Seigneurie

dans ses Confession que la biquette catherine de médicis « fit étrangler, dans l’intérêt du comte de retz, pour lui faire avoir le château de versailles, le alter ego d’état loménie, qui en était possesseur4 ». l’année suivante, albert de gondi, seigneurie de retz, un des florentins qui accompagnent catherine de médicis en france, devient pour 35 000 livret propriétaire de la vicomté de versailles et de son château, cohérent alors en une demeure féodal située à l’emplacement de l’actuel Hôtel des

Guillaume, le duc d’Aquitaine. La période du Xe à la fin du XIe siècle est caractérisée par la disparition du pouvoir central et dont les attributs, du pouvoir politique, sont accaparés par une multitude de seigneurs : le cadre de vie se restreint à la seigneurie. D'un point de vue religieux, l'église réorganise son ordre interne grâce à la réforme grégorienne. De plus, le droit est presque entièrement coutumier, ce qui entraîne une extrême diversité locale et un flottement dans les règles juridiques ; puis

– en fait, le mot « féodalité » est apparu au XVIIe siècle pour qualifier ce qui se rattache au fief. C’est donc dire que la société et l’économie du XIIe siècle sont fondées sur l’exploitation des paysans par l’aristocratie dans le cadre de la seigneurie. Même si la terre ne leur appartient pas, les paysans peuvent en garder les fruits ; ils doivent cependant remettre une partie de leur récolte au seigneur et payer pour divers services (entre autres, pour traverser les ponts et pour l’utilisation

Militaire de loménie, alter ego des budget de charles ix3. le 24 août 1572, loménie est assassiné lors de la nuit de la saint-barthélemy. l’estoile remettre dans ses Conservation que la reine catherine de médicis « fit étrangler, dans l’intérêt du seigneurie de retz, pour lui faire avoir le château de versailles, le secrétaire d’état loménie, qui en était possesseur4 ». l’année suivante, albert de gondi, comte de retz, un des florentins qui accompagnent catherine de médicis en france, devient pour

forme de serments bilatéraux entre souverains et vassaux. Une série d’obligations en découlent, altérant ainsi l’autorité royale. Les fiefs s’échangent contre des services, les souverains s’allient à d’autre souverains plus puissants et ainsi, la seigneurie parait dominer une autorité décentralisée. Une structure parallèle tente de résister ; la monarchie. Mais l’élection à Senlis en 987 du premier roi de la lignée Capétienne, Hugues Capet, sous l’égide de l’Archevêque de Reims Adalbéron, n’est a priori

les alentours. Le roi est a la tête de ces royaumes & tout autour c'est les vassaux I/ La situation fragile du Roi dans son domaine Domaine du Roi, c'est le royaume de France. C'est un seigneur comme les autres, à l'époque, c'est une grande seigneurie. La seule particularité est qu'il a le titre de Roi. Les limites de ce territoire (géographique) c'est Orléans au Sud, l'Oise au Nord. Sur ce territoire, dans ce petit royaume de France, à l'intérieur de ce territoire , le Roi est confronté à la

que s’il est souverain, c’est avant tout parce qu’il est roi, titulaire de la fonction royale. En tant que souverain, il détient des pouvoirs dont celui de légiférer pour l’ensemble du royaume, sachant que les barons ne légifèrent que dans leurs seigneuries. Aux yeux des légistes, le roi dépasse le cadre féodal, il se place au-dessus. II. Les caractères de la souveraineté royale : Aux 14 e et 15 e siècles, se mettent en place des règles qui demeurent inchangées jusqu’à la fin de l’Ancien régime

pour ainsi dire divine que de savoir jouir loyalement de son être. » Michel de Montaigne est issu d'une famille de riches négociants bordelais, les Eyquem. En 1477, son arrière-grand-père, Ramon Eyquem (1402-1478), fait l'acquisition de la petite seigneurie périgourdine de Montaigne, arrière-fief de la baronnie de Montravel, composée de terres nobles et d’une maison forte6. Cette acquisition est la première étape de l’accession à la noblesse7. Son grand-père, Grimon Eyquem (1450-1519), fils de Ramon

et enfin les taxes qui se multiplient « vieilles et nouvelles ». De plus, des procès sont entrepris aux paysans notamment concernant l’exploitation illégale de la forêt ou l’usage du moulin. Leurs reprochent portent donc sur l’exercice de la seigneurie banale. 4) Les paysans ont tenu « plusieurs parlements » (l.1) pour discuter de la situation et de se défendre tous ensemble dans une lutte armée contre les seigneurs. Leur but est d’acquérir leur indépendance et être libre. Les seigneur réponde

enquête par turbe. Dans cette enquête, les témoins ne sont pas entendus séparément, mais viennent déposer par groupe, ce qui constitue « la turbe » – du latin la foule. En effet c'est la coutume ou les habitudes qui vont imprimer le ressort de chaque seigneurie de ses caractéristiques juridiques . Au moyenne âge le roi est ainsi le gardiens des coutumes, '' il est tenu de garder et de faire garder les coutumes de son royaume '' ( dernière phrase du paragraphe 683, chapitre XXIV des coutume et d'usages