Seigneur de guerre

vassalique et le régime seigneurial. Le régime vassalique est un régime qui se fait entre seigneurs, tandis que le régime seigneurial se fait entre serfs, c’est-à-dire les paysans, et leur seigneur. Tout d’abord, le régime vassalique se fait dans un état de contrôle de seigneurs guerriers. Ce régime se fait dans le chaos. La hiérarchie se divise en deux, soit les suzerains, et les vassaux. Les suzerains sont les seigneurs plus forts et les vassaux les plus faibles. Les devoirs du vassal envers sont

montre l’intensité des liens d’hommes à hommes. Il y a tout un rituel de l’hommage et le rituel est tellement fort qu’il va être curieusement imité par l’Eglise dans le rituel liturgique. Accessoirement, Dieu on va l’appeler « Dominus noster » « notre seigneur » étonnante réminiscence seigneuriale et féodale. Les mains jointes que l’on associe aujourd’hui à la prière Chrétienne est en fait le signe de la soumission féodale (avant cette époque les Chrétiens pour prier ouvraient les mains). L’hos culum

|appartiennent à un seigneur et travaillent dans les champs de celui-ci. | | | | | | | | | | | |Définition de seigneur : le seigneur est un homme

échange de soumission : protec° du vassal + sa famille par seigneur. La seule manière d'entretenir qlq'un : donner terres. Dc hiérarchie des terres, - l'absence du pvr public unifié, abscence d'état. Sté féodale apparait comme pdt d'un état décomposé - la féodalité est une organisa° pol, sociale. Pdt de la décadence d'un état Section I : Les cadres fondamentaux de la sté (du XIè au XIIè siècle) I) Les seigneuries Pvr exercé par seigneurs A) Le morcellement de la puissance publique Milieu IXè

rudiments de la chevalerie en accompagnant un chevalier lors des guerres et des tournois. 1°) D’écuyer a chevalier L'écuyer, est, à l'origine, un noble qui accompagnait un chevalier et portait son écu. De là, écuyer a été employé comme titre pour un jeune homme qui se prépare à devenir chevalier. a- Le jeune écuyer Pour devenir écuyer, il fallait être fils de chevalier donc être noble. A l’âge de 7 ans, ils sont placé chez un seigneur pour être éduqué et apprendre les rudiments de la chevalerie

Moyen Âge est une société fortement hiérarchisée, fondée sur la transmission héréditaire du pouvoir, des titres et de la richesse. Au XIIe siècle, la société est divisée en trois classes ou ordres : les clercs et les hommes d’Église, les guerriers (seigneurs et chevaliers) et les « travailleurs », qui sont paysans, artisans, etc. Deux de ces classes se disputent le pouvoir : les guerriers et les hommes d’Église. Dans les faits, toutefois, aucune de ces trois classes n’est plus importante que les autres

pouvoir : l'apparition de la féodalité Après les deux royaumes des franques va apparaitre en France un nouveau régime : c'est la féodalité dont la caractéristique est la disparition de l'état centrale et émiettement de pouvoir entre une multitude de seigneurs féodaux. 3 sections : I) les causes de la dislocation féodale II) les phases de la dislocation III) la loyauté élective Le phénomène féodale procède d'une spirale de cause imbriqué avec un catalyseur, ce

la protection des puissants personnages de leur région, qui sont souvent les descendants des comtes et ducs carolingiens. Ils se recommandent à eux et deviennent des vassaux. En l'occurrence, le vassal promet d'être fidèle à son protecteur, son seigneur et de le servir. Ce système de relations "d'homme à homme", appelé vassalité et développé par les Carolingiens, prend une nouvelle ampleur avec l'éclatement de l'empire et les invasions du Xe siècle. De nombreux hommes libres se placent sous la protection

l’apparition d’une bureaucratie qui tend à s’octroyer une certaine autonomie dans l’accomplissement des activités de contrôle et d’encadrement des populations, la différenciation de corps et d’institutions spécialisés dans certains domaines d’action : la guerre, la police, la perception des impôts, la justice… » Définition issue du manuel Sociologie politique : Lagroye J, François B., Sawicki F., , Paris, Presses de Sciences Po/Dalloz, 4ème éd., 2003, p. 40. Cette définition met l’accent sur deux

I- LE SEIGNEUR, MAITRE DES TERRES ET DES HOMMES Au Moyen-âge, presque toutes les terres sont détenues par des seigneurs. Chaque seigneur dirige une seigneurie. Il tire ses revenus des produits cultivés sur son sol par les paysans. Elle comprend deux parties : la réserve (c’est son domaine) que le seigneur garde pour lui et les tenures, les terres qu’il loue aux paysans en échange de corvées, et de redevances (d’impôts). Il dispose de nombreux pouvoirs : il commande, il protège