Scolarisation Des Jeunes Filles

du Québec annonce 5 priorités que le gouvernement mettra de l’avant. Dans ces 5 priorités se retrouve l’éducation, M. Charest annonce entre autre qu’il veut faire baisser le taux de décrochage scolaire et pour se faire que l’école se rapproche des jeunes. En effet, le décrochage scolaire est de plus en plus important et c’est une des raisons pour laquelle l’éducation est aujourd’hui une des 5 principales priorités de notre gouvernement. Il faut donc se poser la question suivante, quels sont les effets

aisé de trouver une place dans le monde du travail sans diplôme. Ce phénomène est très connu depuis longtemps (« les fameux 160 000 jeunes qui sortent chaque année et que nombre de politiques évoquent ») mais a concentré ces derniers temps l’attention de nos dirigeants : le coût économique de l’accompagnement social, le manque de retour sur investissement car ces jeunes ont coûté à l’Etat en terme d’investissement et donc le gâchis que représente ce manque en est surement la cause profonde. Il marque

décent 29 5.2.5 Promotion de la micro finance 30 5.2.6 Exemple de Programme de travaux à haute intensité de main-d’œuvre (HIMO) 31 5.3 Adéquation entre l’éducation, la formation et l’emploi 32 5.3.1 Les initiatives de formation des jeunes et des adultes. 32 5.3.2 Initiatives de formalisation de l’apprentissage et de la formation 32 5.3.3 Formation professionnelle 34 5.3.4 Les diplômés du supérieur face au marché de l'emploi 37 5.4 Ancrage régional/développement

c’est l'Asie, région la plus peuplée du monde, qui compte le plus grand nombre de jeunes travailleurs. Soixante-six pour cent d’entre eux sont en Asie, 32 pour cent en Afrique et sept pour cent en Amérique latine. Répartition des enfants de 5 à 14 ans exerçant une activité économique dans les pays en développement, par région et par sexe, 1995 Région Monde (estimations en millions) Lesdeux Garçons Filles sexes 250 140 110 (%) Afrique Asie (à l'exception du Japon) Amérique latine et

développement économique PAM : Programme alimentaire mondial PIB pc : Produit intérieur brut par tête d’habitant PMA : Pays les moins avancés PNUD : Programme des Nations Unies pour le développement PPA : Parité de pouvoir d’achat TBS : Taux brut de scolarisation UNESCO : Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture SOMMAIRE 1 Les liens entre développement économique et développement éducatif 1.1. La situation actuelle dans les pays le moins avancés 1.2. Historique des recherches

(PEE) 1.2 Enseignement primaire 2. Rendement interne du système éducatif 2.1 L’évolution des indicateurs de la qualité 2.2 Acquis scolaires (résultats du MLA/CTL) 3. Les principales faiblesses de la réforme 4. Elargissement du cadre de référence au fil des années 5. Le Programme Décennal de l’Education et de la Formation (PDEF) 5.1 Les objectifs du PDEF 5.2 Les principes directeurs 5.3 Les orientations 6. Processus de changement du système éducatif : Catalogue des mesures de 28 réforme 6.1 Orientations

UE UEMOA UNESCO 6 Recherche et développement Research Assessment Exercise Science Citation Index Expanded Social Science Citation Index Sciences et techniques des activités physiques et sportives Section de techniciens supérieurs Taux brut de scolarisation Times Higher Education Supplement Technologie de l’information et de la communication Université Cheikh Anta Diop (Senegal) Union européenne Union économique et monétaire ouest-africaine Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science

élèves et à leur famille • 3 domaines d’interventions : psychologique, médical et social • Objectif : favoriser le développement optimal de l’enfant en milieu scolaire 1. Evolution du système scolaire Avant guerre • Faible scolarisation (peu d’opportunité pour les filles et pour les garçons issus de milieu moins favorisé) 2. Influence du milieu social Belgique = un des pays les plus discriminants par rapport au statut social. Origine des inégalités de filières Performances Parents et

ASSOCIATIONS EN FONCTION DE CES CONTRAINTES ? p 15 Une amélioration des conditions de travail p 15 • Vers un projet de scolarisation p 18 CONCLUSION p 20 BIBLIOGRAPHIE p 21 INTRODUCTION Dans nos esprits, le travail des enfants est lié aux firmes multinationales occidentales qui font fabriquer leurs vêtements, leurs tapis…par des jeunes enfants dans les « sweatshops » (ateliers de la sueur). En fait, peu d’enfants travaillent pour l’exportation mondiale : la plupart

par apprentissage dans le secteur moderne (structuré) destiné à résorber en cinq ans 80 % des jeunes sans qualification (soit 100 000). La formation était alternée entre l’entreprise et les centres de formation professionnelle. Ce projet avait bénéficié d’un engouement certain (7 000 contrats au départ) mais rapidement ont surgi les difficultés suivantes : - Budgétaires : coût du transport pour les jeunes, coût de la formation en centres ; - Pédagogiques : cours théoriques assurés par des conseillers