Secteur tertiaire

l'UE qui est 38e. En classement par PIB en PPA, la France est la 9e puissance économique1. L'économie française est principalement une économie de services : en 2005, le secteur tertiaire occupait 71,8 % de la population active, tandis que le secteur primaire (agriculture, pêche…) n'en représentait plus que 3,8 %, et le secteur secondaire (essentiellement l’industrie) 24,3 %1. L'économie française est une économie de plus en plus ouverte, occupant une place importante dans les échanges commerciaux

Planet. L’Alsace est une des régions la plus industrialisée de France et est la première région exportatrice de France par habitant. Le secteur primaire comprend le vignoble, le brassage de la bière et l’exploitation de la potasse. Le secteur secondaire compte le mécanique, la métallurgie et la construction automobile entre autres. Le secteur tertiaire inclus les nouvelles technologies, la bancassurance et le tourisme. Alsaciens célèbres incluent Marie Tussaud, la fondatrice du musée de cire

( toute les personnes ayant une activités professionnels). Secteur primaire : Agriculture , exploitation des matières premières. Secteur secondaire : Artisanat, industrie ( transformation des matières premières , fabrication ). Secteur tertiaire : Les services tout les biens non matérielles. La population active évolue entre 1850 et 1960, le secteur primaire diminue au fur et a mesure du temps, il passe de 55,9% à 3,3 %. Le secteur secondaire reste a peu pres pareil il varie de 26,1 % a 33,1 %

(Les entreprises n’arrivent plus à vendre et fournir durablement un ou plusieurs biens ou services marchands sur un marché). c) Les secteurs ayant contribués à la croissance Suite à l’analyse du graphique, on peut constater qu’entre les années 50 et 2010, le secteur tertiaire (services marchands et administratifs) contribue au ¾ de la richesse. En effet ce secteur à multiplié par 100 sa production. On peut parler de « tertiarisation de l’économie ». Toutes les autres branches ont aussi augmenté

aujourd'hui est immatériel. C'est ce que confirment les récentes études menées par la Banque Mondiale. La tendance actuelle s'oriente davantage vers les économies de services. La richesse d'un bon nombre de pays est tirée en grande partie par le secteur tertiaire, et le poids ce dernier dans le PIB des économies développées est bien connu. Cela fait que l'obtention d'un avantage compétitif se trouve désormais dans le développement de l'informatique, la spécialisation dans les technologies modernes,

se passe comme si le fait d’être une femme exposait à un risque de chômage plus élevé, quel que soit l’état du marché du travail. q Les femmes sont davantage touchées par le chômage Les emplois occupés par les femmes sont concentrés dans le secteur des services, qui se trouve être le plus important pourvoyeur de formes particulières d’emplois, notamment à temps partiel. Les femmes sont ainsi environ six fois plus nombreuses à travailler à temps partiel que les hommes. Contrairement à une idée

même la concurrence étrangère et un recul relatif (20% de la production mondiale contre 30% en 1960), les Etats-Unis maintiennent leur leadership aussi bien dans la production de haute technologie que dans les branches plus traditionnelles.
Le secteur tertiaire représente les trois quarts des emplois et plus de 70% du PIB américain. Les Etats-Unis sont le premier exportateur mondial de services avec 60 milliards de dollars d'excédents chaque année. L'agriculture participe également à la suprématie économique

domaine du service au détriment des ouvriers, qui se retrouve avec trop de qualification pour effectuer des taches domestique mais pas assez pour occuper des emplois très qualifiés. Aujourd’hui le secteur tertiaire occupe 75% des actifs. L’Etat est le plus gros employeur dans le domaine du tertiaire. La mondialisation à mit aussi en péril l’ouvrier, car associé à la crise, les entreprises sont obligés de s’externalisé dans des pays ou la main d’œuvre est peu chère ou encore se délocalisé pour profiter

l’agriculture, urbanisation, exode) se sont-là les racines des traditions qui sont ébranlées, ce qui participera dans une certaine mesure à une autre mutation de la société que nous évoquerons plu tard. Mais le secteur primaire n’est pas le seul à être en recul depuis 1950, le secteur secondaire est lui aussi touché par ce phénomène. En effet au fordisme et au taylorisme, fortement critiqués durant la contestation de 1968, qui imposent un rythme de travail difficilement soutenable, peu gratifiant

renégocie la dette et durant son mandat le chômage diminue et la croissance est relancée. Sa femme Cristina Kirchner lui succède et poursuit la même politique protectionniste. En 2008 elle est confrontée à un important conflit social mené par le secteur agricole qui proteste contre les mesures de restrictions aux importations de soja et de tournesol. Renationalisation (YPF), restrictions économiques, autoritarisme sont les tendances de la politique actuelle qui est de nouveau contestée et qui