Scythes

la violence est présent, il doit d’opposer aux « bataillons d’alexandrins carrés » du vers 65, et compare la violence de ses audaces à celle des barbares, à celles de « Tous les envahisseurs et tous les ravageurs, / Tous ces tigres, les Huns, les Scythes et les Daces ». Hugo se présente en barbare et veut montrer l’effroi qu’il provoque par ses audaces sur les partisans du classicisme, mais sa sauvagerie est parfois exagérée à outrance.V80-83 : Hugo se revendique comme créateur. La poésie doit être

l'enlèvement est puni de mort). Ces esclaves font les travaux que les citoyens ne veulent pas faire. Les plus nombreux sont les esclaves domestique, il y a aussi des esclaves publics qui travaillent dans les mines ou maintiennent l'ordre (appelés Archers scythes : à Athènes, il sont 750). Ils portent les mêmes vêtements que les citoyens, pour les reconnaître, les esclaves avaient les cheveux courts tandis que les citoyens les ont longs. La punition essentielle est le fouet, ils sont soumis à la torture s'il

assiste aux ballets russes de Diaghilev. Sur une commande de ce dernier, il compose Chout (le bouffon) qui est créé à Paris en mai 1921.Pour échapper à la mobilisation, Prokofiev retourne au Conservatoire et compose plusieurs oeuvres dont La Suite Scythe et la célèbre Symphonie classique (1917). Avec l’accord des nouvelles autorités soviétiques, il obtient l’autorisation de se rendre à l’étranger. Il émigre aux États-Unis, où il donne, en 1921, l’opéra L’amour des trois oranges, puis à Paris, où Diaghilev

cause de la guerre qui engendre la violence : « Cela fait, ils le rôtissent et en mangent en commun et en envoient des lopins à ceux de leurs amis qui sont absents. Ce n'est pas, comme on pense, pour s'en nourrir, ainsi que faisaient anciennement les Scythes ; c'est pour représenter une extrême vengeance. » . De ce fait, il ne dresse pas un tableau idyllique et avoue ne pas être en désaccord avec le jugement des Européens sur ce point : « Je ne suis certes pas fâché que l’on stigmatise l’horreur et la

l’altérité met donc en évidence l'image exotique. Ainsi la lecture d'Hérodote montre des différences étonnantes, des « erreurs » de la part des Barbares, des comportements excessifs : c'est le cas de la description des sacrifices 1 et du panthéon des Scythes (même si la plupart de leurs dieux portent des noms grecs 2, leurs relations, - pour un Grec - sont anormales : la Terre est l'épouse de Zeus). Mardonios fait à propos de « ces Grecs qui ont des coutumes si peu raisonnables » un contresens sur le

puissé-je trépasser !7 1. Anagramme : jeu qui consiste à déplacer les lettres d’un mot. Les Grecs y voyaient des présages. 2. Comprenez : à une meilleure personne 3. À jamais, pour toujours, éternellement. 4. Demener : ressentir. 5. Car 6. Les Scythes, dans l’Antiquité, étaient réputés comme le type même des barbares. 7. Les deux derniers vers sont une traduction, quasiment mot à mot, de Stobée, écrivain grec du IVe siècle après Jésus-Christ. evoir 06 écrit à envoyer à la correction 58 Devoir

intégraleBibliolycée, Nathan | Candide, Voltaire | | 1. Incipit  2. La guerre3. L’utopie de l’Eldorado4. La philosophie du jardin | Documents complémentaires | Groupement de textes 1 : les intellectuels en question * La Fontaine, « Le philosophe Scythe », Fables * Voltaire, Micromégas * Paul Valéry, Monsieur Teste * Paul Claudel, Conversation dans le Loir-et-Cher Groupement de textes et d’image 2 : La guerre en question * Voltaire, Candide, chap.3

afin de questionner le lecteur sur le monde moderne. De plus, le « Jardin » du titre renvoie à la morale épicurienne, ce qui fait que l’auteur inscrit son texte dans la tradition des apologues. Le lecteur peut également se rappeler du « Philosophe Scythe » de La Fontaine. Mais, à l’issue de cette fable-ci, la morale est explicite, contrairement à Duhamel qui use de l’odeur des confitures comme éphémère, contre les arguments de l’économiste. A l’opposé, LF nous accompagne, nous guide vers la morale

Logomachos, théologal de Constantinople, interroge Dondinhac, un Scythe, c’est-à-dire un barbare urkrainien : « voyons si tu sais ton catéchisme » commence-t-il, « Pourquoi pries-tu Dieu ? ». Devant les réponses non dogmatiques mais pleines d’un désarmant bon sens du barbare, le prélat grec peu à peu pousse son questionnement vers les confins de plus en plus subtils de la théologie. Cette gradation ne déstabilise nullement le Scythe qui finira par prendre le dessus en posant à son tour une seule question

athénienne ou alors éventuellement d’une courtisanne, voire d’une esclave. L’illégitimité vient toujours du père. Certains hommes politiques ont parfois été attaqué pour leur prétendu illégitimité comme Démosthène dont la mère aurait été d’origine Scythe (actuelle Crète, peuple barbare). Les citoyens atimoi (atimos, privé d’honneur) sont privé d’honneur, frappé d’atimie : ils sont déchus de leurs droits politiques partiellement ou totalement (le citoyen est exclu des assemblées, des tribunaux…)