Sens

pas d’idée, elle ne défend pas une cause précise. Elle a été créée dans le but de tromper le public et de lui plaire. L’art peut servir à divertir le public, à l’amuser et à l’émouvoir. L’artiste veut faire passer des émotions par son œuvre qui a un sens mais ne fait passer aucun message défendant une cause. Cet « art pour l’art » n’est pas engagé, bien qu’il peut véhiculer énormément d’émotions fortes.

La création d’une atmosphère se fait à partir de plusieurs composantes liées au sens. Tout d’abord le distributeur peut varier les facteurs tactiles comme les matières présentes dans son magasin (moquettes, parquet, mobilier, acier, bois…) afin de créer l’atmosphère qu’il voudra selon l’image qu’il souhaite que le consommateur perçoit de son enseigne. La température du magasin et l’humidité de l’air sont aussi des facteurs tactiles. Le distributeur peut également jouer sur des facteurs sonores en

sans raison logique. Enfin, la fin de Grenouille, très sanglante, se donnant lui-même la mort par l’amour que les autres lui portent, grâce à son parfum envoûtant, nous démontre la présence de ce thème morbide jusqu’à la fin. Son sort, dans ce sens, imite le devenir de l’odeur. Sa tragédie et son malheur, c’est qu’il n’a pas d’odeur. Il perçoit le parfum, il le ravit mais il est incapable de dégager une odeur en lui-même. Et comme notre odeur désigne notre identité spécifique, son absence transforme

de voir et qui contribue aux cinq sens. Le critère du réel, de ce qui existe, ce sont les sens et la perception. En effet, pour se convaincre qu’une chose existe, on fait appel à nos sens et à notre perception sensible. Et d’ailleurs, la perception sensible présuppose la sensation. C’est toujours la perception que l’on utilise pour déterminer l’existence: c’est un élèment que l’on a perçu, vu, entendu, touché, et pas simplement pensé ou imaginé. En somme, les sens sont l’outil du réel. Prenons des

pour lui ! N’oubliez jamais que ce qui suggéré, laisse à l’imagination plus de désir que ce qui explicite, sans surprise. Il ne sert à rien de reproduire les attitudes convenues dans ce type d’approche. La seule chose qui puisse vous aider, c’est le sens du présent afin que surgissent le geste juste, le regard juste et l’échange juste. Rendre naturel vos gestes sans tomber dans un automatisme artificiel car ce qui est acquis un jour peut être remis en question le lendemain. Sortez des dogmes de la

et les animaux, une manière de vire et de se développer. Alors, quelle est le sens de la souffrance? Oui, la souffrance a un sens dans notre vie, cet un mot que nous prenons pour pouvoir décrire ce que nous ressentons. Tout dépend du sens que nous lui donnons dans notre façon de la vivre. Selon nos expériences que nous vivons, aux différentes situations auxquelles la vie nous donne comme défi de relever. Le sens de la souffrance, peut-être autant interpréter sur le plan physique ou moral.

reflètent une certaine sensualité La sensualité En effet d’autres parties du corps sont plus ciblées sur la sensualité du corps : la chair, les prunelles, ‘les stellaires sourires’. Comme dans d’autres poèmes étudiés, tous les sens sont éveillés à la lecture d’un poème car la poésie illustre les mots, ici c’est le toucher, la description d’un corps sûrement parfait car rêvé suscite la sensualité chez le lecteur. On imagine ainsi une femme dévêtue ne portant que des bijoux

un tableau inspiré de ce mythe. Cela lui inspira la « forme ». Si on traçait un trait en diagonale dans le tableau, elle délimiterait la lumière et l’ombre. Le ciel fait le bien. La partie à gauche désignerait la ville. Une diagonale dans l’autre sens délimiterait l’escalier et le bâtiment du reste. 2/ Analyser l’œuvre L’artiste laisse le tableau être interprété à la manière de chacun. Ce tableau parait à la fois chaud avec le jaune, mais en même temps froid par

personne digne, ce qui serait indigne venant d’un soignant. Comme le dit Sartre : «  On a jamais honte tout seul » c’est par le regard de l’autre que la patiente se sentira dénigrée ou mise en lumière. Cette infirmière a su faire abstraction de ses sens, dans le but de respecter la dignité de cette dame, elle a pu analyser la situation, adopter le comportement qu’il fallait pour la mettre en confiance et pour effectuer son soin. Un simple geste, une attention, un sourire, un savoir être peut transformer

« ène », « eur ». Le poème est basé sur l’opposition, pourtant l’amour en fait son unité. L’amour engage un être tout entier, mais dans ce sonnet, les sensations sont d’abord physiques : le corps est soumis aux éléments s’ajoutant aux perceptions des sens. Il y a un aspect involontaire de l’amour qui suscite le désordre. Le sentiment amoureux s’exprime avec des oppositions d’antithèses « je vis, je meurs ». Il y a des contradictions du sentiment amoureux qui son évoquées dans la confusion des sentiments