Science-fiction

terminologie critique de la dystopie ne fait pas l'objet d'un large consensus, et les termes « dystopie », « contre-utopie » et « anti-utopie » sont souvent employés de façon interchangeable. Sauf peut-être dans le milieu restreint de la critique de science-fiction, où le terme « dystopie » est le plus utilisé. Certains critiques toutefois utilisent simultanément plusieurs de ces termes pour opérer des distinctions plus fines. Le but est généralement de distinguer les récits peignant des avenirs sombres

la fin de ce mot, il était tellement scientifique... Au lycée, ce fut la discussion du jour, cela me rassura un peu car, mes opinions vont pouvoir se lier à ceux des autres et surtout voir ce qu'ils en pensaient. Cette après-midi en cours de sciences, le professeur en a parlé vaguement, car il avait entendu des élèves se débattre à ce sujet. Le soir sur le chemin du retour, j'y repensais encore et encore. Je ne sais pas pourquoi, mais ce produit m'avait tellement marqué que je le voulais absolument

d'André Cayatte, envisagé comme une superproduction à l'américaine, avec les moyens nécessaires pour donner vie à un scénario qui relevait de la science-fiction avec effets spéciaux (dont des maquettes). Malheureusement, en 1965, la production française, pourtant coutumière des coproductions coûteuses, se refusait à toutes formes de projets de science-fiction. Le producteur se désista et Cayatte jeta l'éponge1. Barjavel resta donc avec ce scénario sur les bras. Il ne pouvait, faute de financement,

Laruelle, Jean-Noël Missa, Juliette Simont, Isabelle Stengers, Maurice Weyembergh, Philosophie et science-fiction, Vrin, Paris, 2000, 156 pp. Le présent ouvrage est un travail collectif cherchant à illustrer les liens, a priori plus indéfectibles que l’on ne pense, entre la science-fiction (SF) et la philosophie. Plus précisément à esquisser « une réflexion sur le sens et l’intérêt de la science-fiction (littéraire et cinématographique, c’est-à-dire narrative) pour la philosophie ». Le phénomène culturel

Science fiction et conquête spatiale La culture savante a su se rendre poreuse aux cultures de l’image plus populaires. La culture visuelle est une culture de l’image qui est nourrie par d’autres champs du savoir, ici par la science. Il s’agit ici de la science populaire, celle qui se médiatise. On s’intéresse à un imaginaire scientifique, extrapolé à partir de la science. La science fiction est l’expression la plus manifeste de cet imaginaire, de cette alliance entre la science dure et les récits

D’où vient la science-fiction et par qui a-t-elle été inventée ? Les gens ne sont pas d’accord sur quelle a été la première œuvre de science- fiction, certains pensent au livre Frankenstein ou le Prométhée moderne, écrit par Mary Shelley, une auteure anglaise en 1818 ; d’autres pensent que ce sont les 62 livres des voyages extraordinaires de Jules Verne écrit tous entre 1863 et 1905 ou alors des livres de l’écrivain anglais Herbert Georges Wells ( qu’ont appelé avant des romans scientifiques)

La science fiction est un genre littéraire à part entière, mais si sa particularité est de nous divertir, n’est-elle pas également de nous amener à nous questionner ? J.L. Curtis, écrivain conforte cette idée lorsqu’il écrit que " Ce qui m’intéresse dans la science-fiction ce n’est pas à la vérité, ni la science, ni la fiction. C’est la réflexion sur l’homme et sur le monde. " Nous nous interrogerons d’abord sur le rapport de la science et de la fiction. Ensuite nous verrons comment la

La science-fiction vise-t-elle à nous distraire ou à nous alarmer ? Il apparaît que la science-fiction, comme bien d'autre genre, a pour objectif de distraire son lecteur ou même son spectateur (en ce qui concerne le cinéma). En effet, la plupart d'entre eux attendent d'un livre ou d'un film de science-fiction qu'il les distraie de leur quotidien et c'est justement ce que celle-ci se propose de faire. La principale caractéristique de ce genre réside dans le fait qu'elle est accessible

Colloque « De la science-fiction à la réalité » Centre d’analyse stratégique, 19 décembre 2012, (www.strategie.gouv.fr) Jean-Michel Besnier, professeur de philosophie, Université de Paris-Sorbonne Nous avons évoqué la notion de perfectibilité, qui définit l'homme depuis le XVIIIe siècle et lui permet de devenir un être de progrès. Les paléo-anthropologues ont accentué cette perfectibilité d'une autre manière, en définissant l'homme par la néoténie, c'est-à-dire par le fait que nous soyons

Sujet: La science-fiction vise t-elle à nous alarmer ou à nous distraire? «On peut définir la science-fiction comme la branche de la littérature qui se soucie des réponses de l’être humain aux progrès de la science et de la technologie», voici ce que déclare Isaac Asimov, écrivain américain expert en science-fiction. La littérature française sert à s’exprimer et à raconter une histoire , c’est un moyen d’enrichissement intellectuel et culturel mais surtout, la littérature sert à distraire