Section française de l'Internationale ouvrière

INTRODUCTION             La vie politique française est extrêmement complexe et son histoire est marquée par la création de nombreux partis politiques. Au préalable, il convient de ne pas confondre les partis politiques avec les syndicats ni avec les « groupes de pression ». Un syndicat est un groupe de personne qui défend et gère les intérêts communs. Un groupe de pression ou groupe d'intérêt est un groupe social qui exerce une pression sur les pouvoirs publics afin de défendre ses intérêts particuliers

motivant le licenciement était les absences de Jean-Baptiste Calvignac provoquées par ses obligations d'élu municipal. Ce licenciement fut considéré par les mineurs comme une remise en cause du suffrage universel et des droits réels de la classe ouvrière à s'exprimer en politique. Monument de Jean Jaurès à Carmaux, sculpture de Gabriel Les ouvriers se mettent en grève pour défendre "leur" maire. Les autorités républicaines envoient l'armée (1500 soldats) au nom de la « liberté du travail ». En

la gauche française ? À partir de 1919, les partis socialistes européens qui veulent se rallier à la révolution bolchevique doivent rejoindre la III° internationale, en acceptant les « 21 conditions » posées par Lénine. Cette adhésion divise les militants socialistes français. En décembre 1920, au congrès de Tours, une majorité d’entre eux décide de quitter la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO, futur parti socialiste) pour fonder la section française de l’Internationale communiste

chancelier : 30 janvier 1933 -Lois de Nuremberg : Septembre 1935 -Nuit de cristal :10 novembre 1938 -Anschluss : mars 1938 -Annexion des Sudètes : septembre 1938 Connaître les personnages essentiels -Léon Blum : Chef de la SFIO(Section Française de l’Internationale Ouvrière), il est président du conseil de mai 1936 à juin 1937. Il sera jugé et déporté en 1943 par le régime de Vichy. -Adolf Hitler : Ancien combattant de la première Guerre mondiale, Il est indigné par le Traité de Versailles. Il adhère

pacifisme : son idée : les nations doivent mener une politique de paix. Ces thèses Jauresiennes sont développées dans l’Internationale. Ses militants condamnent les patriotes intransigeants et utilisent tous les moyens pour défendre la paix. * l’internationale communiste dans la lutte pour la paix Peu à peu, un mécontentement se fait sentir dans le monde ouvrier. Comme l’Internationale, Jaurès adhère à l’idée selon laquelle le capitalisme est l’une des source de la guerre. Maurice Agulhon dans le

période qui sépare la fin de la grande dépression éco. et la fin du 19èmes jusqu’au déclanchement de la 1ère G.M. En apparence : Période de prospérité éco, de stabilité pô, et de progrès sociaux relatif. ≠ E.Occ = tensions dans la société et vie pô Française. C’est dans cette période que la course à la guerre se met en place, sur fond de rivalité Eènne + Mécontentement des ouvriers  (pô sociale insuffisante ( pô sociale dirigée par le parti radical) PB : Comment s’enracine la république durant

1902-1905 Ministère Combes. 1904 Rupture des relations diplomatiques avec le Vatican ; « Entente cordiale » avec la Grande-Bretagne. 1905 Loi de séparation des Eglises et de l’Etat ; fondation du Parti socialiste unifié (section française de l’Internationale ouvrière). 1906 Loi imposant le repos hebdomadaire pour tous les salariés ; élection de Fallières à la présidence de la République. 1906-1909 Ministère Clemenceau. 1912-1913 Ministère Poincaré. 1914 2 août Mobilisation

A partir de la Libération, la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) est traversée par d'importantes tensions internes. La tendance "Reconstruction" souhaite en particulier que la CFTC se laïcise. D'abord minoritaires, ses idées favorables à l’évolution progressent peu à peu : en 1959, un rapport sur la planification démocratique est adopté en congrès, et en 1961 l'un de ses animateurs, Eugène Descamps, est élu secrétaire général de la CFTC. Il prépare alors la déconfessionnalisation

tardive est aussi du au contexte politique du début de la III République (les républicain ne sont pas majoritaire face au monarchiste) ou il y a une très forte instabilité politique. Les bonapartistes tiennent les mérites de la France, l’Eglise française soutient les légitimistes (voir cours constitutionnel). Les républicain jusqu’en 1889 ne sont pas assuré d’avoir la majorité au sénat et a l’assemblée nationale. Dans l’opinion publique la république est loin d’être installé (ex : la commune de Paris

le mouvement ouvrier né au XIXème siècle. Les “Lumières” et la Révolution Française lui donnent un premier ferment : Rousseau émet déjà une sérieuse critique de la propriété privée. En effet, même si le terme « socialiste » n’est apparu que vers 1830, la préoccupation sociale était déjà présente dans certains courants de pensées de la fin du XVIIIème siècle. On la trouve également présente pendant la Révolution Française, celle-ci a tété une révolution politique sous entendu par l’idéologie libérale