Scene 11 Denouement Final La Cantatrice Chauve

2 Le théâtre : texte et représentation de metteur en scène, comédien, voire technicien du théâtre à l’aide de documents écrits ou audiovisuels. Dans le manuel de l’élève, le chapitre 2 comporte deux séquences, consacrées l’une à la mixité des genres et des registres (la tragi-comédie, la comédie-ballet, l’évolution du drame, le mélange des registres), l’autre à l’art de la scène (à travers les composantes du spectacle théâtral, l’espace et les accessoires, la double énonciation, le procédé du

neutraliser l’effet encore intact d’étrangeté de ce théâtre, on a brandi la notion d’« absurd » comme si on retrouvait le questionnement existentiel de Camus ; et c’est bien commode de rendre compte de Fin de partie à partir de problèmes de sens : la scène nous montrerait que désormais, après les désastres du XXe siècle, nous n’avons plus de réponse sur notre identité, notre place dans l’univers, nos relations politiques, sociales et psychologiques, ni amour, ni amitié, ni confiance, ni passé avéré,

théâtre est tout autant influencer par Zola que le roman. Montrer la réalité telle qu'elle est, dans toutes ses dimensions, ne rien caché de la réalité, montrer la basses de l'homme,sous entendu : comme dans la vie. On va reproduire le plus possible sur scène,le vrai et cela s'oppose au théâtre romantique (Musset). On va aller parfois dans l'excès, c'est-à-dire dans l'excès de laideur, de basses de l'homme. Ce type de théâtre à durer peut de temps car il est tombé très vite dans la caricature et le grotesque

entrent en guerre aux côtés de la triple entente : la guerre devient alors mondiale. En 1918, la guerre redevient une guerre de mouvement avec une offensive avec les Etats-Unis. C'est une offensive victorieuse : les allemands sont vaincus. Le 11 novembre 1918, l'armistice est signée : c'est l'arrêt des combats. Le 28 juin 1919, il y a le traité de Versailles : c'est la paix. C’est une guerre de tranchées Première utilisation des gaz asphyxiant par les Allemands On mise davantage sur

Orphelin d'origine noble et bon étudiant, il est ensuite condamné pour vol et meurtre. Son œuvre à fois savante et populaire exprime une révolte contre les injustices de son temps. Le théâtre religieux se développe tout au long du Moyen Âge, il met en scène les Mystères, c'est-à-dire les fêtes religieuses comme Noël, Pâques et Ascension ; au contraire des genres littéraires précédents plutôt aristocratiques, il s'adresse au plus grand nombre. À côté de ce théâtre religieux, un théâtre comique appelé farce

l’orchestre se produisait sur des scènes de casinos en province (en particulier, celui d’Arcachon) il fut, dès sa plus tendre enfance, sensibilisé à la scène et au phénomène du spectacle. Mais, comme, au premier entracte, on l’envoyait se coucher, il terminait mentalement les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour le théâtre, de douze à seize ans, il écrivit de «fausses pièces» et découvrit les grands auteurs

dont le corps n’a qu’une dérisoire réalité, d’un monde de tous les jours qui est gauchi, de la «voix» intérieure qui dirige une conscience en quête d’elle-même, du récit d'une fin «sans mémoire de matin, ni espoir de soir». Nabokov appréciait «la scène extraordinaire où il rampe à travers la forêt... Tout est gris, si inconfortable». Ces thèmes s’expriment avec efficacité dans l’écriture âpre, antiromanesque de Beckett, l’aporie de la narration tendant à se faire pure parole. Il fait dire à Molloy

dont le corps n’a qu’une dérisoire réalité, d’un monde de tous les jours qui est gauchi, de la «voix» intérieure qui dirige une conscience en quête d’elle-même, du récit d'une fin «sans mémoire de matin, ni espoir de soir». Nabokov appréciait «la scène extraordinaire où il rampe à travers la forêt... Tout est gris, si inconfortable». Ces thèmes s’expriment avec efficacité dans l’écriture âpre, antiromanesque de Beckett, l’aporie de la narration tendant à se faire pure parole. Il fait dire à Molloy

l’orchestre se produisait sur des scènes de casinos en province (en particulier, celui d’Arcachon) il fut, dès sa plus tendre enfance, sensibilisé à la scène et au phénomène du spectacle. Mais, comme, au premier entracte, on l’envoyait se coucher, il terminait mentalement les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour le théâtre, de douze à seize ans, il écrivit de «fausses pièces» et découvrit les grands auteurs

textes. • Indiquez pour chaque scène les marques caractéristiques de cette forme théâtrale – qui est une convention – avec des références précises. • Puis, en travail préliminaire (la réponse finale doit être rédigée), répertoriez sur un tableau à trois colonnes (une par texte), les éléments de ces scènes : identité du personnage, contenu de son monologue, importance des didascalies, registre, rôle du spectateur, fonctions du monologue. Pensez à la représentation sur scène de ces monologues (occupation