Secteur Primaire Allemagne

+ 2,9 % (2010)4 - 2,4 % (2009)5 | PIB par habitant en PPA | $ 46 442 (2009)1 | PIB par secteur | agriculture : 1,2 % industrie : 21,9 % services : 76,9 % (2009)5 | Inflation (IPC) | 2,3 % (mars 2009 / mars2010)5 | Pop. sous le seuil de pauvreté | 12,5 % (2008)6,5 | Indice de développement humain (IDH) | 12e (2009) | Population active | 154,5 millions (2009) | Population active par secteur | agriculture : 0,7 % industrie : 22,9 % services : 76,4 % (1999)5 | Taux de chômage | 8

partie Les dépenses publiques Chapitre 3. L’évolution des dépenses publiques I. Le niveau des dépenses publiques II. La structure des dépenses publiques A. Dépenses publiques par nature B. Dépenses publiques par fonction C. Dépenses publiques par secteur Chapitre 4. Les déterminants de la taille du gouvernement I. Le revenu par habitant II. La répartition des revenus III. L’effet de déplacement IV. L’effet prix V. La démographie VI. L’ouverture sur l’extérieur VII. Les choix publics 65 65 68 68 69

heures ; Allemagne = 1574 heures ; Suède = 1522 heures ; Norvège = 1399 heures. ← La durée de vie professionnelle : scolarité et âge de la retraite joue un rôle. Dans les pays occidentaux on a un relèvement de la sécurité obligatoire. Pays qui ont dues augmenter l’âge de la retraite, la plupart des pays sont à 65 ans ou 67 ans. 2 La dimension qualitative 1 Structure de la population active  Analyse par secteurs d’activités : CLARK a découpé la population active en 3 secteurs d’activités :

|- Excédent budgétaire : 12,41€ millions (1,4% du PIB) | | |% PIB par Secteurs : | | |- Primaire : 4 % | | |- Secondaire : 26.4%

Markovitch), ont montré que la croissance française est nettement plus modérée: 1,1 % de moyenne annuelle, contre 1,4 % en Allemagne et 1,6 % en GrandeBretagne. Le phasage de la croissance française peut être résumé ainsi: 1870 1930 1820 Croissance économique fondée sur: - un développement rapide de l'industrie et notamment du chemin de fer - une croissance plus faible du secteur agricole. L'urbanisation apparaît nettement plus faible en France. 1896 "Grande dépression" de la fin du 19ème siècle:

croissance forte de la production industrielle (un accroissement annuel moyen de la production d'environ 5 %) ;  une expansion démographique importante (le baby boom) dans certains pays européens et nord-américains – particulièrement en France, en Allemagne de l'Ouest, aux États-Unis et au Canada. La forte croissance est facilitée par :  un accès encore aisé aux énergies fossiles ;  un rattrapage technologique vis-à-vis des États-Unis, par des pays dont le capital humain (niveau d’éducation et

masses, une nécessité d’instruction dans une population analphabète et illettrée. - En France, la loi Guizot en 1833 oblige chaque commune de plus de 500 habitants à ouvrir une école primaire permettant l’accès à l’instruction même à la région la plus reculée du pays. On a aussi les lois suédoises sur l’école primaire obligatoire en 1842, les lois anglaises en 1870, la création d’écoles populaires pour adultes paysans au Danemark en 1844. Un désir d’instruction de la population souffle sur l’Europe

satisfaction progressive de la demande intérieure : transfert de ressources du secteur agricole (taxation à l'exportation, politique de bas prix payé au producteur..) vers le secteur moderne. L’idée est que l'investissement productif fait le développement et qu’il faut protéger les industries naissantes. Or : - le prélèvement sur l'agriculture a été si massif que cela a conduit à un véritable sacrifice de ce secteur, pourtant dominant dans l'activité de la plupart des pays pauvres. - l'investissement

est historiquement une ville industrielle, et accueille de nombreuses industries pétrochimiques le long du Rhône, dans le couloir de la chimie. Après le départ et la fermeture des industries textiles, Lyon s'est progressivement recentrée sur les secteurs d'activité de techniques de pointe, telles que la pharmacie et les biotechnologies aux côtés de Grenoble. Lyon est également la deuxième ville étudiante de France, avec quatre universités (Claude Bernard Lyon 1, Lumière Lyon 2, Jean Moulin Lyon 3

importations-subventions sur les produits) - Par la dépense (Le PIB = somme des emplois finaux intérieurs de biens et de services la consommation finale effective, l'investissement, et les variations de stocks) - Par les revenus (Le PIB = somme des revenus bruts des secteurs institutionnels : rémunération des salariés, impôts sur la production et les importations moins les subventions, excédent brut d’exploitation, solde de revenu avec l'extérieur). Il y a aussi le PIB par habitant qui mesure le niveau de vie de la