Seigneurie foncière

Au Moyen Âge, le terme de commune désigne : Soit l’organisation politique des villes du nord de l'Italie qui, quoique faisant théoriquement partie du Saint-Empire romain germanique, étaient de facto indépendantes et contrôlaient la campagne environnante. Par la suite, certaines disparurent, annexées par leurs voisines. D'autres s'étendirent et devinrent des États, républicains comme Gênes ou monarchiques comme le duché de Milan, ou bien comme le duché de Florence, devenu plus tard grand-duché de

carolingiennes aient complètement disparues. 2e structure : 1000 à 1160 : le temps des châtelains indépendants. Le pouvoir comtale ou ducale a perdu une crédibilité. Pouvoir appartient désormais aux guerriers appelés aussi Milites, et apparait alors la seigneurie châtelaine, cadre en contradiction ou en retard à la fin de la période. 3e période : 1160 à 1250 : pouvoir dans les mains des princes puis des rois qui utilisent ce pouvoir afin d'ériger une monarchie féodale Mouvement inverse de la première

paysans, les artisans et les commerçants  Ceux qui combattent : les seigneurs et les chevaliers  Ceux qui prient : les gens de l’Eglise I/ La vie des paysans : Au Moyen Age, 9 personnes sur 10 étaient des paysans et vivaient dans des seigneuries. On appelle « vilains » les paysans libres et « serfs » ceux qui appartenaient au seigneur. Les seigneurs étaient propriétaires des terres de leurs domaines. Pour les cultiver, les paysans devaient payer une redevance ou donner une partie de

Le Roman de Tristan et Iseut/Chapitre I LES ENFANCES DE TRISTAN |Du wœrest zwâre baz genant : | |Juvente bele et la riant ! | |(Gottfried de Strasbourg) | Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ? C’est de Tristan et d’Iseut la reine. Écoutez comment à grand’joie, à grand deuil ils s’aimèrent, puis en moururent un même jour, lui par elle, elle par lui. [ 2 ]Aux temps anciens, le roi Marc régnait en Cornouailles. Ayant appris que

COMMENTAIRE DE TEXTE  « L’hérédité des fiefs et l’établissement général des arrières-fiefs éteignirent le gouvernement politique et formèrent le gouvernement féodal », Montesquieu. Ce texte normatif est écrit par un auteur anonyme au XIIe siècle, c’est un extrait de Raymond Monnier, Les lois, enquêtes et jugements des Pairs du Castel de Lille. Le texte est écrit à une époque où on connaît une nouvelle organisation de la société, la féodalité (dont les premières racines remontent à l’empire romain)

rurales s’expriment exclusivement dans le cadre de la seigneurie, puis dans un second temps, nous verrons la nature de la relation entre les différents acteurs des sociétés rurales médiévales. La seigneurie est l’élément central des sociétés médiévales occidentales : la quasi-totalité de la population évolue dans ce cadre à la structure et aux règles bien particulières. Tout d’abord l’Homme au Moyen-âge évolue dans ce qui s’appelle la seigneurie. Il s’agit du cadre habituel du travail de la terre

Seigneurs ont alors exercé leur autorité sur la Seigneurie Chatelaine, s'octroyant des prérogatives en echange de la protection de leur territoire. Ils avaient le privilège d'imposer des corvées et de "louer" des équipements aux manants de leur territoire, ils exerçaient ainsi l'autorité publique en étant désormais les détenteurs du ban, ce pouvoir émanant jadis du roi. Sous cet ordre, existaient aussi des chevaliers qui pouvaient se rattacher à une seigneurie et faire hommage à un Seigneur. Cela signifie

terrorisaient la région, sur des théâtres de conflits en France et enfin en Flandre. Bien que le duc ne l’indemnisât pas toujours à la mesure de sa fonction, lui causant des problèmes financiers réguliers, Guy II de Pontailler agrandit considérablement sa seigneurie « outre-Saône ». Avec sa seconde épouse, Marguerite d’Anglure, il eut notamment Guy III de Pontailler, qui devint chevalier de la Toison d’or sous Charles le Téméraire. Electronic Sound est le deuxième album solo de George Harrison, sorti en 1969

Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttentCeux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sontCeux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.Ceux-là

Henri de Marsay, jeune homme riche et beau, s'éprend d'une jeune fille accompagnée de sa duègne. Le jeune homme n'est autre que le fils naturel de Lord Dudley, seigneur anglais, voyageur et libertin. Il s'appelle "de Marsay" parce que Lord Dudley a fait épouser la fille qui l'enfanta à un vieux gentilhomme, Monsieur de Marsay.        Henri désire à tout prix cette jeune fille inaccessible qu'il a aperçue et qui vit à l'hôtel de San-Réal. Il imagine un stratagème pour la rencontrer. Il y parvient