Sens Propre Sens Figuré

dérivation adverbiale. On dira donc : "sur un ton menaçant/ énervé / agité" ("grožeče" / "živčno" / "nemirno"). b) Adjectif ayant deux formes d'adverbe en -ment dont le sens est différent Il existe un cas particulier, l'adjectif "grave" auquel correspondent deux adverbes en -ment : "gravement" et "grièvement". L'adjectif "grave" revêt les sens suivants : I. (Abstrait) 1. Qui a de l'importance, du poids. C'est un grave problème. (slv. "To je resen problem.) 2. Susceptible de conséquences sérieuses, de

caractères principaux : - la continuité de l’expression figurée ; - la coexistence systématiquement maintenue d’un double sens, littéral et symbolique. » 2. Anaphore « Répétition d’un mot [ou de plusieurs mots] en tête de plusieurs membres de phrase [de vers ou de paragraphe], pour obtenir un effet de renforcement ou de symétrie. » 3. Antithèse « Une antithèse […] est une figure de pensée qui présente deux idées opposées. […] Le plus souvent, c’est un simple effet de contraste entre deux termes

phrase avec beaucoup de juxtapositions insiste sur une sorte de difficulté pour définir la nature de l'intérieur du coquillage. L'expression « tout un monde » est renforcée par « à boire et à manger » (double sens : au sens propre signifie qu'il y a de l'eau et le fruit de mer et au sens figuré est une expression signifiant qu'on y trouve beaucoup de choses de qualité différente). Enumération d'éléments appartenant à des réalités diverses : les « cieux », « une mare », le « sachet », « dentelle »

s'accentue ici par la perte de la lumière et l'évocation de la nuit : élément qui renvoie lui aussi à un monde inquiétant et sinistre : "une ombre". Le verbe "offusqué" évoque le fait de masquer quelque chose au regard, le thème du masque est lui aussi propre au mouvement baroque (thème de l'illusion). Vers 3 : - Évocation de deux animaux carnassiers et sanguinaires (connotation qui évoque la cruauté). ® proie et prédateur sur un même plan d'égalité : nulle inquiétude. Plus le dizain avance, plus

chanté. Axes de lecture 1) Le chanteur décrit la ville qu'il aime, en parle avec affection . 2) Il exprime les liens qu'il entretient avec elle. ANALYSE commentaires citations 1) la description de la ville qu'il aime *une description qui passe par les sens, importance des verbes de perceptions (ressentir, entendre, voir...): -visuel (vue): -olfactif (odorat) : -auditif (ouïe): -tactile (toucher) : *impression de bruit, de mouvement, de désordre, de foule, mélange de cultures (mots parfois familiers)

Le symbolisme En 1886 paraît le Manifeste du symbolisme. Comme le Parnasse, ce mouvement touche essentiellement la poésie. Comme lui, il refuse le naturalisme, mais contrairement à lui, il veut libérer le vers de son formalisme et lui redonner du sens. Comme son nom l’indique, le symbolisme instaure l’univers du symbole, il suggère plus qu’il  ne nomme. L’hermétisme en est parfois la conséquence. Mallarmé est considéré comme son chef de file. Baudelaire, Verlaine, Rimbaud en font partie. 10 Le

: D’abord, Perceval pénètre dans la tente et désire soutirer un baiser de la demoiselle de façon agressive. Citation a : « Le jeune homme avait le bras solide » Procédé a : Sens propre ou figuré Explication a : L’auteur fait référence au mot solide pour décrire les bras de Perceval, comme quoi il est puissant et fort. Ça nous donne une impression qu’il peut maîtriser la femme facilement. Citation

Les figures de style Une figure de style (ou figure d’ornement) est un procédé qui consiste à remplacer un mot par un autre. Ce sont des procédés utilisés dans le discours pour mettre en valeur certains aspects du discours. Elles ont pour but d’embellir le discours. Les figures de style ont été élaborées dès l’Antiquité et on les appelle aussi les figures de rhétorique. Nous sommes donc ici dans les stratégies du discours telles quelles ont été conçues chez les grecs. Dans les figures de rhétorique

Les figures de style Les figures de style servent à rendre le discours plus expressif. Ces procédés expressifs sont un héritage de l’antiquité, enrichi par une longue tradition, notamment en politique, en philosophie et en droit. Il s’agissait de convaincre ou de persuader (voir la fiche procédés pour persuader). Aujourd’hui encore, de nombreux auteurs, des critiques littéraires, des universitaires, entreprennent des recherches autour de la rhétorique. Citons par exemple Gérard Genette (Figures I

moins immédiatement donné par le simple constat des sens, ou par cette autre forme de sens qu´est le « bon sens ». De quelle articulation entre théorie et expérience procède la construction de ce savoir scientifique ? Répondre à cette question est la tâche propre de cette partie de la philosophie de la connaissance qu´on appelle l´épistémologie : du moins apercevons-nous déjà que, dans ces relations entre théorie et expérience, se dessine une figure de la raison dont, en vertu même de ces réussites