Sentiments Passionnés

servitude. Deux contemporains de Corneille : La Rochefoucauld (1613-1680), auteur célèbre de maximes au XVIIème siècle, a écrit :"les grandes âmes, ne sont pas celles qui ont plus de vertus ou moins de passions que les autres hommes, mais celles seulement qui ont de plus grands desseins". DESCARTES - Les Passions de l'âme - 1649 : Et parce que l'une des principales parties de la sagesse est de savoir en quelle façon et pour quelle cause chacun se doit estimer ou mépriser, je tacherai ici d'en dire mon opinion

l’architecture puis la statue en or représentant l’antiquité tandis que les vêtements des personnages montrent la renaissance. Au deuxième plan, qui est donc la scène principale, est illustrée la flagellation du christ qui est un des épisodes du début de la Passion du christ avant sa crucifixion. Quatre personnages entourent Jésus. Celui de gauche, vêtu de vêtements colorés est assis et interroge Jésus. Deux personnages vêtus de vêtements courts et drapés, pieds nus, se tiennent de chaque côté du Christ ; ils

supérieure envers ses filles : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les poètes ont utilisé cette image. Parmi eux, Clément Marot (XVIe), dans L'Adolescence clémentine, compose ce refrain pour la ballade XIII sur la Passion du Christ : "Le Pélican, qui pour les siens se tue." Dans ce poème, le pélican laisse ses oiselets dans le paradis terrestre après les avoir créés. Malheureusement, trop gourmands, ils se font attrapés et tués par un chasseur. Le pélican va

avait une intrusion dans le cœur du Christ (comparaison avec les Vénus anatomiques). Une expression apparaît dans le vocabulaire pieu de l’époque : le « viscère sacré ». C’est une iconographie qui attache beaucoup d’importance aux marques que la passion du Christ lui a laissé sur le corps. C’est l’époque où se développe le culte de Sainte Véronique (elle essuyait sa sueur pendant sa montée au calvaire) ; un commerce de fausses reliques se développe.  Méditation sur les mystères douloureux : le but

fera que grandir jusqu'à sa mort. Cette approche lointaine de la religion combinée avec son regard réaliste sur la vie lui rend difficile la compréhension d'images symboliques véhiculées par l'église catholique, si bien qu'elle souffre lors de la passion du christ et concrétise l'idée de l'esprit saint en son perroquet. Le fait qu'elle se crée une idole montre le paganisme dans sa pratique du catholicisme. On devine que Flaubert montre à travers cette pratique, la réalité des mœurs de la campagne

Thème [ La composition typique est celle verticale du Trône de grâce: la Trinité chrétienne comporte Dieu le Père soutenant la croix de son fils Jésus-Christ et le Saint-Esprit, représenté sous la forme d'une colombe entre eux deux. (Le Trône de grâce est une figure de l'iconographie chrétienne consistant en une représentation verticale1 de la Sainte Trinité.) Le Christ est ici représenté sur la croix de sa Crucifixion, accompagné, comme traditionnellement dans l'iconographie chrétienne, par

questions du légat du pape. 4. Intervention de Sepúlveda qui tente de porter le discrédit sur son adversaire, Las Casas. 5. Argumentations successives de Sepúlveda (« Le monde a été créé pour être chrétien. »), du frère Bartoloméo qui intervient avec passion pour défendre les Indiens et du cardinal Roncieri qui remet en cause les thèses de l’un et de l’autre. 6. Présentation par Sepúlveda d’une idole en pierre sculptée pour « avoir une idée de ce que certains appellent leur art » : le serpent à plumes

  CHAPELET DES LARMES   Prière d'entrée   Jésus crucifié! Prosternés à Vos pieds, nous Vous offrons les larmes de sang de celle qui vous a accompagné pendant Votre si douloureux chemin de Croix avec un tendre et compatissant amour. Faites, ô bon Maître, que nous prenions à cœur les enseignements tirés des larmes de sang de Votre Très Sainte Mère, afin qu'accomplissant Votre Sainte Volonté sur terre, nous puissions Vous louer et Vous glorifier au ciel pendant toute l'éternité.  Amen !    

Le coup de foudre de Phèdre se manifeste à la fois physiquement et moralement. Ainsi représenté par Racine, le mot passion retrouve son étymologie, qui signifie la souffrance (du latin, patior, la passion du Christ). Les troubles physiques sont marqués par l'emploi récurrent de la figure de l'antithèse, qui symbolise une perte complète de soi-même. Aussi remarquons-nous que les couleurs du visage (v.273) s'opposent, la rougeur et la pâleur évoquant à la fois la honte, et la pudeur

Une tour à plan carré intervient pour briser une symétrie trop écrasante. Le pavement est semblable à celui du réfectoire qui devait accueillir le tableau. Sur cette terrasse est dressée une grande table. Les symboles religieux annonçant la Passion du Christ côtoient une vaisselle d'argent et une orfèvrerie luxueuses du XVIe siècle. Le mobilier, le dressoir, les aiguières, les coupes et vases de cristal montrent toute la splendeur du festin. Chaque convive assis autour de la table a son propre