Serge Reggiani

critique et musicien de jazz(trompettiste), Il est aussi scénariste, traducteur (anglo-américain), conférencier, acteur et peintre. Introduction Le déserteur est un poeme ecrit par Boris Vian en 1954, c'est aussi une chanson interprerée par Serge Reggiani, Marc Lavoine et en premier Mouloudji sur une une musique de Harold Berg. Contexte Historique Publié le 7 mai 1954 le jour de la defaite de la France dans la bataille de Dien Bien Phu qui marque la fin de la guerre d'indochine (1946 – 1954)

nénuphar dans « l’écume des jours », Boris Vian souhaite vivre le plus intensément possible. Ce passionné de jazz, devint naturellement une des figures les plus connu de St Germain des près. Il composa aussi des chansons pour des artistes comme Serge Reggiani ou Juliette Greco. Il resta un grand admirateur d’Alfred Jarry, père de la philosophie qui était en fait une révolte humoristique contre la philosophie. C’est sous le pseudonyme de Vernon Sulliven que Boris Vian entra dans la littérature ;

club de Saint-Germain-des-Prés. Il est également directeur artistique chez Philips et chroniqueur dans Jazz Hot. Il s'intéresse à la "Pataphysique" sous l'influence d’Alfred Jarry. Boris Vian compose aussi de nombreuses chansons notamment pour Serge Reggiani ou Juliette Gréco, écrit des nouvelles, des pièces de théâtre ou des poèmes. Il s'initie au théâtre et joue dans quelques films. Boris Vian meurt d'une crise cardiaque en juin 1959 en assistant à la première du film inspiré de son roman "J'irai

utilisée pendant des marches pacifistes. À l'origine, cette chanson est un poème. La première interprétation a été diffusée en mai 1954 créée par Mouloudji. Cette chanson a été interprétée par, entre autres, Boris Vian lui-même, puis après 1960, par Serge Reggiani, Juliette Gréco, Richard Anthony, Johnny Hallyday, Dan Bigras, Maxime Le Forestier, Leny Escudero, Dédé Fortin, Joan Baez, Hugues Aufray, Marc Lavoine et Peter, Paul and Mary ainsi que les Sunlights. Le texte de la chanson Le Déserteur comporte

de la trompette de poche dans un club de Saint-Germain-des-Prés. Après son divorce, il vit difficilement de traductions et habite une chambre de bonne avant de se remarier en 1954. Boris Vian compose aussi de nombreuses chansons notamment pour Serge Reggiani ou Juliette Gréco, écrit des nouvelles, des pièces de théâtre ou des poèmes. Il s'essaie au théâtre et joue dans quelques films. Boris Vian meurt d'une crise cardiaque en assistant à la première du film inspiré de son roman "J'irai cracher sur

n’ont pas osé pris une position aussi engagée (Jean FERRAT l’a également fait contre le régime nazi). La chanson du déserteur est tellement étonnante et véhicule un si beau message de paix qu’elle a été reprise par de nombreux artistes comme : Serge Reggiani, Juliette Gréco, Richard Anthony, Johnny Hallyday, Dan Bigras, Maxime Le Forestier, Leny Escudero, Dédé Fortin, Joan Baez, Hugues Aufray, Marc Lavoine, etc. En 1983, Renaud adapte cette chanson sous le titre « Déserteur ». Ensuite, Peter, Paul

Boris Vian de remplacer les deux derniers vers « Que je tiendrai une arme, et que je sais tirer » par : « Que je n’aurai pas d’armes, et qu’ils pourront tirer » pour conserver le côté pacifiste de la chanson. En 1962, la chanson fut reprise par Serge Reggiani, Johnny Hallyday, Marc Lavoine et bien d’autres. La chanson a été utilisée dans les années 1970, pendant la guerre du Viêt Nam pour des marches pacifistes et en 1991 pour des manifestations contre l’intervention occidentale dans la guerre du

guerre. La fin est contradictoire. Ensemble, Boris et Mouloudji composent le dernier quatrain : Si vous me poursuivez, Prévenez vos gendarmes, Que je n'aurai pas d'armes, Et qu'ils pourront tirer2. » La chanson a été interprétée ensuite par Serge Reggiani, Juliette Gréco, Richard Anthony, Johnny Hallyday, Dan Bigras, Maxime Le Forestier, Ferhat Imazighen Imoula, Leny Escudero, Dédé Fortin, Joan Baez, Hugues Aufray, Marc Lavoine, Peter, Paul and Mary, Luigi Tenco, Ornella Vanoni, Marc Robine, Ivano

après la 2° guerre mondiale, tandis que la guerre d’Indochine n’est pas finie et que celle d’Algérie ne a pas tarder à commencer. Interprètes : premier Mouloudji (7 mai 1954) ; Vian 1955 Reprise : Richard Anthony, Marc Lavoine, Juliette Gréco, Serge Reggiani, Johnny Hallyday, Renaud, Maxime Le Forestier, Leny Escudero, Hugues Aufray mais aussi Joan Baez ou Peter, Paul and Mary Caractère : calme et doux, mélodie simple. Sans les paroles, on pourrait croire à une chanson totalement différente. Cette

chanson est interprétée par Mouloudji, le jour de la défaite de la France à Dien Bien Phu qui marque la fin de la guerre d'Indochine. Cette chanson a été interprétée par, entre autres, Mouloudji qui fait partie des plus connus, puis après 1962, par Serge Reggiani, Juliette Gréco, Richard Anthony, Johnny Hallyday, Dan Bigras, Maxime Le Forestier, Ferhat Imazighen Imoula, Leny Escudero, Dédé Fortin, Joan Baez, Hugues Aufray, Marc Lavoine, Peter, Paul and Mary, Luigi Tenco, Ornella Vanoni, Ivano Fossati et