Scolarisation Des Jeunes Filles

Ministère de l'Education Chargé du préscolaire, de l’enseignement élémentaire et du moyen Direction de la Planification et de la Réforme de l’Education Cadre de Coordination des Interventions pour l’Education des Filles 2, Rue Carnot X Salva , Dakar Plan de développement pour l’Education des Filles au Sénégal (2009-2011) 15 décembre 2008 1 SOMMAIRE Page Sigles et abréviations Tableaux et courbes Avertissement et remerciements 1. Situation de l’éducation au Sénégal Beaucoup d’efforts mais une coordination

primaire (16 juin 1881) extension aux jeunes filles du bénéfice de l'enseignement secondaire d'État (21 décembre 1880) De nouveau ministre de l'Instruction du 31 janvier au 29 juillet 1882 (Ministère Freycinet), il continue son œuvre scolaire : loi relative à l'obligation et à la laïcité de l'enseignement (28 mars 1882). Cette loi est une suite logique de celle portant sur l'obligation scolaire. C'est une obligation d'instruction et non de scolarisation. création d'une École Normale féminine

Commentaire de texte : Loi du 19 mai 1874 sur le travail des enfants et des filles mineures employés dans l’industrie Introduction : A la veille de la 3ème République, marqué par la défaite militaire face à la Prusse, la France subie les effets d’une forte crise économique. Malgré les forts troubles de cette époque, le parlement se préoccupe néanmoins des conditions de travail des enfants et des filles mineurs dans le domaine de l’industrie. En effet le monde du travail est très peu réglementé

domaines de la communication, des intégrations sociales et dans le comportement général (peu diversifié et répétitif). L'autisme est rare puisqu'il ne touche que 2 a 4 enfants sur 10 000 environ. Il atteint 3 à 4 fois plus souvent les garçons que les filles. Les symptômes et le degré de gravité sont très variables. La base en est, pour l'enfant, une autre constitution du monde. Une maladie énigmatique Le terme « autisme » a été créé en 1911 par le psychiatre suisse Eugène Bleuler (1857-1939) dans

plus que les majeurs exposés aux violences, viols et agressions sexuelles, actes de torture et de barbarie3. Sur près de 190 dossiers traités par le CCEM depuis 2 ans, 42 concernent des jeunes filles arrivées mineures sur le territoire français. Toutes travaillaient en région parisienne. 79% de ces jeunes filles sont originaires de l'Afrique de l'Ouest et du Centre4. Elles ont, pour la plupart, été acheminées par des compatriotes, de leur pays d'origine vers la France, afin de suppléer aux tâches

Introduction : Aujourd’hui, dans certaines facultés universitaires, les jeunes filles sont plus nombreuses que les garçons et, de manière générale, leur taux de réussite est supérieur à celui de leurs compagnons, représentant 60% des diplômes universitaires. Une “jeune fille” désigne communément une jeune personne de sexe féminin: ce terme s'emploie pour une adolescente et couramment aussi pour une adulte non mariée, la jeune fille vivant généralement chez ses parents, mais cette dénomination varie

« plafonds de verre ». Aujourd’hui, environ30 % des salariées ont un contrat de ce type, six fois plus que les hommes (Insee, 2004). III/ EVOLUTION DE L’ORIENTATION La scolarisation des filles Au départ, l’enseignement des filles s’organise selon des parcours et des durées différents de ceux des garçons. Pendant des décennies les filles quittent majoritairement l’école à la fin du primaire et ce n’est qu’en 1945 qu’on les trouve à égalité avec les garçons dans le secondaire. Leur formation tout au

pauvreté qui fait référence à l’insuffisance des ressources financières nécessaires pour pouvoir subvenir aux besoins essentiels de la vie humaine. Cette définition de la pauvreté dit classique et primaire ne tient pas compte d’autres besoins devenus au fil des années aussi essentiels que nécessaires vu les changements intervenus quant aux droits fondamentaux du bien être social en général et des droits de l’homme en particulier qui englobent entre autres l’emploi permanent, l’éducation de qualité, le

DSRP Stratégies de réduction de la pauvreté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le travail des enfants et l’éducation pour tous . . . . . . . . . . . . . . . VIH/SIDA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Emploi des jeunes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Travail des enfants et avenir de l’Afrique . . . . . L’Afrique en danger . . . . . . . . . . . . . . . . . . Une occasion à saisir pour l’Afrique . . . . . . . . . Identification des points

à partir du XVIIIe siècle. On invente l’idée d’un développement psychique entre l’enfance et l’état adulte. Il faut accompagner l’enfant dans ce grandir. Décennie durant laquelle la France a la population la plus jeune. → Idée que former les jeunes c’est former la société future => idée toujours valable aujourd’hui. → Idée de système qu’il faut uniformiser sur tout le territoire national. → Idée que l’école doit se faire en langue française. → Idée qu’il faut créer un réseau d’écoles