Sentiments Passionnés

le dictionnaire comme une façon de « éprouver de l'amour, de l'affection, de la tendresse ». Alors, qu’on on aime quel qu’un, on leur fait une épreuve d’affection et d’amour ? On peut trouver que cette définition, ne contient pas les émotions et sentiments qui sont inclue quand on aime quel qu’un : elle ne transmit pas ni la complexité ni la mentalité d’un personne amant. Il est bien connu que quand des personnes sont amoureux, il se trouve un sens d’unité, que les deux en question sont un personne

sur la responsabilité de son amant dans sa mort. Conclusion : Ce texte nous parle d’un amour contrarié, qui au lieu d’apporter le bonheur et la plénitude déclenche contrariété et culpabilité. Nous voyons ici que la mort d’Elléonore déclenche un sentiment de responsabilité chez Adolphe, mais il découvre aussi une nouvelle femme, sous un jour sous lequel il ne l’avait jamais vu, il se rend compte qu’elle lui cachait son amour poussé à l’extrême. La lettre de son amante le rend triste et il ressent

peinture acrylique. Problématique : « Quel est le but et l’objectif de l’auteur, et peut-on dire que c’est un tableau engagé? »  A. Impression générale Ma première impression du tableau est un sentiment de confusion, les éléments étant superposés, ou placés de façon indistincte. Mais aussi le sentiment de tristesse et de peur, car les couleurs dominantes sont sombres. En observant le tableau on ne peut s’empêcher de remarquer cette tête de mort volumineuse par rapport aux autres éléments. Ces éléments

Tristan et Iseult C'est un texte datant de 1700 qui a été écrit en ancien français (mélange de français moderne et de latin). C'est une littérature courtoise dont le thème principal est l'amour passion. Peu de gens savaient lire à l'époque, le livre et l'imprimerie n'existaient pas et on écrivait sur des manuscrits. La lecture et l'écriture étaient réservées aux clercs (moines savants). Le peuple avait accès aux histoires grâce à des conteurs appelé (jongleurs) qui apprenaient des contes par coeur

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- LA VISION DU CORPS CHEZ CHARLES LE BRUN : ------------------------------------------------- L’EXPRESSION DES PASSIONS RESIDE DANS ------------------------------------------------- « LE CHANGEMENT DES MUSCLES » ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- -------------------------------------------------

contraste avec la rouge de la veste, exprime les symboles sacrés : suivant l'iconographie mariale, le rouge représente la Passion du Christ et le bleu, l'Église, soit le lien entre la mère et le sacrifice de son fils. Cette iconographie est répétée dans le premier plan floral qui comprend des violettes (symbole de l'humilité de la Vierge) et des ancolies (symbole également de la Passion du Christ). Dans sa main droite Marie tient un livre suivant le thème de la Madonna leggente, symbolisant ainsi son

pièces sont appelées «mystères de la passion», «miracles» ou encore pièces saintes. Le théâtre médiéval Le mystère, initialement orthographié mystère, est un genre théâtre apparu au XV Siècle Il se composait d'une succession de tableaux animés et dialogués écrits pour un public très large, mettant en œuvre des histoires et des légendes dont l'imagination et la croyance populaire s'étaient nourries. Le surnaturel et le réalisme s'y côtoyaient. La Passion du Christ ( otrture qu'à connu le Christ

parlent, ils vont se promener – vendredi saint – nous ne connaissons toujours pas son nom : « ma voisine » - « Passion » = passion du christ : souffrance – « jardin d’Eden » = tentation è ­­­­un poème lyrique qui exprime la passion Plan : I) Un éloge d’Yvonne et un paysage paradisiaque a. Image du paradis b. Métaphores religieuses II) Mais qui apparait comme une femme fatale a. Passion dévorante b. Ambigüité de la figure d’Yvonne Introduction : 2ème poème du recueil qui est chronologiquement

La passion est-elle destructrice ? Introduction Une lettre déchirée, un visage marqué par les rides de la rancune ou de l’amour déçu : les effets destructeurs de la passion semblent bien visibles, sur les êtres comme sur les choses. Bien sûr nous ne pouvons imaginer un visage sur lequel la passion n’aurait laissé aucune trace, et nous détruisons sans même y penser les lettres qui n’ont aucun contenu affectif. En vivant nous nous ouvrons à l’expérience passionnelle, nous la recherchons même

rapprochement « t’aime » « je vous pardonne » => le vouvoiement donne une élévation sociale « je te pardonne » => tutoiement au valet * dernière réplique : «  Ruy Blas ! »  =>Reconnaissance de l’identité du valet et du sentiment qu’on lui porte. Synthèse : le sentiment amoureux est plus fort que la transition sociale. A la fois le valet peut avoir des qualités de maître mais n’est reconnu que lors de sa mort. On peut donc voire une fin tragique mais la reine est préservée, la dimension pathétique