Sciences Monde Clos

bonne noblesse au château de la Brède près de Bordeaux. En 1714, après ses études de droit, il devient conseillé au près du parlement de Bordeaux. En 1716, il hérite de la fortune de son oncle et du nom de « Montesquieu ». Il se passionne pour les sciences puis oriente sa curiosité vers l’humanité à travers la littérature. Il est ensuite élu à l’académie française en 1727 et décède en 1755 à Paris. Montesquieu a fait partit « des lumières ». Au XVIIIe siècle les voyages se développent et sont appréciés

plus étroite entre la production rendue plus efficace par la science, la technologie ou l’administration, l’organisation de la société réglée par la loi et la vie personnelle animée par l’intérêt, mais aussi, par la volonté de se libérer de toutes les contraintes. Sur quoi repose cette correspondance d’une culture scientifique, d’une société ordonnée et d’individus libres, sinon le triomphe de la raison (…).C’est la raison qui anime la science et ses applications. C’est elle qui commande l’adaptation

que des règles d'après lesquelles se forment les représentations que le sujet s'en fait . Puis, le terme exactitude interpelle l'attention est souligne l'idée de précision, de rigueur dans la saisie du vrai. Le souci d'exactitude notamment dans les sciences dites "exactes" exclut l'approximation dans la recherche de ce qui est entièrement et rigoureusement conforme à la réalité. Ensuite , nous avons "savoir" , qui est donner son assentiment à une proposition en ayant la certitude objective de sa vérité

Chapitre 1, séance 2 : LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE (Suite du cours) Le travail, activité servile ou moyen d'émancipation ? II) LE TRAVAIL, UNE ACTIVITE SERVILE Si le travail a bien un côté libérateur qui procure la maîtrise de soi et du monde, force est de constater que pour beaucoup de gens, le travail n’a pas de sens et est plutôt synonyme de souffrance, d’abêtissement que de réalisation de soi. Comment se fait-il alors que le travail, censé nous humaniser, devienne une activité extérieure

l’inverse est contradictoire. Kant, philosophe allemand des Lumières en faisait la condition préalable de tout acte moral : ce qui est bien doit l’être en toutes circonstances. Mais cela pose un problème paradoxal : peut-on croire que dans notre monde (le monde sensible platonicien où tout change sans cesse) il puisse y avoir une loi qui règle de manière définitive les relations entre les individus. Ne doit-on pas davantage parler d’une complexité des relations humaines, et introduire une forme de pragmatisme

croyent en aucune divinitées, qui se disent Athées, sont des personnes incommensurablement déraisonable, pour être poli. Le fait même de croire que le Monde aurait était créé par un quelquonc phénomène scientifique, ou autre, est abhérent, car dans ce cas là qui aurait créé ce prétendu phénomène, je vous le demande? Je respect beaucoup les sciences, effectivement énormément de faits peuvent être expliqués grâce à elles. Mais ce qui déclenche ces faits ce sont les volontées divines. Par exemple,

chroniqueurs – les ancêtres de nos reporters modernes – sur les chemins des croisades ou dans les méandres de la politique intérieure. Pendant ce temps, dans le royaume de France qui se construit peu à peu, le théâtre religieux abandonne l'espace clos des abbayes pour devenir profane sur les places et rassembler des foules en fête. Hommes et femmes précisent leurs droits et leurs devoirs mutuels dans la relation amoureuse, grâce aux poèmes que chantent dans les cours troubadours et trouvères.

ils vont vivre heureux dans un monde clos, la nouvelle société remplace celle de Candide dans le chapitre I. Au deuxième sens Candide et tout les personnages ont été instruit par leurs expériences douloureuses, ils renoncent à s'occuper des affaires du monde et se réfugient dans leur jardin, c'est un territoire à faire fructifier selon les talents de chacun et où tout le monde a sa place, dans le respect mutuel des opinions des autres. Au troisième sens, le monde dans son ensemble, est un espace

interrogation sur l’origine des choses, avec cette idée d’un tout organisé, hiérarchisé, dont la raison peut plus ou moins déterminer l’ordre. D’ailleurs, toutes les religions et toutes les mythologies ont raconté la naissance du cosmos en tant que monde ordonné et déterminé par une puissance, quelle qu'elle soit, organisatrice et toute-puissante. Le récit de la mise en ordre des choses, qui compose l'univers semble avoir été une nécessité pour les civilisations. L’ordre de l’Univers vient-il d'une

l'auteur de l'œuvre y a intentionnellement déposé ; le texte est une arme contre le temps, l'oubli, et contre les roueries de la parole, qui, si facilement, se reprend, s'altère, se renie. La notion de texte est donc liée historiquement à tout un monde d'institutions : droit, Église, littérature, enseignement ; le texte est un objet moral : c'est l'écrit en tant qu'il participe au contrat social ; il assujettit, exige qu'on l'observe et le respecte, mais en échange il marque le langage d'un attribut