Semiologie Connotation Dénotation

            - le second consiste à traduire que le poète délaisse le réel pour s'occuper de l'idéal (gramme d'Azur → métaphore du vers 4).             - le troisième (vers 7)  est une image qui associe le poème au vol léger de la libellule avec une connotation au monde de La Fontaine.             - le quatrième (v.9-10) élance une expression qui consisterait à mettre des mots, à inventer. « L’imaginaire » omniprésent.             - la cinquième (v.12) expression qui consiste à s’interroger sur la couleur

Paris : Le Jugement Dernier. b) Illustration de La Divine Comédie de Dante par Sandro Botticelli c) Détail du triptyque, le Jardin des Délices de Jérôme Bosch : l’Enfer Analyse de l’image : chaque groupe devra analyser une des images (dénotation et connotation) puis en fera part à ses camarades. Donner quelques pistes de réflexion : type d’oeuvre, personnages, lieu, symbolique des couleurs, réalisme ou fantasmagorie ? Quelles impressions ? Quelle intention chez l’auteur ? SEANCE 6 (2h)

trempé dans la tasse de thé ; les petits morceaux de papier sont trempés dans un bol de porcelaine. Les indices qui témoignent de la corrélation entre ces deux éléments sont également nombreux. Notons, premièrement, la rime en /en/, de même que la connotation commune à madeleine, papier et porcelaine, lesquels évoquent une idée de blancheur. Mais davantage, la madeleine n’est-elle pas l’élément déclencheur du souvenir, souvenir que Proust va venir coucher sur le papier, lequel renvoie inexorablement

tel déséquilibre. Ensuite, il reproche aussi une →société désunie, « des socialistes de sectes ennemies, les collectivistes, les anarchistes eux-mêmes » nous avons ici une accumulation, l'emploi du pluriel et l'adjectif ''ennemies'' qui fait connotation à la guerre. Donc société ancienne = désunie, conflictuelle. → Société violente avec un champs lexicaux à la fois de la violence (criminelles; par la force; crime; atrocité des guerres; s'égorgeait) et de la répression (appareil sauvage de répression

Fiche de lecture : L’empire des signes Roland Barthes Roland Barthes (1915-1980), écrivain et critique français, fut une personnalité importante du structuralisme et de la sémiologie. Dans un premier temps, il semble intéressant de se pencher sur la vie et le travail de Roland Barthes car L’Empire des signes résulte d’une union des deux. En effet, l’ouvrage relate une expérience vécue par l’auteur lors de son voyage au Japon en 1970, expérience que l’on gagné à lire sous un angle sémiologique

Peut-on parler de beauté monstrueuse ? Le terme de beauté monstrueuse évoque deux concepts qui semblent être à première vu totalement opposé. La beauté est en quelque sorte un idéal type que tout le monde reconnait ainsi, alors que la monstruosité est plutôt un terme faisant référence à l’horreur. Ce terme est d’ailleurs tiré du nom commun « monstre ». On peut aussi remarquer que l’adjectif monstrueux peut être employé en tant que procédé ironique d’exagération. Mais le terme de beauté monstrueuse

crevé, lambeaux, pourrissaient, putréfaction » sont écrits. Ces détails crus et même choquants sont une autre caractéristique du naturalisme, participent à notre dégoût dans le but de rendre la description impressionnante. Des couleurs sombres à connotation péjorative comme « jaunâtre, noirâtre, verdâtre, rouge sombre » ont aussi leur place dans le paragraphe. Ces précisions permettent des nous représenter visuellement la scène, et celle-ci est choquante. À présent, un autre aspect de la description

Description : L’affiche est un montage de photos et de textes évocateurs. L’affiche se compose de rouge (qui évoque le sang, mais aussi le communisme, cible de la propagande des Allemands et de Vichy) et de noir (qui évoque la mort) donnent une connotation morbide à cette affiche. Les photos de 10 membres du groupe Manouchian sont disposées en triangle, pointe en bas ; elles forment une flèche qui suggère que ce qui est dans la partie supérieure de l’affiche a pour conséquence ce qui se trouve

enfile/ sur le fil) Néologismes B) Un ton décontracté Style très oral (“tiens en voilà un qui passe...”, “petit petit petit...”) Registre familier (“la vache”, “foutu le camp”), juron et désacralisation de Dieu (bon dieu de bon dieu) Connotation sexuelle (“viens ici que je te”) notamment “que je t’entube” Enpapouète: pouet pouet Rythme rapide (de plus en plus) Assonance en “i” = ton joyeux et excité  II. Une mise en abyme sur la création poétique A) Le thème: l’écriture

Montrez comment le discours des personnages met en valeur les caractéristiques de leurs classes sociales Idée principale1:  La présence d'art rhétorique particulièrement bien maitriser, prouve que les orateurs sont issus de l'aristocratie de l'époque. Idée secondaire: Dom Louis use de l’art oratoire pour raisonner son fils. Citation: << Ne rougissez-vous point de mériter si peu votre naissance? Êtes-vous en droit, dites-moi, d'en tirer quelque vanité? Et qu'avez-vous fait dans le monde pour