Scapin

caricaturaux, ils gagnent en consistance psychologique. Le valet a un caractère plus nuancé et peu très bien devenir le héros d’une pièce Remarque : Au départ le titre n’était pas le Mariage de Figaro mais La Folle Journée. Dans les Fourberies de Scapin le valet est déjà mentionné dans le titre mais on souligne de suite que ce qu’on va mettre en évidence ce n’est pas sa destinée personnelle mais son intérêt. Ce traitement particulier du valet est aussi un indicateur de l’évolution de la façon de

sur un quiproquo), comique de geste , de mots, et de caractére. La volonté d'amuser est alors particulierement traduite dans les geste et le langage employés. Les coups de bâton données par scapin à son maitre durant l'une de ses fourberies par exemple provoquent le rire général. Pour les fourberies de scapin , Moliére s'est inspiré de la farce car le rire est bassé sur le comique de geste et de mots. Deplus, dans les comique de caractére , il y a des personnage qui ont des défauts, des vices et

conflit des deux familles Capulet/Montagnu, il n’y aurait pas d’amour, donc pas d’intrigue. Nonobstant, le conflit ne serait rien sans des moments d’actions dans une pièce, comme nous le prouve la pièce de théâtre « Les Fourberies de Scapin » de Molière, quand Scapin frappe son maître Géronte se trouvant dans le sac. Ensuite le conflit peut déclencher des malentendus, renversements de situation. Dans « Andromaque » de Racine, Oreste tue Pyrrhus après un malentendu entre Andromaque, Astyanax et Hermione

connu pour sa bouffonnerie, pour sa paresse et sa ruse L'influence de Molière Molière s'est servi des personnages de la commedia dell'arte pour ses nombreuses scènes. On retrouve ainsi les fameux valets comme Scapin mais aussi Patalon, Colombine, etc, sous d'autres noms. Fourberies de Scapin: Patalon: Géronte Colombine: Nérine

de la familiarité qui existe entre eux, et malgré celle-ci. • Cette relation n'est pas ressentie comme un problème de classes sociales au XVIIe siècle. Elle le sera à partir du XVIIIe siècle. [modifier] Exemples de valets [modifier] Scapin (Les Fourberies de Scapin, Molière) • Conflit entre deux maîtres (le jeune et le vieux) • Le valet et le jeune maître s'entendent contre le vieux maître qui demande au valet de surveiller le jeune maître. • Occasion pour le valet de se venger, en amusant le

s´identifie aux personnages, car ceux-ci se permettent des choses que lui-même ne peut pas accomplir dans la réalité à cause des interdits de la société. Cela est le cas dans Les Fourberies de Scapin, où le valet rosse son maître, inversant les rôles et se vengeant ainsi. Le public est complice du tour que Scapin a joué à son maître, il prend part à la fourberie et se sent concerné de plus près par la pièce. La représentation théâtrale est aussi un divertissement collectif que les spectateurs vivent

lors de chacune de ses entrées en scène, le public est dans l'attente de cette cascade. Par ailleurs, Molière utilisa régulièrement le comique de gestes dans ses pièces, ainsi dans Les Fourberies de Scapin il nous expose une scène où l'avare Géronte tient dans sa main une bourse à l'attention de Scapin et fait une série de mouvements alors que la main du valet reste accrochée au sac. Ces grands gestes ajoutés aux difficultés que rencontrent chacun des deux personnages provoquent le rire du spectateur

Français Dissertation : Qui ne se souvient pas des coups de bâtons donnés par Scapin à Géronte dans Les Fourberies de Scapin de Molière ? Le rire et l’amusement étaient alors à leur comble. Il est de la nature humaine d’aimer le conflit or « Le théâtre est un art du conflit, du polémique », affirmait André Steiger. Si bien que sans conflit, le théâtre n’existerait pas et ne ferait pas un tel effet sur nos personnes. Mais on peut se demander par quels moyens arrive-t-il ainsi à mettre particulièrement

ces honteuses actions! ». Dans le registre de la comédie nous pouvons aussi noter le comique de geste, par exemple dans Les Fourberies de Scapin à la Scène 2 de l'Acte III on rit des coups de bâton que Scapin donne à son maître, Géronte . On a aussi le comique de mots, lui aussi très bien illustré dans le genre de la farce, avec dans Les Fourberies de Scapin, a la Scène 7 de l'Acte II, le comique apparaît au travers de la phrase « Que diable allait-il faire dans cette galère ? » .Dans L’Avare

endroit où l’on peut se « libérer » surtout avec le comique de geste comme dans le médecin malgré lui ou bien les Fourberies de Scapin de Molière. Le jeu sur le langage et le comique de répétition on aussi ce pouvoir de « libération » comme l’utilisation multiple du commentaire de Géronte « Mais que diable allait-il faire dans cette galère? » dans les fourberies de Scapin. Mais derrière tout cela le comique est une façon de caricaturer la société et les gens de cette dernière En effet, une pièce