Scrutin indirect

et parlementaire : Le pouvoir législatif appartient au Parlement, formé de deux chambres, l’Assemblée nationale et le Sénat. L’Assemblée nationale, chambre basse du Parlement, est formée de 577 députés en 2011, élus pour cinq ans au direct au scrutin uninominal majoritaire à deux tours dans des circonscriptions découpées au sein des départements. L’Assemblée nationale a le dernier mot en cas de désaccord prolongé avec le Sénat sur l’adoption d’une loi. Ce dernier est formé en 2011 de 348 sénateurs

toujours loin du compte. Depuis le 6 juin 2000, la loi impose aux partis politiques de présenter un nombre équivalent de femmes et d'hommes pour les scrutins de liste : élections municipales, régionales et européennes. La loi réduit également la dotation financière des partis qui ne présentent pas autant de candidates que de candidats aux élections au scrutin uninominal, soit les législatives et les cantonales. Onze ans après, le bilan est contrasté.

La Charente compte 2 sénateurs L’Assemblée nationale est le nom de la chambre basse du Parlement français.  Elle représente l’organe législatif  avec le Sénat. Composée de 577 membres, appelés députés, élus au suffrage universel direct au scrutin uninominal majoritaire à deux tours de circonscription, elle siège au palais Bourbon. Le département de la Charente est constitué de 4 circonscriptions représentées par quatre députés : * première circonscription : Angoulême-sud * deuxième

britanniques ont eu lieu le 6 mai 2010, après la dissolution du Parlement par la reine Élisabeth II, sur demande du Premier ministre Gordon Brown, le 12 avril 2010. Ce scrutin renouvelle les 646 membres (Member of Parliament ou MP) de la Chambre des communes, la chambre basse du Parlement du Royaume-Uni. Les députés sont élus au scrutin uninominal majoritaire à un tour : dans chaque circonscription, le candidat ayant le plus de voix est élu en toutes circonstances. Le Parti travailliste, mené par le

Tous électeur dispose de deux voix. La première lui sert à élire directement au scrutin majoritaire à un tour un candidat dans l'une des 307 circonscriptions uninominales. La seconde voix est destiné aux listes présentées par les partis au niveau de chaque Land afin de pourvoir les 307 autres sièges. La répartition finale des sièges se fait à la proportionnelle de telle sorte qu'un parti qui aurait obtenu au scrutin uninominal plus de sièges directs qu'il ne devrait recevoir à la proportionnelle

gouvernement qui le désigne, d’une « mission temporaire » d’une durée maximale de 6mois. 4. Ds chaque département, les sénateurs sont élu par un collège électoral composé d’élu de cette circonscription. Les sénateurs sont élus selon deux modes de scrutin. Le scrutin uninominal majoritaire à deux tours est désormais utilisé, depuis la réforme du 30 juillet 2003, quand il y a 3 sénateurs ou moins à désigner Au premier tour, organisé le matin de l’élection, est élu, comme pour les législatives, le candidat

qu’elles semblent l’être lorsqu’on parle de « mode de scrutin ». Elles ne se limitent pas aux processus techniques permettant au corps électoral de désigner le candidat qui a le plus de voix. Le scrutin c’est l’expression de la volonté du peuple en vue de choisir son représentant. Suivant que le régime en place, le mode de scrutin sera plus ou moins démocratique. L’objectif politique poursuivi conditionne le choix du mode de scrutin. Que le scrutin soit majoritaire ou proportionnel, la combinaison

Nouveau Parti démocratique (NPD) est devenu pour une première fois l'opposition officielle, face au Parti conservateur majoritaire. Par le fait même, le Parti libéral a perdu une part importante de ses sièges à la Chambre des communes. Utilisant le scrutin uninominal majoritaire à un tour, les Canadiens votent pour leur député local, qui siège à la Chambre des communes. Les Canadiens ne votent pas directement pour le Premier ministre, et ne votent pas non plus pour les sénateurs. Des élections partielles

et condamnait la IVème République à retomber dans l'instabilité ministérielle chronique, l'immobilisme et l'impuissance : 24 gouvernements de 1947 à 1958, de durée très inégale Avec l'adoption du scrutin proportionnel, aucun parti ne disposait de la majorité à l'Assemblée. Même avec l’aide du scrutin uninominal à deux tours, les élections à leurs yeux ne parviendraient pas à dégager une majorité stable au gouvernement. Mais aux divisions attendues s’est substitué à partir de 1962, le fait majoritaire :

plus favorable pour les salariés. Le décret du 29 janvier 1871 fixe les conditions des élections, reprenant la tradition républicaine de la Seconde République, inaugurée par la loi électorale du 15 mars 1849 : scrutin de liste, départemental et majoritaire, par opposition avec le scrutin uninominal à deux tours qui avait été la règle sous le Second Empire Le 16 février 1871, l'Assemblée élit son président, Jules Grévy, il se lance dans des réformes financières, administratives et militaires