Serge Tisseron

plaisamment possible de ce qui nous anime. Nous perdons en richesse , en sincérité et en profondeur, ce que nous gagnons en efficience. Mais à quoi nous sert d’être rentable en amour ? A ce propos , si, comme le faisait remarquer le psychiatre Serge Tisseron, le portable tend à vider les communications de sens, que dire du texto et des émoticônes ? Combien faut-il de smileys pour nous éblouir et nous faire rire comme l’a réussi Edmond Rostand avec la tirade du nez dans Cyrano de Bergerac ? Qui peut

illustrée des histoires, Paris, 1993. -PROST, A, Douze leçons sur l’Histoire, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », 1996. Sur L’image -SOULAGES, Jean-Claude, Les Mises en scène visuelles de l’information, Paris, Nathan-Ina, 1999. -TISSERON, Serge, Y’a-t-il un pilote dans l’image, Six proposition pour prévenir des dangers des images, Paris, Aubier, 1998. Sur L’histoire et les approches théoriques du terrorisme -CHALIAND, Gérard, Histoire du terrorisme : de l’antiquité à Al-Qaïda,

ce médium dans la critique d’art depuis les années 70. Elle reste cependant contestée dans sa légitimité à désigner un ensemble cohérent. *Bernard Piossu, Mexico, 1966 *Bernard Piossu, Route, Oklahoma, 1983 Courant analysé/théorisé par Serge Tisseron « Mystère de la chambre claire ». Explique qu’une image issue d’une photo pauvre s’assimile à des images mentales de nos souvenirs. *Yannick Vigouroux, Sicile, juin 2010 – Agfa Clack Composition bien construite malgré flou intense. Souvenir

vous riez, vous êtes angoissé ou terrifié comme si c’était vrai mais, une fois le film terminé tout est fini. Et c’est drôlement bon, c’est extraordinairement vivifiant de ressentir la peur tout en sachant qu’on peut y mettre fin à tout moment » Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste. Nous vivons aujourd’hui dans un certain confort matériel ou la peur est devenue un luxe : c’est l’émotion que l’on ressent le moins souvent. Si les Hommes vont voir des films d’horreur, lisent des romans d’épouvante

intéressantes, comme par exemple la fonction « événement » qui permet en un click de savoir toutes les manifestations qui auront lieu. Passer son temps sur Facebook est devenu une vraie drogue pour la plupart des utilisateurs. Selon le psychiatre Serge TISSERON, « les désirs sous-jacents à cette activité ont toujours habité l’être humain, le désir que les autres ne nous oublient pas ». Les utilisateurs rechercheraient donc de la reconnaissance et de la valorisation. Ces sites de réseaux sociaux rassurent

permet aux jeunes de se socialiser grâce aux différents forums sur lesquels ils peuvent rencontrer d’autres jeunes du même âge et échanger leur point de vue. On parle donc bien d’extimité et non d’intimité, comme l’a si bien expliqué le psychiatre Serge Tisseron dans son ouvrage L’intimité surrexposée. Ainsi, si les gens se livrent sur eux-mêmes, c’est parce qu’ils ont ce désir de rendre visibles certains aspects d’eux-mêmes, jusque-là considérés comme relevant de l'intimité. N’oublions pas les sites

à l'espace, au temps, à la construction de l'identité"  pour Le Monde.fr | 18.02.11 | 17h41  •  Mis à jour le 01.03.11 | 17h00 Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, spécialiste des nouvelles technologies, auteur notamment de "Faut-il interdire les écrans aux enfants ?" (2009, éd. Mordicus, avec Bernard Stiegler).DR DANS UN CHAT SUR LEMONDE.FR, SERGE TISSERON, PSYCHIATRE ET PSYCHANALISTE, SPÉCIALISTE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES, ESTIME QUE LES PARENTS DOIVENT RÉGULER L'UTILISATION DES ÉCRANS

Relation objectales c’est-à-dire les relations qui unissent l’enfant et la mère durant les premiers mois, quand l’enfant considère sa mère comme un objet, autre que lui. 2012-10-05 EXPOSE : DU DESIR D’ENFANT A L’ANNONCE DU HANDICAP 3  Pour Serge Lebovici, « toute mère à quatre enfants dans la tête ». Les travaux de M.Soulé (1983) et S.Lebovici (1994) sur le bébé imaginé ont mis en évidence quatre catégories de représentations : le bébé imaginaire, le bébé fantasmatique, le bébé mythique

Les objets sont les réceptacles de nos souvenirs, tels des journaux intimes, il portent en eux les traces de notre passé et nous donnent un statut au sein de notre société comme nous l'avons vu dans l'étude du corpus précédemment étudié. Certes Serge Tisseron, dans l'extrait fourni De l'inconscient aux objets, confirme cette dimension nostalgique conférée aux objets, vecteurs des souvenirs « histoires sans paroles ». Il les présente comme des tombes que nous cachons à nous même, car seuls nous, avons

s’imposent. Si l’intimité appartient à l’espace intérieur de l’homme, elle se défini aussi par des limites physiques : ce sont les murs de la chambre, dans l’appartement ou à l’hôtel, ce qui soulève aussi la question de la gestion de l’espace. Selon Serge Tisseron, l’intimité se défini comme étant « la confrontation aux deux domaines qui s’y opposent, l’espace public et l’espace privé. Le premier engage ce que l’on partage avec le plus grand nombre et le second ce que l’on partage seulement avec des personnes