Section française de l'Internationale ouvrière

faculte de droit de strasbourg Histoire du Droit du Travail et des Conjonctures Sociales Licence 3 Semestre 1 1h = 1 question sur le cours (intitulé de chapitre ou de section). Introduction Droit social est un droit fait pour régir les relations entre les hommes, droit humain. Le droit social est également éminemment politique, en France. Le seul fait de choisir la couleur du code est déjà politique. Parler du travail est un peu obsolète, on

création de la Confédération Générale du Travail (CGT) en 1905 qui prône la lutte des classes et la grève générale, mais ne regroupe que 7 % des salariés. Ainsi, avec les familles socialistes qui se sont regroupées en un parti, la Section Française de l’Internationale Ouvrière (SFIO) dominée par la personnalité de Jean Jaurès, les ouvriers disposent d’organisations pour faire entendre leur voix. Les militants multiplient les grèves pour réclamer la journée de 8 heures et une amélioration des conditions

cette date jusqu’à nos jours =Vème République |Vie politique |société | |-1944-1946 : Gouvernement provisoire de la république française (De |-1944 : droit de vote pour les femmes | |Gaulle) |-1945 : sécurité sociale | |-1946-1958 : IVème République

Internationale (ou Association Internationale des Travailleurs) entre le 28 septembre 1864 et 1872. Le vide laissé par la disparition de la 1ère Internationale ne fut comblé qu’en juillet 1889 avec la création de la 2ème Internationale ou Internationale ouvrière ou Internationale Socialiste à Paris à l’initiative notamment de Friedrich Engels. Entre temps Marx est mort en 1883. Il est revenu à Engels de veiller sur cette 2ème Internationale jusqu’en 1895, année de sa mort. C’est suite à la mort de Marx

étatique, et fondée sur l'autogestion et la responsabilité individuelle. Le courant anarchiste refuse toute forme d'autorité. Au début du XXe siècle en France, l'ensemble des forces socialistes s'unifie au sein d'un parti : la section française de l'internationale ouvrière (SFIO). par la suite, le mouvement socialiste français se divise et donne naissance à la suite du congrès de Tours en 1920 au Parti communiste et au Parti Socialiste. D'autres courants contestataires s'opposent au libéralisme

l’Eglise et de l’Etat. -neutralité de l’Etat en matière de conscience religieuse (Ex interdiction du port de signes ostentatoires à l’école). USA religion se protège de l’Etat / FranceEtat se protège de la religion « Gallicanisme » = tradition française qui rejette l’autorité du pape. Citoyen dispose de droits et devoirs (mais un criminel n’est plus un citoyen). Le citoyen d’aujourd’hui a plus que le sujet d’autrefois : sous Louis XIV, le souverain avait droit de vie ou de mort sur ses sujets

synthèse n'est définitive que lorsque l'ont a atteint la connaissance absolue. – Hegel: contemporain de la Révolution Française. Thèse d'Hegel: pour être le plus libre possible les hommes doivent se soumettre à un état fort. C'est l'état qui garantit le droit des hommes. Disparition individu noyé dans l'universel. Les défenseurs d'un état fort à la révolution française sont les montagnards ou les jacobins (Robespierre, Marat...) ≠ girondins (qui ont rédigé DDHC). Pour les girondins l'état

ouvriers qui luttent pour une vie meilleure et qui réussissent à s'organiser pour se révolter. Zola est un écrivain engagé. Dans Germinal, la révolte ouvrière, violemment réprimée, échoue. La situation de départ du roman est donc inchangée à son terme et les injustices sociales ont plus que jamais cours. Néanmoins

gouverner distingue les partis politiques d’autres organisations, d’associations et de syndicats. La plupart des constitutions européennes n’ont consacré juridiquement le phénomène qu’au XXe siècle. Ainsi l’article 4 de la Constitution française de 1958 stipule : « les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leurs activités librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie. »

2. L’édit de Turgot (1776) II LE PACTE REVOLUTIONNAIRE (1789) 1. L’idéal révolutionnaire, la règle du contrat 2. La loi LE CHAPELIER 3. Tous citoyens ! Tous égaux ! III LA REVOLUTION INDUSTRIELLE 1. Une classe ouvrière en formation 2. Le prolétariat des fabriques 3. La condition ouvrière 4. Les conditions de travail 5. Le travail des femmes et des enfants 6. La paupérisation IV LES REMISES EN QUESTION (1830-1848) 1. Le patronat mulhousien et le christianisme local 2. Les hygiénistes : l’apport de