Seigneurie

(vers 1250 - Pont saint Maxence 1296), auteur des Coutumes de Beauvaisis, exposé du droit privé contemporain. Étant le fils cadet de Philippe de Rémi, sire de Beaumanoir, avec lequel il fut longtemps confondu, il n'a pas possédé la seigneurie de Beaumanoir mais est passé à la postérité sous le nom de Philippe de Beaumanoir. Il fut successivement bailli à Senlis, à Clermont (en Beauvaisis), à Tours et dans le Vermandois, et jouit de la confiance de Saint-Louis et de son fils Robert, comte

roturiere qui à acheter une maison en ville qui n’est pas un fief. Un homme non noble qu possede un terre noble dont le fief qu’il possede ne paiera pas d’impot. Un seigneur peut etre un noble mais aussi un bourgeois. A) La transformation de la seigneurie La seigneureie c’est donc le fief. Ona de fief qui sont tres largement et au 15e c’est la peiode de reconstruction. Ces fiefs ont le droit et c’est la terre qui en à le droit et ce n’est pas l’homme. Le fief à le droit de percevo un certains

juridiques. Cette même période, sur le plan politique, est également caractérisée par la disparition du pouvoir central et dont les attributs, du pouvoir politique, sont accaparés par une multitude de seigneurs : le cadre de vie se restreint à la seigneurie. Enfin, d'un point de vue religieux, l'église souffre de nombreux désordres internes auxquels elle tente de remédier à en entamant une entreprise de réorganisation : la réforme grégorienne. Au cours de cette période, ce sont donc les liens individuels

| Les habitations     A partir de l'an mil, presque toutes les terres sont aux mains de grands propriétaires : les seigneurs. La plus grande partie du sol est divisée en vastes domaines appelés seigneuries, où les seigneurs exercent leur domination sur les paysans.   La seigneurie est composée de deux parties :   [pic]  -  la réserve, près du château, comprend des bois et des champs cultivés par les domestiques (nourris, logés et vêtus par le seigneur).    -  le reste du domaine

force publique. Le serf est justiciable de son seigneur au civil et au criminel mais il n’a aucun recours sur la décision du seigneur. Les serfs on plusieurs incapacités : -Le Formariage joue au cas où un serf se mari avec une serve étrangère à la seigneurie. Il faut l’autorisation du seigneur qui va imposer une amende qu’on appel le formariage. Le droit de cuissage n’a, en revanche, jamais existé. -Il y a aussi le principe de la mainmorte qui intervient au décès du serf, en théorie c’est le seigneur

des remparts, se fortifient et intègrent parfois ses faubourgs. Les seigneurs fondent de nouvelles villes et fixent les populations. Les villes relèvent du système seigneuriale. Les seigneurs commandent, jugent font leur propre monnaie. Chaque seigneurie est un micro État. B/ L'émancipation urbaine Entre 1070 et 1130 apparaisse de grands mouvements de contestation du pouvoir seigneuriale. Ces mouvement se manifestent par l'attention de chartes de franchises. Ces chartes de franchises donnent

A partir du IXème siècle, le pouvoir central s’effondre. Des seigneurs s’emparent des pouvoirs qu’ils tenaient du Roi. Ils rendent la justice en leur nom, lèvent les troupes et les impôts. La puissance publique s’émiette en une multitude de seigneuries qui deviennent l’assise territoriale d’un nouveau mécanisme de domination. Sur un même fond coexistent deux, voire plusieurs propriétaires. On assiste donc à ce que l’on appelle « la propriété simultanée » qui comporte deux formes de concession

la souveraineté in abstracto et la souveraineté in concreto. Dans le 1er cas la souveraineté est détenue par le Seigneur sur le domaine public. La 2ème la souveraineté qu’exerce le roi aussi sur le domaine publique mais aussi le Seigneur dans la seigneurie c'est-à-dire sur les terres privées. * La véritable souveraineté celle de l’Etat n’existe que s’il y a la rencontre entre le 2 souveraineté in abstracto et in concreto. Donc si souveraineté in concreto + souveraineté in abstracto = véritable

autorisé à désigner un parent comme successeur. C'est donc le gouvernement des compté qui  échappe complètement au roi. Une tendance à l'indépendance va se généraliser par la suite. La féodalité l'emporte partout en  Europe. A la place de l'État est apparu la seigneurie dominé par une aristocratie militaire. A partir  du XIIe siècle se produit une réaction du pouvoir royal qui va préparer une réaction. Première section : l'ordre féodal. La féodalité constitue un nouveau système politique relativement ordonné

gratuites, Allemands, mais également Flamands et Hollandais s'en vont fonder, entre autres, Lübeck, Berlin, Francfort-sur-l'Oder, villes qu'ils dotent des droits urbains germaniques. L'expansion est également oeuvre de proximité, dans le cadre de la seigneurie rurale. Depuis l'an mille, en effet, l'Occident défriche fébrilement. Forêts et marais reculent partout entre le XIe et le XIIIe siècle, tandis que les polders gagnent sur la mer du Nord. Commencés discrètement par l'élargissement des terroirs anciens