frivoles” - L.6 → adj qualificatif ⇒ vocabulaire comique qui est en rapport avec le thème. - “ harpies satyres → attelés” - L.7-8 → énumération des créatures mythologiques modifier et inventer ⇒ sa clarifie la définition des silènes et ça fait rire. - “ pour inciter les gens à rire" - L.8 → C.C.B ⇒ il le dit de façon explicite pour provoquer les gens à rire

représentent un renouveau. Conclusion : Queneau ne donne pas de morales définitives : il laisse le lecteur libre pour la trouver. Il y a l’idée d’un roman qui s’efface petit à petit. Le ton est plus neutre. Au chapitre 21, on est à la fin d’un satyre (= un pot pourri).

des maisons, ou pour désigner la direction du lupanar (Pompéi). On le trouvait aussi en érection sur des colonnes hermaïques, dites ithyphalliques, à la croisée des chemins ou devant certains temples (Délos). Il est l’attribut le plus constant des satyres qui accompagnent Dionysos, et du dieu romain Priape. Enfin il était souvent porté en amulette apotropaïque autour du cou, chez les enfants romains. Dans la civilisation romaine, le fenouil commun était la plante sacrée de Bacchus. Un grand pied de

qualifier une personnalité imitée, intégrant les critiques portées par Lui (« imitant si parfaitement l’hypocrite que je crus voir l’auteur des Réfutations devant l’évêque d’Orléans »). La réaction de Moi (« et je vois Pantalon dans un prélat, un satyre dans un président, un pourceau dans un cénobite, une autruche dans un ministre, une oie dans son premier commis ») indique qu’il aura ensuite à cœur de repérer ces manières dans ses observations futures. Lui lui a dispensé un enseignement dont Moi

ligne 1, il emploie une hyperbole pour la fin de cette phrase qui facilite le lecteur a le croire et à garder une idée sur les Parisiens pendant la lecture des explications du Persan. Montesquieu fait le satyre des Parisiens dans cet extrait et plus généralement des français. Montesquieu caractérise le personnage du Persan grâce au récit épistolaire utilisé dans ce conte satyrique. Ce texte est assez ressemblant à Candide de Voltaire.

entre autres choses qu'il est semblable aux silènes. Les Silènes étaient jadis de petites boites, comme celles que nous voyons à présent dans les boutiques des apothicaires, sur lesquelles étaient peintes des figures drôles et frivoles : harpies, satyres, oisons bridés, lièvres cornus, canes batées, boucs volants, cerfs attelés, et autres figures contrefaites à plaisir pour inciter les gens à rire (comme le fut Silène, maitre du Bacchus). Mais à l'intérieur on conservait les drogues fines, comme le

réalité. En effet certains auteurs, par le biais du monde de l’imaginaire vont faire passer des messages s’appliquant à notre société actuelle comme dans les fables de La fontaine, a travers ces fables ou il mettait en scène des animaux il proposait une satyre de la société. Ainsi on pourrait dire que les mondes imaginaire dans lesquelles les poète nous transportes sont parfois des métaphores de notre société actuel Conclusion : Pour conclure, je dirai qu’il est rationnel d’imaginer la part d’irrationnel

Esope et Apulée et porté le Christ sur son dos, rencontre un jour Kant et lui parle. La figure de l'âne, indomptable et moqueur, est caractéristique du grotesque hugolien et symbolise la sagesse humble mais énergiquement contestataire, tout comme le Satyre à laquelle elle céda sa place dans La Légende de 1859. Il incarne une voix du xixe siècle, s'élevant contre certaines pensées de son temps - celles de l'excès de science et de philosophie, notamment le positivisme - et finalement contre la perte du

Innocentines, composé d’alexandrins parfaits, René de Obaldia en mettant en scène de façon parodique un cours de Français, dans lequel le professeur mène une explication sur ce qu’il estime être le plus beau vers de la langue Française ; nous livre une satyre fantaisiste sur la façon d’enseigner la littérature mais aussi sur la conception de la traditionnelle poésie. Le jeu est surtout dans le décalage ironique qu’il introduit entre ce prétendu chef d’œuvre et la leçon de français qui est censée en dévoiler

bien le genre de l'Utopie, la fantaisie d'un univers parfait, derrière lequel il se cache pourtant une grande critique de notre société, incapable d'être libres, de faire preuve de morale et de notions de respect, de partage. Il ya dans ce genre une satyre, un rejet du monde et de sa politique corrompue, de ses inégalités et de ses fautes.