Sentiments Argumentation Indirecte

(autant qu’un livre). 2- Le dialogue, un genre hybride Le dialogue argumentatif est la transcription littéraire au style direct d’une conversation. Il peut apparaitre dans plusieurs genres littéraires, il appartient plutôt à l’argumentation indirecte. C’est un aussi un genre de l’argumentation directe : un débat d’idées destiné à être lu, l’un des interlocuteurs étant souvent l’auteur, sa forme permet la multiplication des points de vue. Le dialogue didactique met en présence un personnage

 marchandise *Fantinne considéré fleur fannée ds son appartement 3- Morale : *fille  prete a tout *Perdu toute force morale et tt courage (raccomode plus son linge) *structure négative (ne plus) montre quelle le fesait avvant *aucun sentiment de sa dignité (honte) *souffrance solitaire *perd son humanité (bête farouche) *final : aucun espoir en rien et se resout a la prost. « allons » l.29 Nous voyons donc bien que ds cet extrait la decheance de F est donc complete : ses conditions

destinataire en cherchant à le convaincre ou à le persuader. Argumenter, c’est donc justifier une opinion que l’on veut faire adopter, partager en tout ou partie. On cherche alors à convaincre par l’usage de la raison et à persuader en faisant appel aux sentiments et à l’affectivité. Argumenter, c’est aussi tenir compte de thèses différentes des nôtres, avec lesquelles nous allons entrer en discussion dans une délibération, solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue). Pour convaincre, celui

précis du texte : apologue (fable, conte philosophique), dialogue de théâtre, de roman, philosophique, extrait d’un essai, d’un discours public, poème à visée argumentative ou polémique… On en tirera l’idée qu’on est en présence d’une argumentation directe ou indirecte. On aura alors soit un locuteur soit un narrateur, dont il faudra dans tous les cas analyser le mode de manifestation. On sait qu’il faudra adapter notre analyse au genre : une fable est un récit illustrant une vérité morale, il faut

texte ? : Récit, argumentation, apologue, poésie, discours, théâtral : le mélange des genres est possible comme dans certaines fables. Le niveau de langage dépend du locuteur et du destinataire Quel est le genre du texte proposé ? S'il s'agit de poésie, est-ce un sonnet (régulier ou non), une ballade ? S'il s'agit de prose, avez-vous affaire à une description, un portrait, une narration...? Quel est le ton du texte ? - lyrique (qui manifeste des émotions, des sentiments intimes) - élégiaque

nous étudierons comment le Huron devient « héros national » et pour terminer nous réfléchirons sur la critique de Voltaire. Dans ce chapitre, Voltaire s'exprime à travers son héros, il se situe tout au long dans l'implicite et l'argumentation indirecte. Dans un premier temps, il met en place une dynamique de scène avec deux éléments historique, une histoire découpée en plusieurs épisodes puis avec de nombreuses exagérations. En effet, dans ce chapitre Voltaire mêle les conflits religieux entre

deux protagonistes et montrer en quoi ces derniers sont des personnages tragiques. L'argumentation de Samilia : 1. Les procédés pour convaincre : a) L'ethos de Samilia : l'éthos, c'est l'image que l'on veut donner de soi dans une argumentation ainsi que celle de son interlocuteur afin de donner plus de force à son discours. Samilia veut donc donner d'elle l'image de quelqu'un qui maîtrise la situation, qui sait ce qu'elle fait avec une « sauvage détermination » l.17 : l'adjectif hyperbolique

Silvia « Faudra t-il que je te quitte » 2) L’expression des sentiments amoureux • • • Sentiments vrai du faux ≠ amour imposé Maitrise du langage des personnages pourtant ils sont troublés : « Attend Lisette je voulais te parler d’autre chose (...) » « Tu m’as fais perdre mon idée à moi aussi » àRéciprocité des sentiments Réaction similaire : Ils souhaitent tous deux partir mais ils n’y arrivent pas III. Argumentation indirecte 1) Maitres et valets, une réflexion idéologique • Quipropos

"troubler le repos d’une grande ville", "extraordinaire". surprise du narrateur et surprise des Parisiens. II- Un homme qui se cherche, évolution du sentiment a- Une insatisfaction : le narrateur n’est pas satisfait d’être exagérément mis en valeur. D’abord amusé : "je souriais", "chose admirable", Mais son sentiment évolue : "tant d’honneurs ne laissent pas d’être à charge". Il est fatigué de se voir partout : "tant on craignait de ne m’avoir pas assez vu" le verbe "craindre"

est violente car elle peut être doublement interprétée : le cri de détresse du condamné ou encore la sentence du juge. Introduction : En 1828, Victor Hugo est déjà connu pour des poèmes, mais n’est pas illustre. Cette préface est un plaidoyer indirect contre la peine de mort. Le Dernier jour d’un condamné est un petit roman à la première personne, qui a dès sa sortie un succès de scandale. Lors de sa réédition, Victor Hugo y rajoute une préface explicative. C’est un modèle d’argumentation