Scientisme

Merleau-Ponty et le marxisme En se penchant sur le problème du marxisme, Merleau-Ponty distingue deux attitudes: le Marx authentique et le pseudo-marxisme qui est pénétré par un certain « scientisme » et qui est lisible dans les interprétations réductives de ses contemporaines. Or le premier approche est à la même distance de la pensée positiviste que de celle idéaliste. En revanche, Merleau-Ponty dévoile qu'en élaborant la conception philosophique et sociale Marx est mené par les intentions qui

l’application ses th�ories. Le naturalisme est principalement issu du r�alisme tel que le voyait FLAUBERT: le romancier �tait selon lui un observateur m�thodique qui d�crit le r�el sans l’id�aliser ou en donner une image �pur�e Zola, marqu� par le scientisme ( pens�e qui consiste � affirmer que la science nous fait conna�tre la totalit� des choses et que cette connaissance suffit � satisfaire toutes les aspirations humaines) de son �poque, va d�passer ces notions d’objectivit�, de science ou de documentation:

peintre Courbet en 1855 : il donne ce nom à une exposition où l’art s’intéresse à tous les aspects, même prosaïques, de la vie. L’urbanisation et les progrès de l’éducation permettent le développement de l’idée de démocratie. Le positivisme et le scientisme s’opposent à la tradition cléricale. C’est aussi une période, dans les domaines industriel, scientifique et médical. Le réalisme (et plus tard le naturalisme) s’emparent de ces changements sociaux et aussi des changements politiques (1848, 1852

des changements de valeurs: Le secteur industriel attire une main d’œuvre agricole nombreuse, peu adaptée à la production technique et qu’il va falloir intégrer. Accumulation du capital: naissance de la bourgeoisie industrielle Individualisme et scientisme (foi que la science va résoudre tous les problèmes existentiels et de société).C’est dans ce contexte que l’école classique se développe dans 2 directions : Inspiration managériale (Taylor, Fayol).et Inspiration sociologique (Weber: la bureaucratie)

a sa maîtresse. L´histoire d´une double vie pleine de monsonge de hypocrisie meme d´ivrognerie et de prostitution. Ce roman a inspire Emile Zola. Une grande inspiration pour les naturalistes est aussi Madame Bovary de Flaubert. Les idées de scientisme que les sciences sont capable de resoudre chaque probleme meme de prevoir le comportement humain devien dans cette epoque tres populaire et influence le naturalisme. Aussi la philosophi positivistique qui releve l´utilisation de la metode experimantaire

mouvement, qui naîtra parmi les écrivains français et belges, gagnera les peintres qui s'engouffreront dans la brèche ouverte par Baudelaire, Mallarmé et Wagner. Ils exprimeront leur rejet du naturalisme impressionniste, du réalisme ainsi que du scientisme et apporteront leur contribution à la naissance d'une harmonie entre toutes les formes d'art.

mouvement, qui naîtra parmi les écrivains français et belges, gagnera les peintres qui s'engouffreront dans la brèche ouverte par Baudelaire, Mallarmé et Wagner. Ils exprimeront leur rejet du naturalisme impressionniste, du réalisme ainsi que du scientisme et apporteront leur contribution à la naissance d'une harmonie entre toutes les formes d'art. Ses influences : Il s'inspire du préraphaélisme anglais mais des traits annonciateurs se trouvent déjà au sein du romantisme allemand, par exemple

aussi sa conversion fut rapide.  Enfin , Paul Claudel est décédé le 23 Fevrier 1955 à Paris . Il reste de nos jours une grande figure de la littérature catholique. Claudel possède une « faim spirituelle » que le matérialisme et scientisme de son époque ne parviennent pas à satisfaire . Ce fut Paul qui mit en place une rhétorique originale : « veset claudélien » En 1946 , il fut élut à l’Académie Française , il est l’auteur d’une œuvre majeure qui renouvelle les conventions du théâtre

deuxime sens que privilgiera le mot humanisme, partir du XIXme sicle, en faisant siens les mots de Protagoras Lhomme est la mesure de toute chose. Cette confiance exalte dans les facults humaines prfigure lidal des Lumires et lui survivra dans le scientisme, mme si, dj, la Renaissance, ensanglante par les luttes religieuses, la met copieusement mal. TI2zbnmZKnzW6@@W Wg)kw75oxwJOqvaKos(tsV)52

que lui prétend défendre une conception plus profonde qu’une simple critique développée à partir du présent. Le fait de se détacher de « utopie » et de taxer d’utopistes les autres socialistes, lui confère plus de légitimité, en plein ère du scientisme. Marx entend ainsi développer un corpus doctrinal scientifiquement établi. La volonté de se distinguer de ses frères est lisible encore une fois à travers tonalité scientifique, déterministe du Manifeste. Comme toute science, les thèses de Marx