Scintigraphie

patients (33,5%), l’échographie abdominale était normale. Seuls deux patients ont pu réaliser un scanner abdomino-thoracique avec les mêmes lésions de transfert pulmonaire retrouvées à la radiographie pulmonaire. Aucun patient n’a fait la scintigraphie osseuse. Tous les patients ont bénéficié initialement d’un traitement médical en rapport avec les perturbations cliniques et paracliniques qu’ils présentaient. Il s’agissait de perfusion de solutés, de transfusion chez 28,6% (n=6), de l’administration

est très utile pour le dépistage de la coronaropathie. En effet, durant cet effort, la survenue d’une douleur thoracique et de modifications de l’ECG seront recherchées. Figure 24 : Déroulement d’une épreuve d’effort sur tapis roulant 9- La scintigraphie myocardique : Cet examen irradiant combine une épreuve d’effort avec une imagerie scintigraphique. Il permet de mettre en évidence une ischémie dans un ou plusieurs territoires myocardiques. 10- L’imagerie par résonnance magnétique (IRM) cardiaque

alors le lit tumoral après exérèse aussi complète que possible. Utilisé lors des cancers abdominaux ou pelviens. Du seinSe fait chez des patientes dont la lésion n’excède pas 20 mm, dont la tumeur est unifocale et diagnostiquée par IRM ou mammo scintigraphie, dont le ganglion sentinelle et les marges de résections sont saines. Le cancer doit être intracanalaire invasif. g) La radiothérapie accélérée hyper fractionnée L’hypofractionnement est la réduction du nombre de fraction

Traitement : Peu de traitement spécifique. On peut traiter certains symptômes. -Le plus radical : l’ablation de la glande thyroïdienne -Destruction des cellules thyroïdiennes -Prise de molécules à action anti-thyroïdienne Dépistage : -Par scintigraphie : une molécule contenant de l’iode marquée est administrée et on regarde la répartition : ( Homogène : Normal (Accumulation dans certaines parties : Hyperthyroïdisme -Par échographie thyroïdienne qui explore le tissu thyroïdien (méthode

évocatrice sur les gaz du sang artériel; • l’ECG élimine quasiment l’IDM; • présence fréquente de petits signes radiologiques sur RX thorax (atélectasies en bandes, opacité parenchymateuse, petit épanchement pleural…) Le diagnostic est confirmé par scintigraphie pulmonaire ou par scanner spiralé des artères pulmonaires. Cependant, l’embolie pulmonaire peut parfois poser un problème diagnostique épineux puisqu’elle peut entraîner des troubles de repolarisation majeurs à l’ECG ainsi qu’une libération de

thoraco-abdomino-pelvien : Il permet de déterminer le nombre et la taille des ganglions lymphatiques et d’identifier les organes atteints par le lymphome.  Le TEP-scan (tomographie par émission de positons) : C’est l’association d’un scanner et d’une scintigraphie avec injection de glucose radioactif qui se fixe davantage sur les cellules cancéreuses (qui en consomment plus). Il permet d’évaluer l’activité du lymphome dans les différentes parties du corps et de faire un bilan d’extension. Il est également

entre autres des marqueurs de la maladie d’Alzheimer). - d’un examen tomodensitométrique cérébral (en général sans produit de contraste) ou mieux une IRM. Dans des formes plus difficiles et en milieu spécialisé on pourra avoir recours à la scintigraphie cérébrale, au typage de l’ApoE4 ou d’autres types d’imageries (ces examens ne sont pas utiles en routine). Le terme maladie d’Alzheimer a été très longtemps réservé aux démences préséniles survenant avant l’âge de 60 ans. Ce terme est actuellement

médecine nucléaire utilise des isotopes radioactifs pour l’exploration de l’organisme humain. Elle consiste à injecter un isotope radioactif qui se fixe dans la partie à explorer et de réaliser une image à l’aide d’une caméra à scintillation (scintigraphie). Les isotopes utilisés sont l'iode 131I pour l’exploration fonctionnelle de la thyroïde et surtout le technétium 99mTc dont l’intérêt est sa courte période (T = 6,02 h) ce qui minimise les équivalents de dose administrés.Il peut être obtenu

ainsi dépister un goitre (augmentation du volume de la thyroïde) et des nodules. L'échographie, réalisée en passant une sonde à ultrasons sur le cou, permet de visualiser la thyroïde, les nodules (kystes) et d'en donner les dimensions. La scintigraphie, permet, après ingestion d'une très faible dose d'iode ou de technetium radioactif, de déterminer au moyen d'une caméra si un nodule thyroïdien sécrète (nodule "chaud" qui apparaît foncé à l'image) ou non (nodule "froid") des hormones thyroïdiennes

12- BIOLOGIE 1/ TSH +++, FT3 et FT4 (fraction libre) 2/ ± Dosage de la thyroglobuline 3/ ± Calcitonine 4/ ± Marqueurs tumoraux (ACE) RADIOLOGIE 1/ ECHOGRAPHIE: masse hypoéchogène (33%), isoéchogène (10%) ou hypoéchogène (1%) ⇒ taille 2/ SCINTIGRAPHIE (iode131, technétium 99) ⇒ captation isotopique (froid, chaud) CYTOLOGIE ■ Cytoponction à l'aiguille fine: n'a de valeur que si ⊕ (n'élimine pas le diagnostic si ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE ■ MICROSCOPIE: carcinome papillaire ++ (70%), vésiculaire