Savate

Que m’envoyas tu la mort à moi premier qu’à elle? Car vivre sans elle ne m’est que languir[无精打采；有气无力]. Ha！ Badebec, ma mignonne, m’amie, mon petit con (toutefois, elle en avait bien trois arpents et deux sexterées), ma tendrette, ma braguette, ma savate[旧鞋], ma pantoufle[拖鞋；笨蛋], jamais je ne te reverrai. Ha！pauvre Pantagruel, tu as perdu ta bonne mère, ta douce nourrice[喂奶的妇女；奶妈], ta dame très aimée.”[…]】 Paragraphes: Premier paragraphe: Devant sa femme morte, quelle question se pose Gargantua？

à eau ebréché traînait","un miroir manquait"," chapeau d'homme enfuit", "chaussettes sales". Succession de symboles :  • Le laisser-aller de Gervaise s'annonce déjà avec le champ lexical énnoncé precedement. De plus elle est en chemise et en savates. • Champ lexical de la misère ( "lambeau", "fleche attachée au plafond par une ficelle", "châle troué", "les dernières nippes" ) On peut aussi relever un clin d'oeil ironique de Zola : la seule couleur est "le rose tendre" et "c'était la belle chambre

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Denver, le Colorado le 12 novembre 1993. Art Davie a fonctionné comme booker du spectacle(salon) et le marieur. [18] l'émission de télévision a représenté(a disposé de) Patrick Smith kickboxers et Kevin Rosier, le combattant(l'avion de chasse) de savate Gerard Gordeau, l'expert de karaté Zane Frazier, shootfighter le Trèfle d'Horizon, le lutteur de sumo Teila Tuli, le boxeur Art Jimmerson et 175 livres. La ceinture noire jiu-jitsu brésilienne Royce le frère Gracie-plus-jeune de Co-fondateur UFC RORION

confirmer cette hypothèse. Il pourrait s’agir des « infortunes » dont s’entretient le narrateur avec son voisin de lit. De plus, le portrait est construit par une description qui va du haut du corps, débutant par les « yeux culottés » jusqu’aux « savates immenses ». Cet ordre appuie une idée de dégradation, sinon de déchéance, encore souligné par les adjectifs qui cheminent la description, tous péjoratifs. La dernière phrase a vocation de bilan : « je suis parfaitement laid ». La déchéance des corps

Mme Dukane : AH !!!! Mais tu croyais t’en aller comme ça, espèce de menteuse ! Mais qu’as tu fais pendant ces deux heures et demi ? Rosalinda : J’ai…j’ai… Mme Dukane : Dis-moi la vérité, sinon je te frappe à coup de savatte ! Rosalinda commence à pleurer Rosalinda : Eh bien Madame…je…me suis endormie ; c’est le vin que j ai bu avant de venir travailler …pour oublier mes ennuis…… j étais demoralisée. Mme Dukane : Qu’est-ce qu’il y a Rosalinda ? Rosalinda : Madame

de la visite de Gervaise dans la maison des Goujet. Hygiène vestimentaire par la saleté du vêtement notamment la crasse, la graisse ou encore les détritus des associations intimes : « (...) les mères, en cheveux, en jupes sales» ; « dépeignée, en savates, grelottant sous sa camisole blanche où les meubles avaient laissé de leur poussière et de leur graisse » ; « (...) une puanteur fade montait de tout ce linge sale remué » « Gervaise (...) commençait à décrasser son linge » ; «des vêtements sales

de son frère. Lorsque le regard noyé de leur mère s'arrêta sur eux, elle eut une nouvelle crise de sanglots, elle tamponna un mouchoir sur sa bouche, pour étouffer les légers cris qui lui échappaient. Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s'accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, au loin. L'hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle, à gauche de la barrière Poissonnière. C'était une masure de deux étages

couplets commencent par «autrefois » et se terminent par « maintenant ». Chaque couplet est suivis du refrain qui est en réalité une énumération d’objet plus loufoques les uns que les autres. Comme par exemple « l’éventre poulet » ou le « chauffe savate ». En formant la complainte ainsi, Boris Vian dénonce un monde où l’amour s’achète et devient du chantage matériel. Les individus ne sont plus considérés comme tel mais comme un objet. On comprend alors que Boris Vian critique la société de consommation

faire la vinaigrette Le ratatine-ordures et le coupe friture Et si la belle se montre encore rebelle On la fiche dehors, pour confier son sort... Au frigidaire, à l'efface-poussière A la cuisinière, au lit qu'est toujours fait Au chauffe-savates, au canon à patates A l'éventre-tomate, à l'écorche-poulet ! Mais très très vite On reçoit la visite D'une tendre petite Qui vous offre son coeur Alors on cède Car il faut qu'on s'entraide Et l'on vit comme ça jusqu'à la prochaine fois