Schéma Actantiel Du Theatre

il n’est ni l’un ni l’autre. De manière symbolique, on peut, comme Schlegel, avancer que « [l]’ironie est une parabase permanente » (Schoentjes, 2001, p.109 ), qui fait appel au lecteur, comme un personnage ou un chœur le faisaient dans l’ancien théâtre grec, sortant du récit pour attirer l’attention plus consciente, plus réfléchie et plus sceptique sur lui. Mimèse et diégèse s’entremêlent alors, la parabase métaphorique qu’est l’ironie coupant donc par instants ce que le récit a jusqu’ici tenté

adjuvants ou les alliés qui contribuent à la réalisation de cette quête-désir ou bien son parcours sera entravé par les opposants. Dans l’élaboration de la théorie des structures sémio-narratives, Greimas accorde une place privilégiée au « schéma actantiel » qui, en dépit de sa simplicité, permet de rendre compte de la structure de la plupart des histoires basées sur le modèle de la quête. 22 Ces « forces agissantes », nécessaires à toute intrigue, pourraient être de différentes

pollutions automobiles Les jeux d’enfants à l’école = Les jeux d’école comme lieu d’apprentissage des rapports sociaux de sexe Les interactions dans un lycée professionnel de ZEP = Des lycéens aux trajectoires socialement prédéterminées Le public du théâtre du Capitole et de la halle aux grains = Le jeu de la distinction au sein d’espaces culturels publiques Observation d’un espace de création (l’espace Myris à Toulouse) = L’art du squatt : les enjeux de l’appropriation d’un espace désaffecté socialement